Malgré le bruit et la provocation de certains leaders de l’opposition, Mimi Touré encourage le dialogue, afin d’accompagner les jeunes, majoritaires dans la composition des populations. L’Etat, promet-elle, cherche toujours à donner des réponses aux politiques d’emploi et aux préoccupation des jeunes.
La chargée du parrainage de la coalition de la majorité, Aminata Touré, dégouline d’énergie dans la défense des affaires étatiques et de la politique gouvernementale. Elle précise que la paix s’inscrit dans la dynamique gouvernementale, tout en exhortant ses alliés à rester vigilant par rapport aux déclarations va-t-en-guerre d’une certaine opposition. Cela, considère-t-elle, n’ébranle pas des personnes qui ont été durant toute leur jeunesse, dans des combats politiques.
D’après elle, cette opposition qui se dit être contre le parrainage, estime-t-elle, sont dans les rues en train de chercher des parrains. D’autres parmi eux, sont même, dans les imprimeries et autres. Donc, cette situation montre qu’ils reconnaissent bien l’existence de la loi. « Ne vous inquiétez pas, l’opposition qui joue à des tactiques politiques malveillantes, sera bien présente aux élections législatives ».
L'ex-présidente du Conseil économique social et environnemental, considère que le parrainage étant une nécessité, permettra de mieux contrôler le processus électoral. Insistant sur la paix et la stabilité, elle estime que la situation des pays frontaliers nécessite une introspection et une vigilance. Et, les instigateurs de la violence jouent avec la sécurité et la stabilité du pays. Elle appelle les alliés de l’Apr à aller vers la collecte de parrainages, pour une élection libre et transparente.
En ce qui concerne la Cour de justice de la Cedeao, Mimi Touré a évoqué le principe de la souveraineté pour se défendre. Et sans parrainage, il serait impossible d’organiser des élections. Le parrainage est un filtre. Seulement le parrainage de 55 537 maximum et de 37000 minimum. Un parti ou coalition de partis qui ne peut pas réunir cela, n’a pas sa place dans cette compétition. Puisqu’il y a des pays qui demandent le parrainage des élus. Et si, c’était le cas, beaucoup ne serait pas candidats aux élections locales. Du côté de sa coalition, elle refuse de dévoiler la stratégie de « Benno Bokk Yakaar ». Mais, elle reste certaine qu’elle sera une opportunité de remobiliser les troupes.
La chargée du parrainage de la coalition de la majorité, Aminata Touré, dégouline d’énergie dans la défense des affaires étatiques et de la politique gouvernementale. Elle précise que la paix s’inscrit dans la dynamique gouvernementale, tout en exhortant ses alliés à rester vigilant par rapport aux déclarations va-t-en-guerre d’une certaine opposition. Cela, considère-t-elle, n’ébranle pas des personnes qui ont été durant toute leur jeunesse, dans des combats politiques.
D’après elle, cette opposition qui se dit être contre le parrainage, estime-t-elle, sont dans les rues en train de chercher des parrains. D’autres parmi eux, sont même, dans les imprimeries et autres. Donc, cette situation montre qu’ils reconnaissent bien l’existence de la loi. « Ne vous inquiétez pas, l’opposition qui joue à des tactiques politiques malveillantes, sera bien présente aux élections législatives ».
L'ex-présidente du Conseil économique social et environnemental, considère que le parrainage étant une nécessité, permettra de mieux contrôler le processus électoral. Insistant sur la paix et la stabilité, elle estime que la situation des pays frontaliers nécessite une introspection et une vigilance. Et, les instigateurs de la violence jouent avec la sécurité et la stabilité du pays. Elle appelle les alliés de l’Apr à aller vers la collecte de parrainages, pour une élection libre et transparente.
En ce qui concerne la Cour de justice de la Cedeao, Mimi Touré a évoqué le principe de la souveraineté pour se défendre. Et sans parrainage, il serait impossible d’organiser des élections. Le parrainage est un filtre. Seulement le parrainage de 55 537 maximum et de 37000 minimum. Un parti ou coalition de partis qui ne peut pas réunir cela, n’a pas sa place dans cette compétition. Puisqu’il y a des pays qui demandent le parrainage des élus. Et si, c’était le cas, beaucoup ne serait pas candidats aux élections locales. Du côté de sa coalition, elle refuse de dévoiler la stratégie de « Benno Bokk Yakaar ». Mais, elle reste certaine qu’elle sera une opportunité de remobiliser les troupes.
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