Décédé le 20 septembre 2007 à Dakar à l'age de 64 ans, Laba Sosseh était une figure de la musique salsa au Sénégal et en Afrique. Il a été le premier disque d'or africain de la salsa."Nous appelons les nouvelles autorités à faire quelque chose, parce que cette affaire nous dépasse. C'est l'Etat qui doit gérer cela. Il n'est pas trop tard pour mieux faire. Notre objectif, c'est d'immortaliser notre père", a lancé Denzy Sosseh, un fils du défunt artiste dans Walf Grand place. "Nous ne sommes pas là pour une chasse aux sorcières mais pour lancer un message et dire que Laba Sosseh était un monument. Notre papa ne nous appartient pas, c'est une bibliothèque, un monument historique", a encore dit Sosseh junior, président du comité d'organisation des activités marquant le 5e anniversaire du décès de son père.
Parlant encore de ce dernier, il a souligné que"le Sénégal n'a jamais refusé de l'entretenir mais les autorités étatiques n'ont jamais eu la chance de rencontrer sa famille pour parler de lui". Selon Denzy Sosseh, l'héritage du défunt n'attire pas l'attention de nombreux salseros sénégalais."Tout le Sénégal attendait que nous levions la voix. Et nous attendions que les salseros le fassent, puisque ce sont eux qui le connaissent. Depuis 5 ans ils n'ont rien fait. Et nous qui sommes ses enfants, sommes conscients qu'un monument comme Laba Sosseh, ne doit pas être l'objet d'une négligence, ni d'un oubli, après avoir donné à l'Afrique son premier disque d'or de salsa", a-t-il expliqué.
Parlant encore de ce dernier, il a souligné que"le Sénégal n'a jamais refusé de l'entretenir mais les autorités étatiques n'ont jamais eu la chance de rencontrer sa famille pour parler de lui". Selon Denzy Sosseh, l'héritage du défunt n'attire pas l'attention de nombreux salseros sénégalais."Tout le Sénégal attendait que nous levions la voix. Et nous attendions que les salseros le fassent, puisque ce sont eux qui le connaissent. Depuis 5 ans ils n'ont rien fait. Et nous qui sommes ses enfants, sommes conscients qu'un monument comme Laba Sosseh, ne doit pas être l'objet d'une négligence, ni d'un oubli, après avoir donné à l'Afrique son premier disque d'or de salsa", a-t-il expliqué.