Selon L'Observateur, Cheikh Yérim Seck, poursuivi pour viol tombe sous le coup de l'article 320du Code pénal (si toute fois sa culpabilité est établie par le tribunal des flagrants délits de Dakar qui a la charge de cette affaire). Et cet article logé dans la section 5 dudit Code qui traite des des "attentats aux moeurs", stipule que : "Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par contrainte, menace, violence et surprise est un viol" Ainsi, si Cheikh Yérim Seck est bien l'auteur des faits qui lui sont reprochés, "le viol sera puni d'un emprisonnement de cinq à dix", précise l'article 320 du Code pénal. Pour les circonstance de "minorité", de "séquestration", de "groupe", la peine peut être doublée. Ce qui n'est pas le cas pour l'affaire de Cheikh Yérim Seck où l'on a l'habitude de parler de viol simple.
Abdallh Sarr
Abdallh Sarr