Me Wade qui était convaincu que son Premier ministre d’alors, Idrissa Seck, maire de Thiès, voulait sa place, s’était séparé de lui. Ce dernier avait même été traîné devant la justice dans le cadre de la gestion des chantiers dont le budget prévisionnel était arrêté à 20 241 901 500 F Cfa. C’est pendant cette période que l’on a constaté l’arrêt des travaux sur dans la plupart des chantiers. Et depuis maintenant plus de deux ans, l’actuel régime ne semble pas presser le pas pour démarrer et achever les chantiers, encore moins les réceptionner officiellement.
Dix ans après leur lancement, les chantiers de Thiès peinent encore, pour certains d’entre eux, à sortir de terre. Sur un programme qui comportait soixante-dix (70) projets, dix-huit (18) n’ont pas été entamés jusqu’à ce jour, dix-sept (17) sont inachevés et les trente-cinq (35) qui sont terminés n’ont pas été réceptionnés officiellement.
Le président de la République d’alors, Me Abdoulaye Wade avait lancé, en 2004, un Programme de réalisation d’infrastructures et d’équipements dénommé « Fête indépendance Thiès 2004». C’était du temps où Idrissa Seck était à la Primature. Accusé de nourrir la dualité au sommet de l’Etat, il sera défénestré, puis accusé de détournement de fonds dans le cadre des chantiers. Il sera incarcéré à Rebeuss et c’est pendant cette période qu’un coup d’arrêt a été constaté sur des chantiers entamés.
Chantiers non entamés
D’autres (chantiers) qui étaient prévus dans le cadre de ce programme n’ont jamais vu le jour. Il s’agit, selon le rapport présenté par l’adjoint au maire Yankoba Diattara, à l’occasion du Crd du 7 mai dernier, en prélude du conseil interministériel de ce mercredi 03 juin à Thiès, pour la voirie des constructions de huit (08) routes bitumés avec trottoirs dans les quartiers Escale et Aiglon ; de la route de connexion Grand standing-Mbour III et Route de Sindia ; de celle de connexion de la Cité Senghor et Ablaye Yakhine. De même que la réhabilitation de la route de desserte de l’hôpital régional sur l’Avenue Malick Sy et la construction de la route pénétrante à Hersent du Bd, des hautes tensions à la RN3.
Pour ce qui est de l’aménagement paysager, le prolongement du mini bois à l’entrée de ville par la route de Dakar et le traitement spécifique pour les entrées par les routes de St Louis et Sindia sont restés en l’état.
Quid de l’éclairage public ? Il était question de la remise à niveau et extension du réseau d’éclairage public sur les avenues Cheikh Ah madou Bamba, Malick SY, Rocade Sud, pénétrante de Grand Standing et la rue Dr Guillet, mais à l’arrivée, rien.
Concernant le volet assainissement et environnement, la démolition et élargissement de l’ouvrage d’engouffrement en béton armé, situé près de l’école Jules Sagna avec la reprise des systèmes avaloirs situés près de la voie ferrée, n’a jamais été réalisée. C’est le cas pour la reconstruction d’un caniveau couvert en béton y compris trottoir, dalots le long de l’avenue Ousmane Ngom (devant la caserne du GMI) et création d’un exutoire. De même que du remblaiement de l’ancienne carrière située derrière la Gare Routière qui fait office de décharge, et où devait aménagé un bois urbain. Quant à l’acquisition annoncée de trois (3) bennes tasseuses, deux (2) balayeuses mécaniques, deux (2) camions-bennes, deux (2) pick-up, une (1) pelle mécanique et un (1) tracteur pour le renforcement des moyens logistiques affectés au nettoiement, cela se s’est jamais traduite dans les faits.
Au plan de la promotion du développement économique et de la lutte contre la pauvreté, la construction tout corps d’état d’un marché aux poissons moderne, à l’entrée de la Ville, sur la Route de Sindia pour faciliter l’écoulement des produits halieutiques et la délocalisation du Marché SAM n’a jamais vue le jour. C’est le même sort qui est réservé à la construction de routes Thiès-Notto-Tassette jusqu’à Mbour en enrobé dense pour faciliter l’écoulement de produits halieutiques et agricoles.
Dans le domaine de la santé et de l’éducation, il était aussi question, dans le programme indépendance Thiès 2004, de l’acquisition et de la mise en place de mobiliers et d’équipements médicaux dans les structures sanitaires (Hôpital Régional, Centre de Santé, Postes de Santé, …). pour améliorer leur fonctionnement. Mais la frontière des annonces n’a jamais été franchie. La rénovation annoncée de l’immeuble « Jabert » en vue de la création d’une école d’excellence pour l’enseignement secondaire ne sera pas une réalité.
Il était aussi question, pour ce qui concerne les eaux pluviales, de créer d’une retenue d’eau de 6 millions de m3 sur une cuvette naturelle y compris un endiguement et un ouvrage de dérivation pour le Lac artificiel à l’Ouest de l’Ecole Polytechnique, mais à l’arrivée rien n’a été fait.
Chantiers non encore achevés
A côté de ces projets non encore entamés, il y a ceux qui n’ont pas été achevés. C’est le cas, pour l’aménagement paysager, de la réhabilitation des Espaces Verts existants (Place de Caen, Esplanade des Droits de l’Homme, Place de Sousse, Place Blaise Diagne, Place Ibrahima Sarr, Place du Musée, etc.). De même que du traitement des entrées de Ville pour marquer les différentes entrées de Thiès en les valorisant par l’aménagement des espaces envahis par les ordures.
Pour ce qui concerne le volet éclairage public, l’extension et densification pour les quartiers périurbains (Silmang, FAHU, Sud Stade, Thiapong extension, Keur Saïb Ndoye, Keur Issa, Thionakh, Thiapong, Diassap, Keur Modou Ndiaye, etc.), Medina FALL extension, KIP, etc.), HLM Thialy, Diakhao, et les nouveaux lotissements, n’a été réalisée qu’à 7O%.
Quant à l’aménagement de sites, précisons que la construction d’ateliers de production d’art au niveau de la réserve foncière située dans les Manufactures des Arts Décoratives, dénommée Village des Arts, a été réalisée à 90%. Ce n’est pas le cas pour la rénovation des bâtiments abritant le Centre Culturel et la bibliothèque et Construction d’un bâtiment pour le musée et autres activités prévues sur les lieux et la réhabilitation complète y compris l’extension de la Manufacture des Arts Décoratifs de Thiès sont exécutées à 40%.
Au plan de la jeunesse, des loisirs et des sports, notons que la stabilisation de l’aire de jeu, l’éclairage, l’équipement des locaux et le théâtre de verdure du Complexe socio-sportif de Médina Fall ont été exécutés à 90%. C’est le cas pour la rénovation des vestiaires, de l’éclairage, du terrain de handball, etc. du stade Maniang Soumaré qui est réalisée à 90%. Et de moitié (exécuté à 50%) pour ce qui est de la réhabilitation complète (éclairage, pelouse, vestiaire, centre d’hébergement, 2 tribunes-virages, piste d’athlétisme, terrain de hand-ball, parking, …) du Stade Lat Dior. Tout le contraire en ce qui concerne la création de plateaux multifonctionnels de sport dans les quartiers (HLM Thialy, Grand Standing, Parcelles Assainies, Médina Fall, Diakhao, Mbour I, Mbour III Extension, Diassap, Keur Issa, Poniène,) exécuté seulement à 20%.
Quid de la reprise des dalles amovibles des différents caniveaux (Houphouet Boigny, Dixième, Malick Sy, L. S. Senghor, El Hadji Omar, etc.) qui est exécutée à 40% ? Et l’aménagement d’une décharge contrôlée au niveau d’une carrière désaffectée sur la Route de Mont Rolland (à 10 km de Thiès) réalisée à 30% ?
Au chapitre de la promotion du développement économique et de la lutte contre la pauvreté, notons que l’aménagement de la Zone d’Aménagement Concerté (ZAC) de Thiès a été exécuté à 90%, contre 40% pour ce qui est de la construction du Centre commercial après délocalisation de l’Inspection Régionale du Travail.
Pas encore réceptionnés
A côté des chantiers non jamais exécutés et non achevés, il y a ceux qui sont achevés, mais pas encore réceptionnés et cela dure depuis dix ans. C’est le cas de la construction d’une voie de contournement nord en enrobé dense y compris les ouvrages d’art (interconnexion RN2 à l’Est –Route de Mont Rolland et Route Ecole Polytechnique au Nord – RN2 à l’Ouest) 6,5km. C’est le cas de l’aménagement d’un mini-parc d’attraction pour les enfants, sur le terrain situé derrière l’écran géant de la Promenade des Thièssois. Et de la réhabilitation de parois et couverture du Canal de Keur Mame El Hadji, du Traitement des avaloirs et de l’exutoire.
CONSEIL INTERMINISTERIEL DECENTRALISE DANS LA CAPITALE DU RAIL – Près 702 milliards affectés à la région de Thiès
«Le montant global du financement des projets et programmes circonscrits dans la région, dans le cadre du programme d’investissement prioritaire (Pip) 2015-2017 de la région de Thiès, compte non tenu des projets et programmes inter régionaux, des centrales énergétiques et des chantiers de Thiés, se chiffre à sept cent un milliards quatre cent soixante deux millions (701 462 000 000) francs CFA ; dans cette enveloppe, cinq cent quatre vingt deux milliards quatre cent vingt millions (582 420 000 000) francs sont acquis, soit 83% et cent dix neuf milliards quarante deux millions (119 042 000 000) francs CFA sont à recherche, soit 17% », lit-on dans le document de contribution au conseil interministériel décentralisé de la région de Thiès qui se tient ce mercredi dans la capitale du Rail.
Dans le même document, il est écrit que «Les projets et programmes portant sur les chantiers de Thiès font l’objet d’un traitement particulier du fait de la non disponibilité de données financières au moment du bouclage de ce rapport ; ces projets, composés de trente cinq (35) ouvrages achevés non réceptionnés et dix sept (17) ouvrages démarrés et non achevés, sont portés sur une feuille EXCEL spécifique ».
sudonline.sn
Dix ans après leur lancement, les chantiers de Thiès peinent encore, pour certains d’entre eux, à sortir de terre. Sur un programme qui comportait soixante-dix (70) projets, dix-huit (18) n’ont pas été entamés jusqu’à ce jour, dix-sept (17) sont inachevés et les trente-cinq (35) qui sont terminés n’ont pas été réceptionnés officiellement.
Le président de la République d’alors, Me Abdoulaye Wade avait lancé, en 2004, un Programme de réalisation d’infrastructures et d’équipements dénommé « Fête indépendance Thiès 2004». C’était du temps où Idrissa Seck était à la Primature. Accusé de nourrir la dualité au sommet de l’Etat, il sera défénestré, puis accusé de détournement de fonds dans le cadre des chantiers. Il sera incarcéré à Rebeuss et c’est pendant cette période qu’un coup d’arrêt a été constaté sur des chantiers entamés.
Chantiers non entamés
D’autres (chantiers) qui étaient prévus dans le cadre de ce programme n’ont jamais vu le jour. Il s’agit, selon le rapport présenté par l’adjoint au maire Yankoba Diattara, à l’occasion du Crd du 7 mai dernier, en prélude du conseil interministériel de ce mercredi 03 juin à Thiès, pour la voirie des constructions de huit (08) routes bitumés avec trottoirs dans les quartiers Escale et Aiglon ; de la route de connexion Grand standing-Mbour III et Route de Sindia ; de celle de connexion de la Cité Senghor et Ablaye Yakhine. De même que la réhabilitation de la route de desserte de l’hôpital régional sur l’Avenue Malick Sy et la construction de la route pénétrante à Hersent du Bd, des hautes tensions à la RN3.
Pour ce qui est de l’aménagement paysager, le prolongement du mini bois à l’entrée de ville par la route de Dakar et le traitement spécifique pour les entrées par les routes de St Louis et Sindia sont restés en l’état.
Quid de l’éclairage public ? Il était question de la remise à niveau et extension du réseau d’éclairage public sur les avenues Cheikh Ah madou Bamba, Malick SY, Rocade Sud, pénétrante de Grand Standing et la rue Dr Guillet, mais à l’arrivée, rien.
Concernant le volet assainissement et environnement, la démolition et élargissement de l’ouvrage d’engouffrement en béton armé, situé près de l’école Jules Sagna avec la reprise des systèmes avaloirs situés près de la voie ferrée, n’a jamais été réalisée. C’est le cas pour la reconstruction d’un caniveau couvert en béton y compris trottoir, dalots le long de l’avenue Ousmane Ngom (devant la caserne du GMI) et création d’un exutoire. De même que du remblaiement de l’ancienne carrière située derrière la Gare Routière qui fait office de décharge, et où devait aménagé un bois urbain. Quant à l’acquisition annoncée de trois (3) bennes tasseuses, deux (2) balayeuses mécaniques, deux (2) camions-bennes, deux (2) pick-up, une (1) pelle mécanique et un (1) tracteur pour le renforcement des moyens logistiques affectés au nettoiement, cela se s’est jamais traduite dans les faits.
Au plan de la promotion du développement économique et de la lutte contre la pauvreté, la construction tout corps d’état d’un marché aux poissons moderne, à l’entrée de la Ville, sur la Route de Sindia pour faciliter l’écoulement des produits halieutiques et la délocalisation du Marché SAM n’a jamais vue le jour. C’est le même sort qui est réservé à la construction de routes Thiès-Notto-Tassette jusqu’à Mbour en enrobé dense pour faciliter l’écoulement de produits halieutiques et agricoles.
Dans le domaine de la santé et de l’éducation, il était aussi question, dans le programme indépendance Thiès 2004, de l’acquisition et de la mise en place de mobiliers et d’équipements médicaux dans les structures sanitaires (Hôpital Régional, Centre de Santé, Postes de Santé, …). pour améliorer leur fonctionnement. Mais la frontière des annonces n’a jamais été franchie. La rénovation annoncée de l’immeuble « Jabert » en vue de la création d’une école d’excellence pour l’enseignement secondaire ne sera pas une réalité.
Il était aussi question, pour ce qui concerne les eaux pluviales, de créer d’une retenue d’eau de 6 millions de m3 sur une cuvette naturelle y compris un endiguement et un ouvrage de dérivation pour le Lac artificiel à l’Ouest de l’Ecole Polytechnique, mais à l’arrivée rien n’a été fait.
Chantiers non encore achevés
A côté de ces projets non encore entamés, il y a ceux qui n’ont pas été achevés. C’est le cas, pour l’aménagement paysager, de la réhabilitation des Espaces Verts existants (Place de Caen, Esplanade des Droits de l’Homme, Place de Sousse, Place Blaise Diagne, Place Ibrahima Sarr, Place du Musée, etc.). De même que du traitement des entrées de Ville pour marquer les différentes entrées de Thiès en les valorisant par l’aménagement des espaces envahis par les ordures.
Pour ce qui concerne le volet éclairage public, l’extension et densification pour les quartiers périurbains (Silmang, FAHU, Sud Stade, Thiapong extension, Keur Saïb Ndoye, Keur Issa, Thionakh, Thiapong, Diassap, Keur Modou Ndiaye, etc.), Medina FALL extension, KIP, etc.), HLM Thialy, Diakhao, et les nouveaux lotissements, n’a été réalisée qu’à 7O%.
Quant à l’aménagement de sites, précisons que la construction d’ateliers de production d’art au niveau de la réserve foncière située dans les Manufactures des Arts Décoratives, dénommée Village des Arts, a été réalisée à 90%. Ce n’est pas le cas pour la rénovation des bâtiments abritant le Centre Culturel et la bibliothèque et Construction d’un bâtiment pour le musée et autres activités prévues sur les lieux et la réhabilitation complète y compris l’extension de la Manufacture des Arts Décoratifs de Thiès sont exécutées à 40%.
Au plan de la jeunesse, des loisirs et des sports, notons que la stabilisation de l’aire de jeu, l’éclairage, l’équipement des locaux et le théâtre de verdure du Complexe socio-sportif de Médina Fall ont été exécutés à 90%. C’est le cas pour la rénovation des vestiaires, de l’éclairage, du terrain de handball, etc. du stade Maniang Soumaré qui est réalisée à 90%. Et de moitié (exécuté à 50%) pour ce qui est de la réhabilitation complète (éclairage, pelouse, vestiaire, centre d’hébergement, 2 tribunes-virages, piste d’athlétisme, terrain de hand-ball, parking, …) du Stade Lat Dior. Tout le contraire en ce qui concerne la création de plateaux multifonctionnels de sport dans les quartiers (HLM Thialy, Grand Standing, Parcelles Assainies, Médina Fall, Diakhao, Mbour I, Mbour III Extension, Diassap, Keur Issa, Poniène,) exécuté seulement à 20%.
Quid de la reprise des dalles amovibles des différents caniveaux (Houphouet Boigny, Dixième, Malick Sy, L. S. Senghor, El Hadji Omar, etc.) qui est exécutée à 40% ? Et l’aménagement d’une décharge contrôlée au niveau d’une carrière désaffectée sur la Route de Mont Rolland (à 10 km de Thiès) réalisée à 30% ?
Au chapitre de la promotion du développement économique et de la lutte contre la pauvreté, notons que l’aménagement de la Zone d’Aménagement Concerté (ZAC) de Thiès a été exécuté à 90%, contre 40% pour ce qui est de la construction du Centre commercial après délocalisation de l’Inspection Régionale du Travail.
Pas encore réceptionnés
A côté des chantiers non jamais exécutés et non achevés, il y a ceux qui sont achevés, mais pas encore réceptionnés et cela dure depuis dix ans. C’est le cas de la construction d’une voie de contournement nord en enrobé dense y compris les ouvrages d’art (interconnexion RN2 à l’Est –Route de Mont Rolland et Route Ecole Polytechnique au Nord – RN2 à l’Ouest) 6,5km. C’est le cas de l’aménagement d’un mini-parc d’attraction pour les enfants, sur le terrain situé derrière l’écran géant de la Promenade des Thièssois. Et de la réhabilitation de parois et couverture du Canal de Keur Mame El Hadji, du Traitement des avaloirs et de l’exutoire.
CONSEIL INTERMINISTERIEL DECENTRALISE DANS LA CAPITALE DU RAIL – Près 702 milliards affectés à la région de Thiès
«Le montant global du financement des projets et programmes circonscrits dans la région, dans le cadre du programme d’investissement prioritaire (Pip) 2015-2017 de la région de Thiès, compte non tenu des projets et programmes inter régionaux, des centrales énergétiques et des chantiers de Thiés, se chiffre à sept cent un milliards quatre cent soixante deux millions (701 462 000 000) francs CFA ; dans cette enveloppe, cinq cent quatre vingt deux milliards quatre cent vingt millions (582 420 000 000) francs sont acquis, soit 83% et cent dix neuf milliards quarante deux millions (119 042 000 000) francs CFA sont à recherche, soit 17% », lit-on dans le document de contribution au conseil interministériel décentralisé de la région de Thiès qui se tient ce mercredi dans la capitale du Rail.
Dans le même document, il est écrit que «Les projets et programmes portant sur les chantiers de Thiès font l’objet d’un traitement particulier du fait de la non disponibilité de données financières au moment du bouclage de ce rapport ; ces projets, composés de trente cinq (35) ouvrages achevés non réceptionnés et dix sept (17) ouvrages démarrés et non achevés, sont portés sur une feuille EXCEL spécifique ».
sudonline.sn