Pour la seconde année consécutive, c’est la Graduate School of Business de Stanford qui caracole en tête du palmarès tandis que la Business School de Harvard passe de la cinquième à la deuxième place. Au total, pas moins de cinquante et une écoles américaines figurent cette année au top 100 des meilleures formations du monde.
Peu de nouvelles écoles au top 100
Les écoles qui figurent au top 10 sont les mêmes qu’en 2018, souligne le magazine financier britannique, mais elles n’y figurent pas à la même place. Le changement le plus spectaculaire concerne la China Europe International Business School (Ceibs) de Shanghai, qui se hisse du huitième au cinquième rang, devant la très prestigieuse London Business School.
D’une façon générale, les écoles de commerce chinoises montent en puissance au sein de la région Asie-Pacifique, celle où les études commerciales ont le plus de succès depuis qu’elle s’est imposée comme le moteur de la croissance économique mondiale : en 2018, les demandes d’inscription ont augmenté de 8,9 %.
Les évolutions les plus notables s’observent en fait un peu plus bas dans le classement. Ainsi la Saïd Business School de l’université d’Oxford grimpe de quatorze places pour accéder au treizième rang, son meilleur classement depuis 2001. Le Brexit approchant, une baisse des candidatures outre-Manche était attendue ; il semble pourtant que les meilleures écoles britanniques séduisent toujours autant. Du fait de la baisse de la livre sterling, les MBA y deviennent même plus accessibles pour les étudiants étrangers.
Le nombre d’établissements australiens, chinois, indiens et singapouriens figurant au classement n’a pas bougé depuis deux ans. Mais peu de nouvelles écoles font leur entrée au top 100. Commentaire du magazine:
"Le fossé entre les meilleures écoles et les autres est devenu trop important pour que de nouveaux établissements puissent intégrer le peloton de tête.”
Une nouveauté à signaler parmi les parmi les critères retenus pour établir ce classement : outre la mobilité internationale, le pourcentage de femmes et d’étrangers parmi les professeurs et les étudiants ou encore les salaires et les évolutions de carrière des anciens élèves, l’équipe du Financial Times a choisi cette année d’évaluer également la responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
Selon ce nouveau critère, la palme revient en 2019 à la Darden School of Business de l’université de Virginie, qui réussit à inscrire ce sujet au cœur de son enseignement. “L’insistance mise à Darden sur des thématiques éthiques et sociales influence énormément ma façon de diriger une équipe”, reconnaît une élève diplômée.
Courrier international
Peu de nouvelles écoles au top 100
Les écoles qui figurent au top 10 sont les mêmes qu’en 2018, souligne le magazine financier britannique, mais elles n’y figurent pas à la même place. Le changement le plus spectaculaire concerne la China Europe International Business School (Ceibs) de Shanghai, qui se hisse du huitième au cinquième rang, devant la très prestigieuse London Business School.
D’une façon générale, les écoles de commerce chinoises montent en puissance au sein de la région Asie-Pacifique, celle où les études commerciales ont le plus de succès depuis qu’elle s’est imposée comme le moteur de la croissance économique mondiale : en 2018, les demandes d’inscription ont augmenté de 8,9 %.
Les évolutions les plus notables s’observent en fait un peu plus bas dans le classement. Ainsi la Saïd Business School de l’université d’Oxford grimpe de quatorze places pour accéder au treizième rang, son meilleur classement depuis 2001. Le Brexit approchant, une baisse des candidatures outre-Manche était attendue ; il semble pourtant que les meilleures écoles britanniques séduisent toujours autant. Du fait de la baisse de la livre sterling, les MBA y deviennent même plus accessibles pour les étudiants étrangers.
Le nombre d’établissements australiens, chinois, indiens et singapouriens figurant au classement n’a pas bougé depuis deux ans. Mais peu de nouvelles écoles font leur entrée au top 100. Commentaire du magazine:
"Le fossé entre les meilleures écoles et les autres est devenu trop important pour que de nouveaux établissements puissent intégrer le peloton de tête.”
Une nouveauté à signaler parmi les parmi les critères retenus pour établir ce classement : outre la mobilité internationale, le pourcentage de femmes et d’étrangers parmi les professeurs et les étudiants ou encore les salaires et les évolutions de carrière des anciens élèves, l’équipe du Financial Times a choisi cette année d’évaluer également la responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
Selon ce nouveau critère, la palme revient en 2019 à la Darden School of Business de l’université de Virginie, qui réussit à inscrire ce sujet au cœur de son enseignement. “L’insistance mise à Darden sur des thématiques éthiques et sociales influence énormément ma façon de diriger une équipe”, reconnaît une élève diplômée.
Courrier international