Placée en garde à vue dans la matinée, elle a été relâchée en fin d'après-midi. La cohue s'est produite alors que journalistes, photographes et cameramen se pressaient pour tenter d'obtenir une déclaration du président d'honneur suspendu du FN.
Comme le montrent des images de plusieurs chaînes de télévision, ils ont été violemment repoussés par des policiers et des gardes du corps. La journaliste reporter d'images, caméra à la main, s'est retrouvée "par la force des choses coincée entre un mur et un policier", a-t-elle raconté à l'AFP à l'issue de sa garde à vue. Dans l'incapacité de "respirer et de faire son travail", elle affirme avoir "mordu légèrement" au bras l'un des policiers.
Selon une source policière, l'agent, qui fait partie de la Compagnie de sécurisation et d'intervention (CSI) des Hauts-de-Seine, "a été mordu alors qu'il était de dos et poussé par les journalistes, les bras tendus pour sécuriser le passage de la personnalité". La journaliste est convoquée au tribunal le 6 janvier 2016.
Comme le montrent des images de plusieurs chaînes de télévision, ils ont été violemment repoussés par des policiers et des gardes du corps. La journaliste reporter d'images, caméra à la main, s'est retrouvée "par la force des choses coincée entre un mur et un policier", a-t-elle raconté à l'AFP à l'issue de sa garde à vue. Dans l'incapacité de "respirer et de faire son travail", elle affirme avoir "mordu légèrement" au bras l'un des policiers.
Selon une source policière, l'agent, qui fait partie de la Compagnie de sécurisation et d'intervention (CSI) des Hauts-de-Seine, "a été mordu alors qu'il était de dos et poussé par les journalistes, les bras tendus pour sécuriser le passage de la personnalité". La journaliste est convoquée au tribunal le 6 janvier 2016.