En début de saison sèche, en novembre 1865, « le jeune Ndiaye Alboury, commandant les troupes de Lat DIOR, a pu défaire l’armée étrangère, qui utilisait pour la première fois, des canons en terre africaine. »
A tous ceux qui se sentent patriotes de Sénégal Ndiaye, le rappel par Jules DIOP, de cette bataille du ravin de Pathé Badiane, est une référence, qui réveille une certaine fierté.
A ceux là, Souleymane J. DIOP, parle aussi en Wolof Ndiaye. Wolof Ndiaye, une langue riche et concise, qui n’est plus vernaculaire, car « devenue sous régionale, que l’on peut entendre à Wolofu Boughou à Bamako et au marché d’Abidjan ». Cette langue Wolof, qui a depuis longtemps, dépassé le stade de langue véhiculaire, dont on espère apprendre quelques expressions, pour berner, une foule factice, en période de campagne électorale.
Le discours de Jules DIOP, d’où que nous soyons, où que résidions, oriente notre attention, en rivant nos yeux vers l’Afrique alors que notre écoute est pointée vers Ndakarou Ndiaye.
L’autre jour, en Europe, il était en conférence, avec ses amis, entre Nitt Ndiaye - entre homo senegalensis.
L’Homo senegalensis, est un Nitt Ndiaye, compatriote, contemporain, émancipé de mystifications des politiciens. C’est un Nitt Ndiaye, qui envisage avec discernement les aspirations du peuple sénégalais et qui appréhende l’avenir du Sénégal .
Un Nitt Ndiaye, sait qu’un tunnel à Soubédioune de plusieurs milliards, inauguré en 2007 et qui se transforme en galerie à rats, inondée au moindre orage, n’augure rien de bon. Un tel ouvrage nous édifie sur la carence et le manque de perspicacité de ces concepteurs, qui n’ont pas encore compris qu’un pont aurait pu faire l’affaire. Heureusement, « que la statue de Ouakam est perchée à 100 m d’altitude car sinon, elle serait déjà inondée par les eaux pluviales purificatrices ».
Entre Nitt Ndiaye, dans un échange mesuré, épuré de toute condescendance, et de tout mépris, on sait converser en Wolof Ndiaye.
Wolof Ndiaye est cette langue qui englobe notre code psychologique et comportemental en tant que Nation.
Il ne s’agit point de ce Wolof dont se servent les politiciens, comme vecteur de promesses mielleuses.
Point de ce Wolof Ndiaye qui est le plus puissant anesthésiant, par voix tympanique, usité dans le territoire de Sénégal Ndiaye.
Hélas, il est si difficile de l’apprendre, ce Wolof lorsque l’on a dépassé l’âge puéril!
Tout soi-disant Sénégalais, qui est inapte à apprendre les rudiments du Wolof Ndiaye, présente, jusqu’à preuve du contraire, un handicap psychique.
Un Nitt Ndiaye refuse de pousser la voiture du politicien, s’il sait pertinemment que celui-ci le laissera en rade dès que le moteur va démarrer. Que le chauffeur, sans vergogne, rictus au visage, accélèrera pour le regarder s’éloigner dans son rétroviseur.
Jules DIOP nous interpelle sur « ces 9 pays africains parmi les états ayant réalisé les meilleurs taux de croissance dans le monde en 2009. Les incidences de ces performances nous donnent des « raisons d’être optimiste sur cette Afrique qui est aussi le continent qui abrite le plus grand marché démographique à approvisionner » .
Jules a démontré que Alioune THIAM, alias Akon, fait aussi partie de la richesse culturelle de l’Afrique. « Avec les 11 milliards CFA qu’Akon a gagné, avec abnégation en 2009-2010, le chanteur a été sollicité pour la constitution du capital de la future compagnie Sénégal Airlines. Cette compagnie, qui souffre d’une malformation in-utéro, et dont on a préféré confier, la direction à un Italien, peu scrupuleux. »
« Non ! Non, à la primauté allochtone! » .
Depuis le début de l’année, Jules nous avait déjà avertis que cette compagnie ne sera pas opérationnelle de sitôt, alors qu’elle nous était promise pour septembre 2010.
Non, au discours pernicieux de ceux qui confisquent tous nos leviers économiques pour en confier le maniement à des gloutons indélicats.
Non aux compatriotes de la 25ème heure, au Wolof aseptisé ou calamiteux, qui rêvent de s’installer aux commandes avec l’illusion de pouvoir diriger le Sénégal: le Nitt Ndiaye n’est pas un citoyen naïf et crédule.
Nitt Ndiaye sait que le Sénégal Ndiaye idéal, dont il rêve n’est pas possible. Mais, il est en phase avec Jules DIOP, dans une commune volonté d’agir, pour un Sénégal moins asthénique, moins suffoquant. Un Sénégal, dont la tête moins sordide et moins pléthorique, coûtera moins au contribuable.
Car le Nitt Ndiaye, est bien ce compatriote de la Diaspora, abonné à Western Union, pour perfuser à la posologie de 2 milliards Cfa par jour, dans les veines de son Sénégal anémié, car pernicieusement, saigné à partir du sommet, par des chimères parasites, à l’esprit malin.
Souleymane Jules DIOP a réussi à exacerber cet éveil de conscience, ce minimum de refus, sous quelque forme qu’il puisse s’exprimer.
Il a dit que « l’on ne choisit pas son sort, mais qu’on l’assume »
A défaut de se laisser prendre en otage par ses amis, nous devons solliciter de Jules DIOP, sa caution morale. Nous devons réussir à lui faire assumer des projets d’assistance ponctuelle ou multiforme, circonscrites dans le temps, en faveur de population ciblée, au Sénégal.
A titre d’exemple, si un pour cent de l’argent des émigrés était orienté, de façon efficiente vers la Santé, cela ferait un apport de 20 millions CFA, par jour. Les modalités de gestion devront s’immuniser de prévarication, toutes générations confondues: c’est çà du concret !
Chapeau bas aux amis de Souleymane DIOP !
Vive le Sénégal Ndiaye.
Bon ramadan aux Nitt Ndiaye.
FAlilou Arfang SENGHOR
Docteur en médecine
A tous ceux qui se sentent patriotes de Sénégal Ndiaye, le rappel par Jules DIOP, de cette bataille du ravin de Pathé Badiane, est une référence, qui réveille une certaine fierté.
A ceux là, Souleymane J. DIOP, parle aussi en Wolof Ndiaye. Wolof Ndiaye, une langue riche et concise, qui n’est plus vernaculaire, car « devenue sous régionale, que l’on peut entendre à Wolofu Boughou à Bamako et au marché d’Abidjan ». Cette langue Wolof, qui a depuis longtemps, dépassé le stade de langue véhiculaire, dont on espère apprendre quelques expressions, pour berner, une foule factice, en période de campagne électorale.
Le discours de Jules DIOP, d’où que nous soyons, où que résidions, oriente notre attention, en rivant nos yeux vers l’Afrique alors que notre écoute est pointée vers Ndakarou Ndiaye.
L’autre jour, en Europe, il était en conférence, avec ses amis, entre Nitt Ndiaye - entre homo senegalensis.
L’Homo senegalensis, est un Nitt Ndiaye, compatriote, contemporain, émancipé de mystifications des politiciens. C’est un Nitt Ndiaye, qui envisage avec discernement les aspirations du peuple sénégalais et qui appréhende l’avenir du Sénégal .
Un Nitt Ndiaye, sait qu’un tunnel à Soubédioune de plusieurs milliards, inauguré en 2007 et qui se transforme en galerie à rats, inondée au moindre orage, n’augure rien de bon. Un tel ouvrage nous édifie sur la carence et le manque de perspicacité de ces concepteurs, qui n’ont pas encore compris qu’un pont aurait pu faire l’affaire. Heureusement, « que la statue de Ouakam est perchée à 100 m d’altitude car sinon, elle serait déjà inondée par les eaux pluviales purificatrices ».
Entre Nitt Ndiaye, dans un échange mesuré, épuré de toute condescendance, et de tout mépris, on sait converser en Wolof Ndiaye.
Wolof Ndiaye est cette langue qui englobe notre code psychologique et comportemental en tant que Nation.
Il ne s’agit point de ce Wolof dont se servent les politiciens, comme vecteur de promesses mielleuses.
Point de ce Wolof Ndiaye qui est le plus puissant anesthésiant, par voix tympanique, usité dans le territoire de Sénégal Ndiaye.
Hélas, il est si difficile de l’apprendre, ce Wolof lorsque l’on a dépassé l’âge puéril!
Tout soi-disant Sénégalais, qui est inapte à apprendre les rudiments du Wolof Ndiaye, présente, jusqu’à preuve du contraire, un handicap psychique.
Un Nitt Ndiaye refuse de pousser la voiture du politicien, s’il sait pertinemment que celui-ci le laissera en rade dès que le moteur va démarrer. Que le chauffeur, sans vergogne, rictus au visage, accélèrera pour le regarder s’éloigner dans son rétroviseur.
Jules DIOP nous interpelle sur « ces 9 pays africains parmi les états ayant réalisé les meilleurs taux de croissance dans le monde en 2009. Les incidences de ces performances nous donnent des « raisons d’être optimiste sur cette Afrique qui est aussi le continent qui abrite le plus grand marché démographique à approvisionner » .
Jules a démontré que Alioune THIAM, alias Akon, fait aussi partie de la richesse culturelle de l’Afrique. « Avec les 11 milliards CFA qu’Akon a gagné, avec abnégation en 2009-2010, le chanteur a été sollicité pour la constitution du capital de la future compagnie Sénégal Airlines. Cette compagnie, qui souffre d’une malformation in-utéro, et dont on a préféré confier, la direction à un Italien, peu scrupuleux. »
« Non ! Non, à la primauté allochtone! » .
Depuis le début de l’année, Jules nous avait déjà avertis que cette compagnie ne sera pas opérationnelle de sitôt, alors qu’elle nous était promise pour septembre 2010.
Non, au discours pernicieux de ceux qui confisquent tous nos leviers économiques pour en confier le maniement à des gloutons indélicats.
Non aux compatriotes de la 25ème heure, au Wolof aseptisé ou calamiteux, qui rêvent de s’installer aux commandes avec l’illusion de pouvoir diriger le Sénégal: le Nitt Ndiaye n’est pas un citoyen naïf et crédule.
Nitt Ndiaye sait que le Sénégal Ndiaye idéal, dont il rêve n’est pas possible. Mais, il est en phase avec Jules DIOP, dans une commune volonté d’agir, pour un Sénégal moins asthénique, moins suffoquant. Un Sénégal, dont la tête moins sordide et moins pléthorique, coûtera moins au contribuable.
Car le Nitt Ndiaye, est bien ce compatriote de la Diaspora, abonné à Western Union, pour perfuser à la posologie de 2 milliards Cfa par jour, dans les veines de son Sénégal anémié, car pernicieusement, saigné à partir du sommet, par des chimères parasites, à l’esprit malin.
Souleymane Jules DIOP a réussi à exacerber cet éveil de conscience, ce minimum de refus, sous quelque forme qu’il puisse s’exprimer.
Il a dit que « l’on ne choisit pas son sort, mais qu’on l’assume »
A défaut de se laisser prendre en otage par ses amis, nous devons solliciter de Jules DIOP, sa caution morale. Nous devons réussir à lui faire assumer des projets d’assistance ponctuelle ou multiforme, circonscrites dans le temps, en faveur de population ciblée, au Sénégal.
A titre d’exemple, si un pour cent de l’argent des émigrés était orienté, de façon efficiente vers la Santé, cela ferait un apport de 20 millions CFA, par jour. Les modalités de gestion devront s’immuniser de prévarication, toutes générations confondues: c’est çà du concret !
Chapeau bas aux amis de Souleymane DIOP !
Vive le Sénégal Ndiaye.
Bon ramadan aux Nitt Ndiaye.
FAlilou Arfang SENGHOR
Docteur en médecine