Deux Palestiniens de 17 et 23 ans ont été tués à balles réelles par des soldats israéliens. C’était tôt, le 31 mars, lors d’un raid mené dans le camp de réfugiés de Jénine, dans le Nord de la Cisjordanie occupée.
Multiplication des opérations
Le ministère palestinien de la Santé parle aussi d’une quinzaine d’autres blessés graves. Quelques heures après, cette fois, au sud du pays, entre les villes d’Hébron et Béthléem, à proximité de la colonie israélienne Elazar, un Palestinien a blessé grièvement un passager israélien dans un bus en le poignardant avant d’être directement abattu par un autre passager, qui était armé.
Il faut dire que depuis mercredi soir, l’armée israélienne multiplie les opérations en Cisjordanie occupée et des soldats supplémentaires ont été déployés après l'attaque qui a fait cinq morts mardi 29 mars dans les rues de Bnei Brak, en banlieue de Tel Aviv, la troisième en une semaine dans l’État hébreu.
Plus haut niveau d'alerte
La police israélienne est donc au niveau d’alerte le plus haut depuis mai de l'année dernière et la situation ne fait que s’envenimer. D’autant que cette violence accrue, ce renforcement sécuritaire, et cette atmosphère pesante, en Israël comme dans les Territoires palestiniens survient juste avant le Ramadan, le mois sacré pour le musulman, qui marque aussi le premier anniversaire des affrontements et des onze jours de guerre qui ont eu lieu en mai dernier.
Multiplication des opérations
Le ministère palestinien de la Santé parle aussi d’une quinzaine d’autres blessés graves. Quelques heures après, cette fois, au sud du pays, entre les villes d’Hébron et Béthléem, à proximité de la colonie israélienne Elazar, un Palestinien a blessé grièvement un passager israélien dans un bus en le poignardant avant d’être directement abattu par un autre passager, qui était armé.
Il faut dire que depuis mercredi soir, l’armée israélienne multiplie les opérations en Cisjordanie occupée et des soldats supplémentaires ont été déployés après l'attaque qui a fait cinq morts mardi 29 mars dans les rues de Bnei Brak, en banlieue de Tel Aviv, la troisième en une semaine dans l’État hébreu.
Plus haut niveau d'alerte
La police israélienne est donc au niveau d’alerte le plus haut depuis mai de l'année dernière et la situation ne fait que s’envenimer. D’autant que cette violence accrue, ce renforcement sécuritaire, et cette atmosphère pesante, en Israël comme dans les Territoires palestiniens survient juste avant le Ramadan, le mois sacré pour le musulman, qui marque aussi le premier anniversaire des affrontements et des onze jours de guerre qui ont eu lieu en mai dernier.