« Nous avons beaucoup discuté et nous allons encore parler pour savoir de quoi sera fait mon avenir car cette année, je n’ai pas eu le rôle que j’attendais, je ne me sens pas bien ». Lundi, dans les colonnes du quotidien sportif espagnol As, Fernando Torres (28 ans) vidait son sac après une saison plus que compliquée du côté de Chelsea. Dès lors, les premières rumeurs l’ont annoncé de retour en Espagne (Punto Pelota l’a ainsi annoncé dans le viseur du FC Barcelone où le président Sandro Rosell est l’un de ses plus fervents admirateurs). Mais les Blues n’entendent pas se séparer si vite d’un attaquant qui leur a coûté 58 M€ en janvier 2011.
C’est The Guardian qui l’affirme : « Torres n’ira nulle part ». Et les propos du dirigeant londonien Ron Gourlay au micro de Sky Sports valident cette thèse. « Fernando ne sera pas sanctionné pour ses commentaires. Il faut prendre en compte que ses mots ont été prononcés à chaud, avec l’émotion du moment. Tous les joueurs veulent jouer et cela me surprendrait que Fernando ne le veuille pas lui aussi. Je suis sûr qu’il aurait aimé disputer plus de matches et passer plus de temps sur le terrain, mais comme n’importe quel autre professionnel », a-t-il lancé. Un discours policé qui vise à ne surtout pas froisser l’international espagnol.
D’ailleurs, en Espagne, on considère que le fait que les pensionnaires de Stamford Bridge n’aient pas retenu outre mesure leur héros Didier Drogba est un signe de confiance envers Fernando Torres. D’ailleurs, l’Ivoirien a adoubé l’Ibère en adressant ses adieux au peuple blue. « Il a vécu une année difficile, mais la prochaine sera la sienne. J’ai parlé avec lui, nous entretenons une bonne relation. Nous nous demandions souvent pourquoi nous ne jouions pas ensemble. Torres est l’avenir de Chelsea », a-t-il lâché à la BBC. Parti rejoindre la sélection espagnole pour l’Euro en Pologne et en Ukraine, Fernando Torres a de quoi être rassuré, Chelsea compte visiblement sur lui pour la saison prochaine.
Alexis Pereira
C’est The Guardian qui l’affirme : « Torres n’ira nulle part ». Et les propos du dirigeant londonien Ron Gourlay au micro de Sky Sports valident cette thèse. « Fernando ne sera pas sanctionné pour ses commentaires. Il faut prendre en compte que ses mots ont été prononcés à chaud, avec l’émotion du moment. Tous les joueurs veulent jouer et cela me surprendrait que Fernando ne le veuille pas lui aussi. Je suis sûr qu’il aurait aimé disputer plus de matches et passer plus de temps sur le terrain, mais comme n’importe quel autre professionnel », a-t-il lancé. Un discours policé qui vise à ne surtout pas froisser l’international espagnol.
D’ailleurs, en Espagne, on considère que le fait que les pensionnaires de Stamford Bridge n’aient pas retenu outre mesure leur héros Didier Drogba est un signe de confiance envers Fernando Torres. D’ailleurs, l’Ivoirien a adoubé l’Ibère en adressant ses adieux au peuple blue. « Il a vécu une année difficile, mais la prochaine sera la sienne. J’ai parlé avec lui, nous entretenons une bonne relation. Nous nous demandions souvent pourquoi nous ne jouions pas ensemble. Torres est l’avenir de Chelsea », a-t-il lâché à la BBC. Parti rejoindre la sélection espagnole pour l’Euro en Pologne et en Ukraine, Fernando Torres a de quoi être rassuré, Chelsea compte visiblement sur lui pour la saison prochaine.
Alexis Pereira