Le ChildFund Sénégal a pour mission d’Aider les enfants à avoir la capacité d'améliorer leur vie et la possibilité de devenir des jeunes adultes, des parents et des leaders qui apportent un changement durable et positif dans leurs communautés.
ChildFund Sénégal agisse dans de nombreux domaines, par exemple dans le champ de l’éducation, dans la protection des enfants, sous des formes variés.
Aujourd’hui, leral.net s’intéresse sur l’ONG ChildFund et tentera d’apporter des réponses autour des questions suivantes : quel rôle joue ChildFund Sénégal dans l’évolution des politiques éducatives ? Quel est réellement aujourd’hui la place des ONG dans nos pays ?
Protection des enfants de la rue
Parfois, on constate de plus en plus que les ONG jouent un rôle majeur sur les politiques de l’Etat. C’est l’exemple de la mendicité. Le président de la République du Sénégal Macky Sall avait déclaré qu’il ne veut plus revoir des enfants dans la rue, car la place de l’enfant n’est pas la rue. Dans cette perspective, ChilFund Sénégal se lève comme un seul homme pour appuyer la politique de l’Etat.
Ainsi, Le groupe de la société civile et des partenaires techniques et financiers pour la protection de l’enfant salue la décision du président de la République de retirer les enfants en situation de rue à Dakar et dans toutes les régions du Sénégal afin de mettre fin à leur exploitation, avait écrit le Soleil à la date du 07 juillet 2016.
Cette décision s’inscrit dans le cadre de la réalisation des engagements de l’Etat du Sénégal à offrir à chaque enfant un environnement protecteur exempt de toutes formes d’exploitation, d’abus, de maltraitance et de négligence. Cette mesure courageuse de l’Etat de retirer les enfants des circuits d’exploitation est un impératif national qui requiert la mobilisation de toutes les forces vives de la Nation, les familles, les communautés et la société civile.
Pour apporter sa contribution, ChildFun Sénégal avais mis en place « Le projet Daara Plus III, qui est une stratégie de protection des enfants talibés dans la région de Diourbel :
Situé dans les départements de Bambey. Le projet daara plus III avait ciblé 1200 talibés âgés de 6 à 14ans, et répartis dans 10 daara (5 à Diourbel, 5 à Bambeye).
A travers ce projet, ChildFund Sénégal et la Fédération du Baol se mobilisaient aux cotés de l’Etat, des Serignes Daara et des communautés (Ndeye Daara) pour un même but : que les enfants talibés vivent dans un environnement protecteur et éducatif exempt de toutes formes de violences, lit-on sur la page facebook de Childfund Sénégal.
ChildFund a toujours donné aux enfants vulnérables ou défavorisés la possibilité de devenir des jeunes adultes, des parents et des leadeurs incontournables qui apportent un changement durable et positif dans leur communautés. Ainsi, le fondateur de Leral.net D. Dieng ne dira pas le contraire. « Lorsque j’étais au daraa à Thies, ChildFund est venu me chercher pour m’amener et m’inscrire à l’école de 1990 à 2003. Il ne s’arrête pas là.
L’organisation a assuré toute mon scolarité, mes fournitures, à payer mes études du primaire jusqu’au lycée Malick Sy. A l’époque quand je tombais malade, elle me soigné. C’est eux qui ont tout payé pour moi. J’apprenais sous le matricule, eux à l’époque il disait ‘’cas’’ et j’étais le cas 551 », a-t-il confié. Et d’ajouter : « quand je fêtais mon anniversaire, mon correspondant Shu Chiung Lee m’envoyé de l’argent et des habits ».
ChildFund Sénégal agisse dans de nombreux domaines, par exemple dans le champ de l’éducation, dans la protection des enfants, sous des formes variés.
Aujourd’hui, leral.net s’intéresse sur l’ONG ChildFund et tentera d’apporter des réponses autour des questions suivantes : quel rôle joue ChildFund Sénégal dans l’évolution des politiques éducatives ? Quel est réellement aujourd’hui la place des ONG dans nos pays ?
Protection des enfants de la rue
Parfois, on constate de plus en plus que les ONG jouent un rôle majeur sur les politiques de l’Etat. C’est l’exemple de la mendicité. Le président de la République du Sénégal Macky Sall avait déclaré qu’il ne veut plus revoir des enfants dans la rue, car la place de l’enfant n’est pas la rue. Dans cette perspective, ChilFund Sénégal se lève comme un seul homme pour appuyer la politique de l’Etat.
Ainsi, Le groupe de la société civile et des partenaires techniques et financiers pour la protection de l’enfant salue la décision du président de la République de retirer les enfants en situation de rue à Dakar et dans toutes les régions du Sénégal afin de mettre fin à leur exploitation, avait écrit le Soleil à la date du 07 juillet 2016.
Cette décision s’inscrit dans le cadre de la réalisation des engagements de l’Etat du Sénégal à offrir à chaque enfant un environnement protecteur exempt de toutes formes d’exploitation, d’abus, de maltraitance et de négligence. Cette mesure courageuse de l’Etat de retirer les enfants des circuits d’exploitation est un impératif national qui requiert la mobilisation de toutes les forces vives de la Nation, les familles, les communautés et la société civile.
Pour apporter sa contribution, ChildFun Sénégal avais mis en place « Le projet Daara Plus III, qui est une stratégie de protection des enfants talibés dans la région de Diourbel :
Situé dans les départements de Bambey. Le projet daara plus III avait ciblé 1200 talibés âgés de 6 à 14ans, et répartis dans 10 daara (5 à Diourbel, 5 à Bambeye).
A travers ce projet, ChildFund Sénégal et la Fédération du Baol se mobilisaient aux cotés de l’Etat, des Serignes Daara et des communautés (Ndeye Daara) pour un même but : que les enfants talibés vivent dans un environnement protecteur et éducatif exempt de toutes formes de violences, lit-on sur la page facebook de Childfund Sénégal.
ChildFund a toujours donné aux enfants vulnérables ou défavorisés la possibilité de devenir des jeunes adultes, des parents et des leadeurs incontournables qui apportent un changement durable et positif dans leur communautés. Ainsi, le fondateur de Leral.net D. Dieng ne dira pas le contraire. « Lorsque j’étais au daraa à Thies, ChildFund est venu me chercher pour m’amener et m’inscrire à l’école de 1990 à 2003. Il ne s’arrête pas là.
L’organisation a assuré toute mon scolarité, mes fournitures, à payer mes études du primaire jusqu’au lycée Malick Sy. A l’époque quand je tombais malade, elle me soigné. C’est eux qui ont tout payé pour moi. J’apprenais sous le matricule, eux à l’époque il disait ‘’cas’’ et j’étais le cas 551 », a-t-il confié. Et d’ajouter : « quand je fêtais mon anniversaire, mon correspondant Shu Chiung Lee m’envoyé de l’argent et des habits ».
Santé de la mère et de l’enfant
Comme tout ONG, le ChildFund Sénégal œuvre à protéger la santé de la femme, de la mère et de l’enfant. Ce rôle est pratiquement le rôle primordial que doit jouer les structures basées sur le social. Ainsi, ChildFund Sénégal joue sa partition. C’est dans ce sillage qu’on range l’intervention de ChildFund dans le projet USAID-Neema qui visait à développer des actions de lutte endogènes contre les Violences Basées sur le Genre (VBG). L’approche mise en œuvre utilise le Cycle d’Action Communautaire (CAC) qui vise à organiser, avoir la capacité et mobiliser les communautés autour de la prévention et de la prise en charge communautaire de cinq formes de violences basées sur le genre : les violences physiques ; les violences à caractère sexuel ; les violences psychologiques et morales ; les violences économiques ; les violences émanant des pratiques traditionnelles néfastes.
Dans ces cas, ces différents groupes s’organisent selon des modalités qui leur sont propres et définissent leurs propres règles de fonctionnement et de prise de décisions. Les membres de chaque groupe se réunissent pour discuter entre eux des problèmes spécifiques de leur groupe en rapport avec le genre et la violence basée sur le genre et élaborent un plan de résolution des problèmes ».
En 2017, ChildFund a supporté le renforcement de la santé communautaire au Sénégal, l’amélioration de l’entreprenariat, l’autonomisation et l’indépendance financière des femmes à travers les activités de micro finance communautaire, le développement de la petite enfance et des actions en faveur des jeunes, avait déclaré le directeur de cette organisation non gouvernemental Amadou Bocoum.
Selon nos sources, Amadou Bocoum n’est plus le directeur de l’organisation car son mandat est fini au mois de juin. Et c’est au tour de Mme Sow d’assurer l’intérim pour cette année 2018.
Comme tout ONG, le ChildFund Sénégal œuvre à protéger la santé de la femme, de la mère et de l’enfant. Ce rôle est pratiquement le rôle primordial que doit jouer les structures basées sur le social. Ainsi, ChildFund Sénégal joue sa partition. C’est dans ce sillage qu’on range l’intervention de ChildFund dans le projet USAID-Neema qui visait à développer des actions de lutte endogènes contre les Violences Basées sur le Genre (VBG). L’approche mise en œuvre utilise le Cycle d’Action Communautaire (CAC) qui vise à organiser, avoir la capacité et mobiliser les communautés autour de la prévention et de la prise en charge communautaire de cinq formes de violences basées sur le genre : les violences physiques ; les violences à caractère sexuel ; les violences psychologiques et morales ; les violences économiques ; les violences émanant des pratiques traditionnelles néfastes.
Dans ces cas, ces différents groupes s’organisent selon des modalités qui leur sont propres et définissent leurs propres règles de fonctionnement et de prise de décisions. Les membres de chaque groupe se réunissent pour discuter entre eux des problèmes spécifiques de leur groupe en rapport avec le genre et la violence basée sur le genre et élaborent un plan de résolution des problèmes ».
En 2017, ChildFund a supporté le renforcement de la santé communautaire au Sénégal, l’amélioration de l’entreprenariat, l’autonomisation et l’indépendance financière des femmes à travers les activités de micro finance communautaire, le développement de la petite enfance et des actions en faveur des jeunes, avait déclaré le directeur de cette organisation non gouvernemental Amadou Bocoum.
Selon nos sources, Amadou Bocoum n’est plus le directeur de l’organisation car son mandat est fini au mois de juin. Et c’est au tour de Mme Sow d’assurer l’intérim pour cette année 2018.
Protection de l’enfance
Pour l’ONG ChildFund, la protection de l’enfance est considérée comme une priorité. Au mois d’avril dernier, Selon le directeur national de l’Ong Child Fund, Amadou Bocoum, 95 centres de développement intégrés ont été appuyés dans le domaine de la petite enfance, avec l’offre de services de stimulation, d’éveil, de santé-nutrition et de protection à 5.789 enfants âgés de 3 à 6 ans dont 53% de filles pour l’année 2015-2016. S’agissant de l’amélioration des moyens de subsistance des familles, il a fait savoir que des groupes d’épargne et de crédits ont été mis en place.
Aussi, dans le domaine de l’éducation, 291 écoles ont été appuyées à travers la construction ou la réhabilitation de salles de classe et l’installation de bibliothèques scolaires, avait écrit le quotidien Le Soleil.
«Les activités de ChildFund sont transversales. Toutefois, la santé et le développement communautaire restent notre crédo ». A l’époque, il avait expliqué «Nos interventions sont centrées sur le droit à la protection de l’enfant et à sa survie, au développement et au droit à la participation ».
Dans le cadre du plaidoyer et de la mobilisation des ressources, ChildFund construit un partenariat fort avec l’Etat du Sénégal dans le cadre de la stratégie nationale de protection de l’enfant, avec la société civile sénégalaise, les communautés, les organisations internationales, les agences de l’ONU, pour promouvoir un plus grand respect des droits de l’enfant.
Le programme soutient les efforts de plusieurs réseaux et dynamiques locales, nationales et régionales en faveur d’une meilleure protection des enfants contre les VANE (campagnes pour le retrait des enfants de la rue, contre les viols, grossesses précoces, mariages d’enfants, abus et violences basées sur le genre, etc)
Pour l’ONG ChildFund, la protection de l’enfance est considérée comme une priorité. Au mois d’avril dernier, Selon le directeur national de l’Ong Child Fund, Amadou Bocoum, 95 centres de développement intégrés ont été appuyés dans le domaine de la petite enfance, avec l’offre de services de stimulation, d’éveil, de santé-nutrition et de protection à 5.789 enfants âgés de 3 à 6 ans dont 53% de filles pour l’année 2015-2016. S’agissant de l’amélioration des moyens de subsistance des familles, il a fait savoir que des groupes d’épargne et de crédits ont été mis en place.
Aussi, dans le domaine de l’éducation, 291 écoles ont été appuyées à travers la construction ou la réhabilitation de salles de classe et l’installation de bibliothèques scolaires, avait écrit le quotidien Le Soleil.
«Les activités de ChildFund sont transversales. Toutefois, la santé et le développement communautaire restent notre crédo ». A l’époque, il avait expliqué «Nos interventions sont centrées sur le droit à la protection de l’enfant et à sa survie, au développement et au droit à la participation ».
Dans le cadre du plaidoyer et de la mobilisation des ressources, ChildFund construit un partenariat fort avec l’Etat du Sénégal dans le cadre de la stratégie nationale de protection de l’enfant, avec la société civile sénégalaise, les communautés, les organisations internationales, les agences de l’ONU, pour promouvoir un plus grand respect des droits de l’enfant.
Le programme soutient les efforts de plusieurs réseaux et dynamiques locales, nationales et régionales en faveur d’une meilleure protection des enfants contre les VANE (campagnes pour le retrait des enfants de la rue, contre les viols, grossesses précoces, mariages d’enfants, abus et violences basées sur le genre, etc)
Assurer les conditions de vie des enfants retirés de la rue
World Vision, les ONGs engagées dans la protection de l’enfant et la société civile, appuient l’Etat pour apporter des réponses concrètes, effectives et durables. Notamment, dans l’urgence, pour :
- le renforcement des capacités d’accueil des centres publics et privés en les dotant de moyens matériels et financiers (matelas, kits récréatifs, nourriture, médicaments etc.)
- le renforcement des capacités du personnel intervenant dans la prise en charge
- la mise à disposition d’intervenants sociaux de rue, de personnel soignant, et d’appui psychologique pour soutenir les équipes terrain
- la mobilisation de familles d’accueil dans les départements où il n’y a pas de centres d’accueil
- la vulgarisation du retrait des enfants au niveau communautaire, national et international.
Les principaux bailleurs de ChildFund Sénégal sont :
Gouvernements, Agences des Nations Unies, fondations privées.
Le rapport annuel de 2017
Pour l’année 2017, les programmes et projets de ChildFund sont exécutés grâce au soutien financier de ChildFund Alliance et de donateurs tels que l’USAID, le ministère Australien des affaires étrangères (DFAT), Irish AID, l’Agence Coréenne de Coopération internationale, Grand défis Canada, l’UNICEF, FNUAP, entre autres. Ces contributions ont permis à Childfund de toucher 1.604.607 individus dont 25.195 enfants inscrits dans son système de parrainage pour un budget annuel d’un montant de 6.635.940 dollars.
Notre interlocutrice du jour la chargée de la communication Mme Adéline Lishou informe sur le développement de la petite enfance : « l’objectif global est de faciliter l’accès des nourrissons et des jeunes enfants à des services intégrés de santé, nutrition, stimulation, éveil et protection de qualité. ChildFund a réalisé 97 centres de développement intégrés de la petite enfance, 10 centre de développement intégrés de la petite enfance réhabilités et équipés en matériel de jeux, 6.300 enfants âgés entre 3 et 5ans stimulés dans les CDIPE, 700 mamans d’enfants formées à la méthodologie ‘’apprendre en jouant’’ , entre autres.»
World Vision, les ONGs engagées dans la protection de l’enfant et la société civile, appuient l’Etat pour apporter des réponses concrètes, effectives et durables. Notamment, dans l’urgence, pour :
- le renforcement des capacités d’accueil des centres publics et privés en les dotant de moyens matériels et financiers (matelas, kits récréatifs, nourriture, médicaments etc.)
- le renforcement des capacités du personnel intervenant dans la prise en charge
- la mise à disposition d’intervenants sociaux de rue, de personnel soignant, et d’appui psychologique pour soutenir les équipes terrain
- la mobilisation de familles d’accueil dans les départements où il n’y a pas de centres d’accueil
- la vulgarisation du retrait des enfants au niveau communautaire, national et international.
Les principaux bailleurs de ChildFund Sénégal sont :
Gouvernements, Agences des Nations Unies, fondations privées.
Le rapport annuel de 2017
Pour l’année 2017, les programmes et projets de ChildFund sont exécutés grâce au soutien financier de ChildFund Alliance et de donateurs tels que l’USAID, le ministère Australien des affaires étrangères (DFAT), Irish AID, l’Agence Coréenne de Coopération internationale, Grand défis Canada, l’UNICEF, FNUAP, entre autres. Ces contributions ont permis à Childfund de toucher 1.604.607 individus dont 25.195 enfants inscrits dans son système de parrainage pour un budget annuel d’un montant de 6.635.940 dollars.
Notre interlocutrice du jour la chargée de la communication Mme Adéline Lishou informe sur le développement de la petite enfance : « l’objectif global est de faciliter l’accès des nourrissons et des jeunes enfants à des services intégrés de santé, nutrition, stimulation, éveil et protection de qualité. ChildFund a réalisé 97 centres de développement intégrés de la petite enfance, 10 centre de développement intégrés de la petite enfance réhabilités et équipés en matériel de jeux, 6.300 enfants âgés entre 3 et 5ans stimulés dans les CDIPE, 700 mamans d’enfants formées à la méthodologie ‘’apprendre en jouant’’ , entre autres.»
Les enfants se prononcent :
Sur les pancartes des enfants, on note plusieurs messages tristes mais pleins de sens :
« Moi enfant, j’ai des droits, protégez-moi »
« La fédération Pencum Ndakaru soutient le retrait des enfants de la rue »
« Stop à la Négligence : Protéger les enfants c’est entretenir l’avenir de la nation »
« Moi enfant, j’ai des droit, Aidez-moi à les faire valoir »
« Stop à la mendicité des enfants »
« Stop à l’exploitation des enfants ».
Thierno Malick Ndiaye
Sur les pancartes des enfants, on note plusieurs messages tristes mais pleins de sens :
« Moi enfant, j’ai des droits, protégez-moi »
« La fédération Pencum Ndakaru soutient le retrait des enfants de la rue »
« Stop à la Négligence : Protéger les enfants c’est entretenir l’avenir de la nation »
« Moi enfant, j’ai des droit, Aidez-moi à les faire valoir »
« Stop à la mendicité des enfants »
« Stop à l’exploitation des enfants ».
Thierno Malick Ndiaye