Parlant de la pandémie de COVID-19, le gynécologue Dr Albdoulaye Diop a indiqué qu’au Sénégal, ils ont remarqué une augmentation drastique du nombre d’avortements. Cétait dans l’émission "Priorité Santé" sur RFI, à l’occasion de la Journée internationale de la contraception.
Selon l’info livrée par le quotidien « L’As », restant dans le même sillage, il s’est désolé en outre du fait que les avortements clandestins perdurent encore au Sénégal. Et cerise sur le gâteau, si l'on ose dire, il a aussi indiqué par ailleurs qu’il y a 12 000 avortements clandestins chaque année dans le pays.
« Ces avortements ont leurs lots de conséquences comme des hémorragies et des décès. Dans le top 10 des décès des patients dans le premier trimestre de grossesse, il y a les avortements clandestins », a-t-il déploré et a ajouté que c’est une grande source de mortalité.
D’après toujours « L’As », sur ce volet, le gynécologue a rappelé que le taux de mortalité maternelle au Sénégal est à 365 décès pour 100 mille naissances. « Ce qui nous fait 5 décès maternels par jour. Et sur ces 5, les 2 sont des grossesses qui ont été rapprochées, contractées alors que la patiente a accouché il y a moins d’un an ».
Selon l’info livrée par le quotidien « L’As », restant dans le même sillage, il s’est désolé en outre du fait que les avortements clandestins perdurent encore au Sénégal. Et cerise sur le gâteau, si l'on ose dire, il a aussi indiqué par ailleurs qu’il y a 12 000 avortements clandestins chaque année dans le pays.
« Ces avortements ont leurs lots de conséquences comme des hémorragies et des décès. Dans le top 10 des décès des patients dans le premier trimestre de grossesse, il y a les avortements clandestins », a-t-il déploré et a ajouté que c’est une grande source de mortalité.
D’après toujours « L’As », sur ce volet, le gynécologue a rappelé que le taux de mortalité maternelle au Sénégal est à 365 décès pour 100 mille naissances. « Ce qui nous fait 5 décès maternels par jour. Et sur ces 5, les 2 sont des grossesses qui ont été rapprochées, contractées alors que la patiente a accouché il y a moins d’un an ».