Ils avaient pris place à bord de l’avion d’Air France reliant N’Djamena, la capitale du Tchad, à Paris. Ayant décollé à 1h du matin, deux heures après l’horaire prévu du fait d’orages qui ont éclaté dans la capitale tchadienne, l’aéronef n’arrivera pas à Paris.
Alors qu’il atteignait sa vitesse de croisière, le commandant a lancé un communiqué qui a alarmé tous les passagers : "On dirait que le sort s’acharne contre nous aujourd’hui. Un oiseau est entré dans l’un des moteurs de l’appareil. Nous ne pouvons plus, pour des raisons de sécurité, continuer notre voyage sur Paris. Et ne pouvons non plus atterrir à N’Djamena car l’avion, qui a fait le plein de kérosène, est trop lourd pour se poser. Nous sommes obligés de tourner autour de N’Djamena pendant deux heures pour brûler le kérosène".
Il s’en est suivi deux heures de galère, où l’aéronef a été soumis à des turbulences sévères, obligé de rester dans la zone orageuse. La panique était totale. Averties par les autorités de l’aéroport que l’avion avait à son bord Cheikh Yérim Seck, les patrons français et les familles d’importants dignitaires du régme en partance à Paris pour des vacances, les autorités tchadiennes ont pris d’mportantes dispositions de sécurité.
Quand l’avion atterrissait au bout de 2h 30 de difficiles manoeuvres, étaient déjà massés sur les abords de la piste les sapeurs pompiers et différentes équipes de secouristes. Notre confrère Cheikh Yérim Seck et ses compagnons d’infortune s’en sont sortis in extremis. La série noire d’accidents, qui a touché l’avion d’Air France de la ligne Paris-Rio et l’appareil Yemenia de la ligne Sanaa-Moroni, a manqué de peu de les emporter.
Source: www.sen24heures.com
Alors qu’il atteignait sa vitesse de croisière, le commandant a lancé un communiqué qui a alarmé tous les passagers : "On dirait que le sort s’acharne contre nous aujourd’hui. Un oiseau est entré dans l’un des moteurs de l’appareil. Nous ne pouvons plus, pour des raisons de sécurité, continuer notre voyage sur Paris. Et ne pouvons non plus atterrir à N’Djamena car l’avion, qui a fait le plein de kérosène, est trop lourd pour se poser. Nous sommes obligés de tourner autour de N’Djamena pendant deux heures pour brûler le kérosène".
Il s’en est suivi deux heures de galère, où l’aéronef a été soumis à des turbulences sévères, obligé de rester dans la zone orageuse. La panique était totale. Averties par les autorités de l’aéroport que l’avion avait à son bord Cheikh Yérim Seck, les patrons français et les familles d’importants dignitaires du régme en partance à Paris pour des vacances, les autorités tchadiennes ont pris d’mportantes dispositions de sécurité.
Quand l’avion atterrissait au bout de 2h 30 de difficiles manoeuvres, étaient déjà massés sur les abords de la piste les sapeurs pompiers et différentes équipes de secouristes. Notre confrère Cheikh Yérim Seck et ses compagnons d’infortune s’en sont sortis in extremis. La série noire d’accidents, qui a touché l’avion d’Air France de la ligne Paris-Rio et l’appareil Yemenia de la ligne Sanaa-Moroni, a manqué de peu de les emporter.
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