Ce plan qui concernant plus particulièrement Dakar qui fait les frais de la forte pluie accompagnée de vents violents mardi nuit, démarre ce jeudi, a fait savoir M. Sy. Le ministre a expliqué qu‘une réunion de crise se tiendra demain autour du Premier ministre Aguibou Soumaré pour plancher sur les interventions publiques. Celles-ci consistent en trois points dont le déplacement des populations des zones inondées et leur recensement, les secours sociomédicaux, outre le desséchement des zones touchées seront asséchées à l’aide de moto-pompes sous la conduite des sapeurs pompiers.
Le ministre de l’Intérieur a demandé la « compréhension » des populations concernées, notant que le Sénégal n’est pas seul à souffrir de ces phénomènes naturelles.
Les précipitations qui se sont abattues mardi nuit sur la capitale ont causé des dégâts et créé des embouteillages monstres sur les axes routiers ce mercredi matin. Vers 2 heures du matin, un coup de vent violent a soufflé sur Dakar emportant la toiture du stade Demba Diop. L’intempérie a déraciné un peu partout des arbres. Idem dans les régions comme à Matam (au nord à la frontière avec la Mauritanie).
Globalement, la situation pluviométrique reste cette année très favorable et les paysans craignent même qu’un excédent de pluies ne nuise aux cultures qui sont à un stade de développement très avancé. Selon la météo, pratiquement toutes les stations de relevés pluviométriques dépassent la normale et certaines ont même atteint le cumul de toute l’année dernière. Les spécialistes de l’agriculture estiment également que des spéculations hâtives comme le niébé pourraient faire cette année l’objet de deux récoltes, notamment dans la zone Sud de Casamance.
Fin août dernier, l’Etat s’est engagé dégager au total 400 millions de francs CFA pour lutter contre les inondations dans la banlieue de Dakar.
En 2005, l’Etat du Sénégal avait lancé un programme estimé à 52 milliards de francs CFA suite à des inondations liées à de fortes précipitations à Dakar et dans la banlieue. Le plan dit ’’Jaxaay’’ a consisté à la construction de cités devant permettre de reloger les habitants déplacées des zones inondées situées la plupart dans des bidonvilles.
Le ministre de l’Intérieur a demandé la « compréhension » des populations concernées, notant que le Sénégal n’est pas seul à souffrir de ces phénomènes naturelles.
Les précipitations qui se sont abattues mardi nuit sur la capitale ont causé des dégâts et créé des embouteillages monstres sur les axes routiers ce mercredi matin. Vers 2 heures du matin, un coup de vent violent a soufflé sur Dakar emportant la toiture du stade Demba Diop. L’intempérie a déraciné un peu partout des arbres. Idem dans les régions comme à Matam (au nord à la frontière avec la Mauritanie).
Globalement, la situation pluviométrique reste cette année très favorable et les paysans craignent même qu’un excédent de pluies ne nuise aux cultures qui sont à un stade de développement très avancé. Selon la météo, pratiquement toutes les stations de relevés pluviométriques dépassent la normale et certaines ont même atteint le cumul de toute l’année dernière. Les spécialistes de l’agriculture estiment également que des spéculations hâtives comme le niébé pourraient faire cette année l’objet de deux récoltes, notamment dans la zone Sud de Casamance.
Fin août dernier, l’Etat s’est engagé dégager au total 400 millions de francs CFA pour lutter contre les inondations dans la banlieue de Dakar.
En 2005, l’Etat du Sénégal avait lancé un programme estimé à 52 milliards de francs CFA suite à des inondations liées à de fortes précipitations à Dakar et dans la banlieue. Le plan dit ’’Jaxaay’’ a consisté à la construction de cités devant permettre de reloger les habitants déplacées des zones inondées situées la plupart dans des bidonvilles.
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