En première ligne dans la lutte pour la reddition des comptes, la Division des investigations criminelles (Dic) mène ses opérations à un rythme effréné. Comme le rapporte Libération, le Trésor public a été lourdement impacté par une fraude impliquant de fausses quittances, causant un préjudice de plusieurs millions de FCFA.
Selon Libération, les faits ont été découverts par le chef du bureau de recouvrement du Centre des services fiscaux de Grand-Dakar. Cette découverte a entraîné l’ouverture d’une enquête administrative, suivie d’une plainte déposée par l’agent judiciaire de l’État. L’affaire a été confiée à la Division des investigations criminelles (Dic), qui a procédé à l’arrestation d’un agent d’assiette nommé Ablaye Malé.
D’après le journal, repris par Senenews, lors de son audition par les enquêteurs, Ablaye Malé est passé aux aveux, reconnaissant les faits qui lui sont reprochés. Cependant, il affirme avoir agi seul, une version que l’information judiciaire prévue devra confirmer ou infirmer.
Le journal Libération souligne également un aspect troublant de cette affaire : il s’agit du troisième cas de fraude similaire enregistré au sein de ce même centre fiscal. Des faits identiques avaient en effet été signalés en 2009 et en 2014. Toutefois, dans ces deux précédents cas, bien que des agents aient été formellement identifiés, aucune plainte n’avait été déposée.
Selon Libération, les faits ont été découverts par le chef du bureau de recouvrement du Centre des services fiscaux de Grand-Dakar. Cette découverte a entraîné l’ouverture d’une enquête administrative, suivie d’une plainte déposée par l’agent judiciaire de l’État. L’affaire a été confiée à la Division des investigations criminelles (Dic), qui a procédé à l’arrestation d’un agent d’assiette nommé Ablaye Malé.
D’après le journal, repris par Senenews, lors de son audition par les enquêteurs, Ablaye Malé est passé aux aveux, reconnaissant les faits qui lui sont reprochés. Cependant, il affirme avoir agi seul, une version que l’information judiciaire prévue devra confirmer ou infirmer.
Le journal Libération souligne également un aspect troublant de cette affaire : il s’agit du troisième cas de fraude similaire enregistré au sein de ce même centre fiscal. Des faits identiques avaient en effet été signalés en 2009 et en 2014. Toutefois, dans ces deux précédents cas, bien que des agents aient été formellement identifiés, aucune plainte n’avait été déposée.