« Les professionnels du cinéma vont se réunir pour harmoniser les possibilités de diffusion des films sénégalais dans nos propres chaiînes de télévision qu’elles soient publiques ou privées », a révélé Hugues Diaz dans un entretien accordé à nos confrère de l’Agence Presse Sénégalaise (Aps). Selon le directeur de la cinématographie, ces possibilités de diffusion vont être « harmonisées en termes de pertinence, de coûts financiers et d’enjeux identitaires à faire valoir ». Toutefois, M. Diaz invite les africains à consommer locales comme cela se fait en Europe. « Nous sommes des africains, ne consommons pas seulement les cultures des pays du Nord. Pour construire notre intégration au sein de l’Afrique, il faudrait que nous-mêmes, Africains, nous nous connaissions comme cela se fait au niveau de l’Europe », a-t-il préconisé.
En effet, le directeur de la cinématographie veut que l’Afrique se réfère à l’organisation de l’Europe sur la circulation des images au sein de son espace. « Nous devons faire comme Eurimages. En plus de cela, il y a un fonds de soutien au cinéma européen. Ce fonds, un grand concept, efficace que les Européens ont créé pour faire circuler les productions cinématographiques européennes au sein de leur espace d’abord, puis dans le monde », soutient-il.
« Aujourd’hui, l’Etat a anticipé en allouant un milliard pour la production cinématographique et audiovisuelle. Il faut préparer tout l’écosystème qui va accompagner la diffusion de ces productions à venir. Pour cela, il faut qu’il y ait de la concertation et des textes qui régissent l’ouverture des télévisions », a-t-il indiqué avant d’inviter les autorités sénégalaises à voter le projet de loi sur la communication audiovisuelle. « Le projet de loi sur la communication audiovisuelle doit être revu et voté le plus rapidement possible en tenant compte des observations que les professionnels du secteur auront fait », dit-il.
En effet, le directeur de la cinématographie veut que l’Afrique se réfère à l’organisation de l’Europe sur la circulation des images au sein de son espace. « Nous devons faire comme Eurimages. En plus de cela, il y a un fonds de soutien au cinéma européen. Ce fonds, un grand concept, efficace que les Européens ont créé pour faire circuler les productions cinématographiques européennes au sein de leur espace d’abord, puis dans le monde », soutient-il.
« Aujourd’hui, l’Etat a anticipé en allouant un milliard pour la production cinématographique et audiovisuelle. Il faut préparer tout l’écosystème qui va accompagner la diffusion de ces productions à venir. Pour cela, il faut qu’il y ait de la concertation et des textes qui régissent l’ouverture des télévisions », a-t-il indiqué avant d’inviter les autorités sénégalaises à voter le projet de loi sur la communication audiovisuelle. « Le projet de loi sur la communication audiovisuelle doit être revu et voté le plus rapidement possible en tenant compte des observations que les professionnels du secteur auront fait », dit-il.