
"Ce discours du Khalife coïncide avec la situation difficile dans laquelle se trouve le Sénégal en terme de valeurs morales. Nous avons un Président qui nous dicte une conduite sur la gestion des derniers publics. Toutefois, même s'il est normal et bien de pardonner, il est bon de préciser que la vérité et la tolérance restent deux facteurs essentiels dans la gestion d'un pays. La tolérance ne veut pas dire laisser tous ceux qui ont fauté ou volé l'argent du contribuable s'en sortir libres comme l'air. La tolérance et le pardon doivent se faire, la vérité aussi", a affirmé Cheikh Bamba Dièye, selon nos confrères du journal L'As.