Un avion déjà peint aux couleurs nationales et baptisé « Pointe de Sarène » et dont le hangar est en train d’être construit à l’aéroport Léopold Sédar Senghor pour un coût de 50 millions de F CFA. A la question du journaliste Alassane Samba Diop sur l’acquisition de cet aéronef, le journaliste invité de « Remue-ménage », Cheikh Yérim Seck, a jugé son achat tout simplement indécent. « C’est indécent d’acheter un avion dans ce contexte, juste pour le plaisir du prince au sens machiavélique du terme », a déclaré le journaliste.
Cheikh Yérim Seck pense d’ailleurs que le gouvernement doit avoir le sens des priorités et la priorité c’est le règlement de la question de l’électricité.
« Les plans qu’on nous propose, on en a connu. Samuel Sarr avait son plan et avait même donné une échéance. Aujourd’hui, on nous parle d’un autre plan, avec d’autres délais. Le temps des discours, des beaux plans est dépassé. Il faut agir. Car les conséquences des délestages sont innombrables. Il y a des conséquences sur toute la ligne. Sur le plan de la production comme sur le plan de l’investissement. Aucun investisseur ne viendra mettre son argent dans un pays où il n’y a pas d’électricité. La question de l’électricité doit être érigée en enjeu stratégique prioritaire. Elle ne doit pas être réglée de manière politicienne. Elle doit être priorisée, gérée de façon volontariste. Il faut qu’on y injecte des fonds conséquents », croit savoir Cheikh Yérim Seck.
Le journaliste fustige ce qu’il appelle le « mensonge politique » des autorités qui donnent des délais qu’elles savent ne pouvoir respecter.
« Ce que je reproche aux autorités, c’est de n’avoir pas communiqué. De faire si la chose est simple alors qu’elle ne l’est pas », déclare Cheikh Yérim Seck qui pense que la Senelec doit commander elle-même son fuel.
nettali.net
Thiedo
Cheikh Yérim Seck pense d’ailleurs que le gouvernement doit avoir le sens des priorités et la priorité c’est le règlement de la question de l’électricité.
« Les plans qu’on nous propose, on en a connu. Samuel Sarr avait son plan et avait même donné une échéance. Aujourd’hui, on nous parle d’un autre plan, avec d’autres délais. Le temps des discours, des beaux plans est dépassé. Il faut agir. Car les conséquences des délestages sont innombrables. Il y a des conséquences sur toute la ligne. Sur le plan de la production comme sur le plan de l’investissement. Aucun investisseur ne viendra mettre son argent dans un pays où il n’y a pas d’électricité. La question de l’électricité doit être érigée en enjeu stratégique prioritaire. Elle ne doit pas être réglée de manière politicienne. Elle doit être priorisée, gérée de façon volontariste. Il faut qu’on y injecte des fonds conséquents », croit savoir Cheikh Yérim Seck.
Le journaliste fustige ce qu’il appelle le « mensonge politique » des autorités qui donnent des délais qu’elles savent ne pouvoir respecter.
« Ce que je reproche aux autorités, c’est de n’avoir pas communiqué. De faire si la chose est simple alors qu’elle ne l’est pas », déclare Cheikh Yérim Seck qui pense que la Senelec doit commander elle-même son fuel.
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