Doudou Yaye Katy
Mais il se trouve que ces chanteurs sont les oubliés de l’arène. C’est une révélation faite par la cantatrice Ndickou Thioune qui était l’invitée de l’émission Keur-Gui de Sidath sur la RFM. La cantatrice qui vient de mettre sur le marché un album de deux morceaux a fustigé les conditions précaires dans lesquelles les chanteurs de l’arène travaillent.
Pour la bonne dame, les chanteurs doivent être soutenus compte tenu de leur rôle dans ce sport de chez nous. « Tous les acteurs de la lutte ont un cachet sauf nous. Et je parle pour les tous les chanteurs de l'arène qui ne voient pas la couleur de l'argent qui se distribue par des centaines de millions dans la lutte», a-t-elle fait savoir. L’ex-épouse du chanteur Doudou Yaye Katy de mettre en garde les promoteurs de lutte. « Si on ne nous vient pas en aide, nous ne viendrons plus au stade pour chanter. Et vous verrez bien le vide que cela va occasionner dans l'arène», prévient-elle.
Appuyée par le communicateur traditionnel Salla Bigué qui fait état de la discrimination dont font l’objet les chanteurs de l’arène, Ndickou Thioune de revenir à la charge pour laisser entendre : « Nous sommes plus proches de la sortie ». Ce, pour dire que le partage des millions de l’arène se fait de façon inéquitable. Car, pendant que les lutteurs gagnent des dizaines des millions, ces chanteurs se limitent à faire la cour à « leurs nobles » qui leur balancent un, deux ou trois billets de 10 000 francs Cfa.
Abdou K. Cissé
Pour la bonne dame, les chanteurs doivent être soutenus compte tenu de leur rôle dans ce sport de chez nous. « Tous les acteurs de la lutte ont un cachet sauf nous. Et je parle pour les tous les chanteurs de l'arène qui ne voient pas la couleur de l'argent qui se distribue par des centaines de millions dans la lutte», a-t-elle fait savoir. L’ex-épouse du chanteur Doudou Yaye Katy de mettre en garde les promoteurs de lutte. « Si on ne nous vient pas en aide, nous ne viendrons plus au stade pour chanter. Et vous verrez bien le vide que cela va occasionner dans l'arène», prévient-elle.
Appuyée par le communicateur traditionnel Salla Bigué qui fait état de la discrimination dont font l’objet les chanteurs de l’arène, Ndickou Thioune de revenir à la charge pour laisser entendre : « Nous sommes plus proches de la sortie ». Ce, pour dire que le partage des millions de l’arène se fait de façon inéquitable. Car, pendant que les lutteurs gagnent des dizaines des millions, ces chanteurs se limitent à faire la cour à « leurs nobles » qui leur balancent un, deux ou trois billets de 10 000 francs Cfa.
Abdou K. Cissé