"Ce qui s'est passé a un côté positif dans la mesure où il montre, aux yeux du monde, que le Sénégal est ancré dans la démocratie et que son peuple est mature. Il faut qu'on arrête de jouer avec cette démocratie-là. Le Sénégal est un des rares pays qui, dans la pauvreté, a su asseoir un système démocratique envié par tout le monde. On a laissé le Pds et ses alliés faire leur meeting à la Place de l'Obélisque", s'est félicité Dr Cheikh Oumar Hann dans les colonnes du Populaire.
Toutefois, le premier magistrat de la ville de Ndioum regrette "la mise en scène qui a été faite pour permettre à Abdoulaye Wade de faire son show". "On a préparé à Abdoulaye Wade un discours. Déjà, ils savaient que la personne n'était plus la même. On ne lui a jamais préparé un discours. Et on a vu à côté de lui des gens lui souffler à l'oreille ce qu'il devait dire. L'homme a perdu physiquement. Et, intellectuellement, il est à plat", a poursuivi M. Hann. Ce qui lui fait dire : "Le Wade qu'on a vu ne suscite que désolation et pitié. Parce qu'il a été, quand-même, président de la République du Sénégal. Il se devait de préserver sa dignité d'ancien chef d'Etat. Il n'a pas su le faire. Wade, c'est fini. Il faut qu'il accepte le fait qu'il appartient désormais au passé".
Et le Directeur général du Centre des œuvres universitaires de Dakar de Dakar de marteler : "Abdoulaye Wade est tellement sénile qu'il a oublié que nous sommes dans une démocratie. Et que c'est démocratiquement qu'il a été élu. Et c'est par le même processus qu'il a quitté le pouvoir". Aussi, avertit-il : "On ne laissera pas faire ce qu'il veut dans ce pays. Ses velléités de sabotage ne passeront pas. Force restera à la loi".
Toutefois, le premier magistrat de la ville de Ndioum regrette "la mise en scène qui a été faite pour permettre à Abdoulaye Wade de faire son show". "On a préparé à Abdoulaye Wade un discours. Déjà, ils savaient que la personne n'était plus la même. On ne lui a jamais préparé un discours. Et on a vu à côté de lui des gens lui souffler à l'oreille ce qu'il devait dire. L'homme a perdu physiquement. Et, intellectuellement, il est à plat", a poursuivi M. Hann. Ce qui lui fait dire : "Le Wade qu'on a vu ne suscite que désolation et pitié. Parce qu'il a été, quand-même, président de la République du Sénégal. Il se devait de préserver sa dignité d'ancien chef d'Etat. Il n'a pas su le faire. Wade, c'est fini. Il faut qu'il accepte le fait qu'il appartient désormais au passé".
Et le Directeur général du Centre des œuvres universitaires de Dakar de Dakar de marteler : "Abdoulaye Wade est tellement sénile qu'il a oublié que nous sommes dans une démocratie. Et que c'est démocratiquement qu'il a été élu. Et c'est par le même processus qu'il a quitté le pouvoir". Aussi, avertit-il : "On ne laissera pas faire ce qu'il veut dans ce pays. Ses velléités de sabotage ne passeront pas. Force restera à la loi".