Dans les débats, le journaliste a affirmé que, « N’eût été la sœur de Aïssata Tall, nous n’en serions pas là. Elle a été entrainée dans un engrenage qu’elle ne maitrise pas, car j’étais sérieux et j’envisageais l’avenir avec elle. Poursuivant sa défense, selon Enquête, Cheikh Yérim Seck a rejeté les constations du certificat médical. « Mes experts m’ont dit que les saignements peuvent avoir deux origines : soit déchirure hyménale ou blessure à l’utérus » a-t-il déclaré. Toutefois, le journaliste a reconnu avoir commis une faute religieuse. Il n’a pas manqué d’exprimer ses regrets, tout en contestant le viol. « Tout dans cette affaire me désole, mais les dégâts sont partagés. Donc je n’accepte pas d’être accusé de viol », a-t-il asséné.
Cheikh Yérim reconnait avoir commis une faute religieuseLERAL.NET Le procès Cheikh Yérim Seck et Ndèye Aïssata Tall a tenu ses promesses. Au cours d’une audience marathon, riche en révélations, le journaliste et la jeune bachelière se sont livrés à de succulentes joutes oratoires. La partie civile réclame 100 millions de francs Cfa, alors que le Parquet a requis 3 ans de prison contre le journaliste.Rédigé par leral.net le Jeudi 20 Septembre 2012 à 07:23 | | 21 commentaire(s)|
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