Mais peut-on, honnêtement écrire en tant que simple observateur et continue à jouer les intermédiaires sans pour autant le signaler à ses lecteurs ? Mais plus grave encore l’un des deux conjoints a-t-il à ce jour déposé une demande de divorce ? Un divorce a-t-il été prononcé ? La garde des enfants est-elle l’exclusivité de l’un des deux parents ?
Parler de futur ex-mari est indécent en matière de journalisme. Pour la bonne est simple raison que cela relève de la divination. Or il faut bien choisir son métier ! Il y a, par ailleurs, des choses cycliques que l’on ne s’explique pas.
Par exemple :
Après 7 ans de mariage les mêmes faits relatés aujourd’hui, notamment l’abandon de domicile conjugal s’était produit. Le juge avait été sollicité, les avocats avaient déposé leurs conclusions. Elle est partie jusqu’aux USA, notre fils aîné qui avait moins de cinq ans était resté avec moi. Mais elle revint, après, tranquillement rejoindre la maison familiale. C’est le Bâtonnier sortant qui était son avocat. Aujourd’hui, et 7 ans après, le même phénomène s’est reproduit. Coïncidence ou pas ?
La première fois c’était quelques mois après le décès de son grand père paternel. Cette fois-ci elle a perdu il y a quelques mois sa grand-mère et homonyme. Gérer son ménage c’est, à la fois, gérer des sentiments, gérer des humeurs et gérer des intérêts. Mais c’est aussi affronter des problèmes relatifs à l’équilibre.
Comment peut-on dire que c’est un délit de souhaiter ses enfants et leur mère ? Est-ce cela se départir de son humanisme ? Mais là où le bât blesse c’est quand une certaine presse, pour ne pas dire certains journalistes, tirent leur plaisir du mal qu’ils font à de simples enfants (pédophile journalistique (l’expression m’appartient)).
Notre fils de douze ans ne voulait pas que ses camarades lui posent des questions sur les relations entre ses parents. Dans un hameau de 27 cases où le nombre d’enfants de son âge ne dépasse pas dix. A juste raison, je l’ai éloigné de certains quolibets. Une vidéo est disponible où on le voit jouer et dire qu’il est bien là où il est. Parler de déballage en ce qui me concerne est une insulte grave. Dans ma culture, qui est une culture coranique, on se doit de respecter la mère de ses enfants comme sa propre mère. D’ailleurs toute parole mal placée prononcée en son encontre est considérée comme à l’encontre de sa propre mère.
Je le dis pour la postérité : La mère de mes merveilleux enfants ne peut être qu’une femme merveilleuse. Les journalistes font partie des régulateurs de la société. Ils sont gardiens de la morale, entre autre. Mais s’il vous plait, laissez les enfants jouer tranquillement !
Si leur mère revenait un jour, ce jour là ne sera pas compté comme un jour de malheur dans le foyer. Si c’est un « ÑAKK JOM », je l’assure.
Ecrire des lignes qui peuvent contribuer à séparer des couples qui ont des enfants, c’est simplement fabriquer des orphelins dont les parents sont bien vivants. Mon père me disait, le jour où il m’a remis le secret ultime qui permet de contrôler l’énergie et beaucoup d’autres choses : « Maintenant que tu sais soulever des montagnes de par ta langue sois, alors, sobre en parole ».
AHMED KHALIFA NIASSE
Parler de futur ex-mari est indécent en matière de journalisme. Pour la bonne est simple raison que cela relève de la divination. Or il faut bien choisir son métier ! Il y a, par ailleurs, des choses cycliques que l’on ne s’explique pas.
Par exemple :
Après 7 ans de mariage les mêmes faits relatés aujourd’hui, notamment l’abandon de domicile conjugal s’était produit. Le juge avait été sollicité, les avocats avaient déposé leurs conclusions. Elle est partie jusqu’aux USA, notre fils aîné qui avait moins de cinq ans était resté avec moi. Mais elle revint, après, tranquillement rejoindre la maison familiale. C’est le Bâtonnier sortant qui était son avocat. Aujourd’hui, et 7 ans après, le même phénomène s’est reproduit. Coïncidence ou pas ?
La première fois c’était quelques mois après le décès de son grand père paternel. Cette fois-ci elle a perdu il y a quelques mois sa grand-mère et homonyme. Gérer son ménage c’est, à la fois, gérer des sentiments, gérer des humeurs et gérer des intérêts. Mais c’est aussi affronter des problèmes relatifs à l’équilibre.
Comment peut-on dire que c’est un délit de souhaiter ses enfants et leur mère ? Est-ce cela se départir de son humanisme ? Mais là où le bât blesse c’est quand une certaine presse, pour ne pas dire certains journalistes, tirent leur plaisir du mal qu’ils font à de simples enfants (pédophile journalistique (l’expression m’appartient)).
Notre fils de douze ans ne voulait pas que ses camarades lui posent des questions sur les relations entre ses parents. Dans un hameau de 27 cases où le nombre d’enfants de son âge ne dépasse pas dix. A juste raison, je l’ai éloigné de certains quolibets. Une vidéo est disponible où on le voit jouer et dire qu’il est bien là où il est. Parler de déballage en ce qui me concerne est une insulte grave. Dans ma culture, qui est une culture coranique, on se doit de respecter la mère de ses enfants comme sa propre mère. D’ailleurs toute parole mal placée prononcée en son encontre est considérée comme à l’encontre de sa propre mère.
Je le dis pour la postérité : La mère de mes merveilleux enfants ne peut être qu’une femme merveilleuse. Les journalistes font partie des régulateurs de la société. Ils sont gardiens de la morale, entre autre. Mais s’il vous plait, laissez les enfants jouer tranquillement !
Si leur mère revenait un jour, ce jour là ne sera pas compté comme un jour de malheur dans le foyer. Si c’est un « ÑAKK JOM », je l’assure.
Ecrire des lignes qui peuvent contribuer à séparer des couples qui ont des enfants, c’est simplement fabriquer des orphelins dont les parents sont bien vivants. Mon père me disait, le jour où il m’a remis le secret ultime qui permet de contrôler l’énergie et beaucoup d’autres choses : « Maintenant que tu sais soulever des montagnes de par ta langue sois, alors, sobre en parole ».
AHMED KHALIFA NIASSE