En modifiant leurs profils Facebook, les militants ont manifesté leur colère et leur désapprobation à l’égard du géant de l’Internet Google. L’une des photos les plus répandues sur le réseau social exprimait ainsi:
«Cette personne boycotte YouTube et Google les 24 et 25 septembre. En soutien à notre bien-aimé prophète.»
Qu’il semble loin, le temps des printemps arabes, où les jeunes militants utilisaient les réseaux sociaux mais aussi YouTube pour contester l’ordre établi et transmettre au monde leurs colères, et témoigner de leurs révoltes.
«Nous croyons au droit de chacun à s'exprimer librement, mais en même temps, nous savons que les utilisateurs sont conscients du rôle que Google joue en leur donnant accès universel à l'information», a déclaré une porte-parole de Google pour répondre aux critiques actuelles.
«Dans le cas de l'Egypte et de la Libye, nous avons temporairement restreint la bande-annonce originale et des répliques exactes du film» a-t-elle expliqué.
A la différence de certains pays, où le film a été retiré purement et simplement à la suite des décisions officielles de gouvernements en place, la Libye et l’Egypte n’ont donc subi que des retraits sporadiques lors de journées particulièrement tendues. Certains autres Etats ont préféré bloquer l’accès au site, comme le Soudan.
Cela n’a pas suffi aux militants du web, qui ne désarment pas et appellent à continuer le boycott, en préférant d’autres navigateurs à Google Chrome par exemple. Leur but affiché étant de faire subir à Google de lourdes pertes. Twitter a lui aussi été utilisé pour véhiculer des messages revendicatifs, réunis sous le hashtag #BoycottYoutube.
Lu sur Al-Arabiya
«Cette personne boycotte YouTube et Google les 24 et 25 septembre. En soutien à notre bien-aimé prophète.»
Qu’il semble loin, le temps des printemps arabes, où les jeunes militants utilisaient les réseaux sociaux mais aussi YouTube pour contester l’ordre établi et transmettre au monde leurs colères, et témoigner de leurs révoltes.
«Nous croyons au droit de chacun à s'exprimer librement, mais en même temps, nous savons que les utilisateurs sont conscients du rôle que Google joue en leur donnant accès universel à l'information», a déclaré une porte-parole de Google pour répondre aux critiques actuelles.
«Dans le cas de l'Egypte et de la Libye, nous avons temporairement restreint la bande-annonce originale et des répliques exactes du film» a-t-elle expliqué.
A la différence de certains pays, où le film a été retiré purement et simplement à la suite des décisions officielles de gouvernements en place, la Libye et l’Egypte n’ont donc subi que des retraits sporadiques lors de journées particulièrement tendues. Certains autres Etats ont préféré bloquer l’accès au site, comme le Soudan.
Cela n’a pas suffi aux militants du web, qui ne désarment pas et appellent à continuer le boycott, en préférant d’autres navigateurs à Google Chrome par exemple. Leur but affiché étant de faire subir à Google de lourdes pertes. Twitter a lui aussi été utilisé pour véhiculer des messages revendicatifs, réunis sous le hashtag #BoycottYoutube.
Lu sur Al-Arabiya