Le charme physique :Fondamentalement, un homme n'est jamais indifférent au physique de sa femme : il désire une jolie femme ou plus exactement une femme qui a du charme. La femme (même et surtout mariée) aura le souci de sa beauté.
Malheur aux femmes pot-au-feu !
La femme sera belle de la beauté qui plaît à son mari même si dans les détails, elle se fera d'abord plaisir à elle-même. Elle sera belle d'une beauté qui sait varier (même si elle a besoin d'une rallonge pour le budget entretien !)
Remarquons-le bien : le soin du physique est capital en amour. Des deux côtés d'ailleurs : une propreté absolue, un brin de parfum, un rasage parfois le soir pour le mari sont autant d'éléments importants pour la solidité du couple. Quand la femme travaille à l'extérieur, le mari, si fier d'avoir une femme jolie, ne désire pourtant pas toujours qu'elle le soit exagérément en son absence.
La valeur morale :Voilà la difficulté pour la femme : elle doit être séduisante, charnelle, pour plaire physiquement à son mari, mais elle doit faire preuve aussi d'une dignité et d'une moralité parfaite.
Certaines femmes ne sont que charnelles, elles déçoivent ! Certaines femmes sont dignes et méprisent le charnel. Elles déçoivent aussi. Le mari attend en effet que sa femme soit au foyer, ne fût-ce que pour les enfants, dépositaire des valeurs spirituelles et morales qu'il ne possède peut-être pas lui-même. Il a pour elle un sentiment d'adoration qui rappelle la vénération quasi-sacrée qu'il avait pour sa mère.
La femme doit donc concilier dans sa vie de couple le côté charnel et le côté spirituel. Elle doit apprendre à vivre, sans fausse pudeur, et dans la dignité, les réalités les plus charnelles. Elle se montrera toujours respectable, sans jamais refuser les joies du corps.
La transparence :Le mari aime lire dans les pensées de sa femme à livre ouvert. Si dans des bouderies fréquentes, elle cache ses déceptions et ses souffrances, le mari finira par se durcir et par devenir indifférent à ce qu'il appellera ses lubies. "Ce sont ses lunes... Ça lui passera".
L'accueil :
Dans beaucoup de circonstances, l'homme aime être traité par sa femme, comme il le fut autrefois par sa mère. Le sourire de sa femme, son baiser, un souper préparé, des enfants propres qui lui sautent au cou, le comblent, (et il n'en attend pas mois, même s'il prétend souvent le contraire).
Mais quand la femme travaille à l'extérieur, elle n'est pas toujours disponible pour l'accueillir, et souvent, elle aimerait, au contraire, être accueillie à son tour.
La compétence ménagère :
Oui, quelles que soient les belles théories que l'homme moderne puisse alléguer, en général, il préfère que ce soit la femme qui se charge des tâches ménagères : sa mère l'a gâté, ne l'oublions pas. Instinctivement, il désire toujours pour sa femme la compétence ménagère, même si intellectuellement, il est tout à fait d'accord pour clamer bien haut l'égalité de l'homme et de la gemme devant le travail à la maison. Les idées, c'est vrai, ont changé en ce domaine, le mari ne considère plus comme mineures les tâches ménagères, mais dans les faits, il y a encore beaucoup de progrès à faire pour que ce soit le mari qui prenne l'initiative de préparer le repas ou d'accompagner les enfants chez le médecin.
La présence discrète :Le mari ne semble pas aimer buter continuellement sur la personne de sa femme : il craint la femme envahissante et aimerait volontiers sa tranquillité : il est souvent "un célibataire marié". Il ne supporte pas longtemps que sa femme le prenne pour un enfant, en lui prodiguant sans arrêt conseils et interdits : "Conduis moins vite", "range tes affaires", "reste pas enfermé"...
Toutefois il apprécie la présence discrète, effacée mais encourageante et réconfortante de sa femme : il y a des hommes qui sont "perdus" sans leur femme. Les yeux d'une femme sont un miroir où le mari aime se rendre compte qu'il a une valeur.
Ce qu'un homme attend d'une femme, c'est qu'elle soit cette compagne intelligente et douce qui excuse, purifie, élève : elle est un peu sa conscience morale par son exemple discret plus d'ailleurs que par ses rappels à l'ordre moralisateurs.
La fantaisie :Les hommes et le femmes ont besoin de fantaisie. Et si tant de jeunes refusent aujourd'hui le mariage, c'est qu'ils pensent que le cadre juridique vient tuer l'élan, la spontanéité, la fantaisie, donc l'amour. Plus que jamais les couples ont besoin de mettre dans leur amour de la fantaisie.
Les femmes aiment les petites fantaisies : un petit cadeau, une caresse inhabituelle, une parole énamourée, un seul oeillet peuvent les combler.
Les hommes aiment les grosses fantaisies, à la limite, ils changeraient de conjoint ! A l'épouse de savoir varier assez souvent pour satisfaire ce besoin de changement présent chez beaucoup d'hommes.
Que les couples sachent s'offrir des sorties éclairs d'amoureux au restaurant ou au cinéma. Annoncée à l'avance, cette soirée permettra aux époux de se détendre et d'apparaître dans un cadre inhabituel toujours étonnamment séduisants.
Que les couples entreprennent chaque année un voyage de noces. Sans enfant. Pas très long (il ne faut pas avoir le temps de s'ennuyer avec l'autre). Sans folles dépenses. Si l'on objecte la présence des enfants, il faut savoir qu'il existe beaucoup de familles qui accepteraient de dépanner un couple pendant 3 ou 4 jours : il faut simplement avoir la simplicité de le leur demander. Si l'on objecter la dépense, il suffira que le mari se dise : "Je dépenserai pour ma femme ce que j'aurais dépensé pour ma maîtresse si j'en avais une !"
Que les couples n'hésitent pas à se prouver leur amour... En public. N'est-il pas dommage de constater que ceux que l'on voit s'aimer, ne sont le plus souvent pas mariés ?
La fantaisie préserve de la routine, de l'usure de l'amour, de l'habitude qui entraîne la perte de l'admiration et de l'émerveillement. Il importe de toujours regarder l'autre avec des yeux nouveaux (en empruntant au besoin les yeux du voisin... Ou de la voisine).
Il importe de garder toujours ouverts les yeux du coeur qui perçoivent sans cesse, en dépit des années ce que l'autre a d'unique au monde et de merveilleux.
viepratique241.com
Malheur aux femmes pot-au-feu !
La femme sera belle de la beauté qui plaît à son mari même si dans les détails, elle se fera d'abord plaisir à elle-même. Elle sera belle d'une beauté qui sait varier (même si elle a besoin d'une rallonge pour le budget entretien !)
Remarquons-le bien : le soin du physique est capital en amour. Des deux côtés d'ailleurs : une propreté absolue, un brin de parfum, un rasage parfois le soir pour le mari sont autant d'éléments importants pour la solidité du couple. Quand la femme travaille à l'extérieur, le mari, si fier d'avoir une femme jolie, ne désire pourtant pas toujours qu'elle le soit exagérément en son absence.
La valeur morale :Voilà la difficulté pour la femme : elle doit être séduisante, charnelle, pour plaire physiquement à son mari, mais elle doit faire preuve aussi d'une dignité et d'une moralité parfaite.
Certaines femmes ne sont que charnelles, elles déçoivent ! Certaines femmes sont dignes et méprisent le charnel. Elles déçoivent aussi. Le mari attend en effet que sa femme soit au foyer, ne fût-ce que pour les enfants, dépositaire des valeurs spirituelles et morales qu'il ne possède peut-être pas lui-même. Il a pour elle un sentiment d'adoration qui rappelle la vénération quasi-sacrée qu'il avait pour sa mère.
La femme doit donc concilier dans sa vie de couple le côté charnel et le côté spirituel. Elle doit apprendre à vivre, sans fausse pudeur, et dans la dignité, les réalités les plus charnelles. Elle se montrera toujours respectable, sans jamais refuser les joies du corps.
La transparence :Le mari aime lire dans les pensées de sa femme à livre ouvert. Si dans des bouderies fréquentes, elle cache ses déceptions et ses souffrances, le mari finira par se durcir et par devenir indifférent à ce qu'il appellera ses lubies. "Ce sont ses lunes... Ça lui passera".
L'accueil :
Dans beaucoup de circonstances, l'homme aime être traité par sa femme, comme il le fut autrefois par sa mère. Le sourire de sa femme, son baiser, un souper préparé, des enfants propres qui lui sautent au cou, le comblent, (et il n'en attend pas mois, même s'il prétend souvent le contraire).
Mais quand la femme travaille à l'extérieur, elle n'est pas toujours disponible pour l'accueillir, et souvent, elle aimerait, au contraire, être accueillie à son tour.
La compétence ménagère :
Oui, quelles que soient les belles théories que l'homme moderne puisse alléguer, en général, il préfère que ce soit la femme qui se charge des tâches ménagères : sa mère l'a gâté, ne l'oublions pas. Instinctivement, il désire toujours pour sa femme la compétence ménagère, même si intellectuellement, il est tout à fait d'accord pour clamer bien haut l'égalité de l'homme et de la gemme devant le travail à la maison. Les idées, c'est vrai, ont changé en ce domaine, le mari ne considère plus comme mineures les tâches ménagères, mais dans les faits, il y a encore beaucoup de progrès à faire pour que ce soit le mari qui prenne l'initiative de préparer le repas ou d'accompagner les enfants chez le médecin.
La présence discrète :Le mari ne semble pas aimer buter continuellement sur la personne de sa femme : il craint la femme envahissante et aimerait volontiers sa tranquillité : il est souvent "un célibataire marié". Il ne supporte pas longtemps que sa femme le prenne pour un enfant, en lui prodiguant sans arrêt conseils et interdits : "Conduis moins vite", "range tes affaires", "reste pas enfermé"...
Toutefois il apprécie la présence discrète, effacée mais encourageante et réconfortante de sa femme : il y a des hommes qui sont "perdus" sans leur femme. Les yeux d'une femme sont un miroir où le mari aime se rendre compte qu'il a une valeur.
Ce qu'un homme attend d'une femme, c'est qu'elle soit cette compagne intelligente et douce qui excuse, purifie, élève : elle est un peu sa conscience morale par son exemple discret plus d'ailleurs que par ses rappels à l'ordre moralisateurs.
La fantaisie :Les hommes et le femmes ont besoin de fantaisie. Et si tant de jeunes refusent aujourd'hui le mariage, c'est qu'ils pensent que le cadre juridique vient tuer l'élan, la spontanéité, la fantaisie, donc l'amour. Plus que jamais les couples ont besoin de mettre dans leur amour de la fantaisie.
Les femmes aiment les petites fantaisies : un petit cadeau, une caresse inhabituelle, une parole énamourée, un seul oeillet peuvent les combler.
Les hommes aiment les grosses fantaisies, à la limite, ils changeraient de conjoint ! A l'épouse de savoir varier assez souvent pour satisfaire ce besoin de changement présent chez beaucoup d'hommes.
Que les couples sachent s'offrir des sorties éclairs d'amoureux au restaurant ou au cinéma. Annoncée à l'avance, cette soirée permettra aux époux de se détendre et d'apparaître dans un cadre inhabituel toujours étonnamment séduisants.
Que les couples entreprennent chaque année un voyage de noces. Sans enfant. Pas très long (il ne faut pas avoir le temps de s'ennuyer avec l'autre). Sans folles dépenses. Si l'on objecte la présence des enfants, il faut savoir qu'il existe beaucoup de familles qui accepteraient de dépanner un couple pendant 3 ou 4 jours : il faut simplement avoir la simplicité de le leur demander. Si l'on objecter la dépense, il suffira que le mari se dise : "Je dépenserai pour ma femme ce que j'aurais dépensé pour ma maîtresse si j'en avais une !"
Que les couples n'hésitent pas à se prouver leur amour... En public. N'est-il pas dommage de constater que ceux que l'on voit s'aimer, ne sont le plus souvent pas mariés ?
La fantaisie préserve de la routine, de l'usure de l'amour, de l'habitude qui entraîne la perte de l'admiration et de l'émerveillement. Il importe de toujours regarder l'autre avec des yeux nouveaux (en empruntant au besoin les yeux du voisin... Ou de la voisine).
Il importe de garder toujours ouverts les yeux du coeur qui perçoivent sans cesse, en dépit des années ce que l'autre a d'unique au monde et de merveilleux.
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