Monsieur le Président,
Le moment est très mal choisi. Il est vrai votre titre de Président vous fait entrer dans la sphère de la gouvernance où prévaut la réalité de « Gouverner, c’est prévoir ». Cependant, le sport est différent de l’Etat. La réalité du sport exige de ses dirigeants une gestion de toute une ferveur positive pour booster et galvaniser les acteurs qui vont devoir décrocher cette qualification. Pendant une semaine, l’on a impression que la Fédération que vous présidez pose des actes de déstabilisation. Non d’une équipe tout simplement mais celle de tout un peuple. Si ce n’est pas un débat que vous avez alimenté autour de la « grâce présidentielle » accordée à El Hadji Diouf, c’est maintenant le débat sur l’entraineur à la tête de notre équipe nationale.
Il est vrai que la bataille du jeu va se livrer sur le terrain contre les éléphants. Mais vous convenez avec moi que les éléments motivants, déclencheurs et propulseurs vers la victoire sont déterminés par l’encadrement et la communication autour de nos lions. Par conséquent, mettre de côté tout ce qui peut procurer de l’énergie négative à cette équipe serait un atout en direction de notre qualification.
Monsieur le Président, Auguste Maître Augustin, je ne saurai terminer sans pour autant penser que vous tiendrez compte de ces rappels et réajuster avant qu’il ne soit trop tard. Je ne doute aucunement de votre bonne foi quant à la prise en compte des dispositions morales et consciencieuses de l’entourage de cette équipe. Je ne pense guère revoir les mêmes dérives sous votre magistère. En bon homonyme, je vous rappelle ces dires de votre éminent homonyme Saint Augustin qui disait dans l’un de ses sermons : « Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. »
La balle est dans votre camp. Marquez en deux pour nous qualifier.
Malick Gueye
Supporter et patriote
imamgueye@hotmail.com
Le moment est très mal choisi. Il est vrai votre titre de Président vous fait entrer dans la sphère de la gouvernance où prévaut la réalité de « Gouverner, c’est prévoir ». Cependant, le sport est différent de l’Etat. La réalité du sport exige de ses dirigeants une gestion de toute une ferveur positive pour booster et galvaniser les acteurs qui vont devoir décrocher cette qualification. Pendant une semaine, l’on a impression que la Fédération que vous présidez pose des actes de déstabilisation. Non d’une équipe tout simplement mais celle de tout un peuple. Si ce n’est pas un débat que vous avez alimenté autour de la « grâce présidentielle » accordée à El Hadji Diouf, c’est maintenant le débat sur l’entraineur à la tête de notre équipe nationale.
Il est vrai que la bataille du jeu va se livrer sur le terrain contre les éléphants. Mais vous convenez avec moi que les éléments motivants, déclencheurs et propulseurs vers la victoire sont déterminés par l’encadrement et la communication autour de nos lions. Par conséquent, mettre de côté tout ce qui peut procurer de l’énergie négative à cette équipe serait un atout en direction de notre qualification.
Monsieur le Président, Auguste Maître Augustin, je ne saurai terminer sans pour autant penser que vous tiendrez compte de ces rappels et réajuster avant qu’il ne soit trop tard. Je ne doute aucunement de votre bonne foi quant à la prise en compte des dispositions morales et consciencieuses de l’entourage de cette équipe. Je ne pense guère revoir les mêmes dérives sous votre magistère. En bon homonyme, je vous rappelle ces dires de votre éminent homonyme Saint Augustin qui disait dans l’un de ses sermons : « Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. »
La balle est dans votre camp. Marquez en deux pour nous qualifier.
Malick Gueye
Supporter et patriote
imamgueye@hotmail.com