Après des mois de manifestations pour dénoncer la duplicité et l'inefficacité contre les séparatistes djihado-terroristes de la présence militaire française et contre la corruption et l'élection truquée du pouvoir présidentiel, l'armée malienne vient de parachever les mobilisations populaires de rues par l'arrestation du président IBK et obtenir sa démission réclamée par la rue.
Aussitôt la France officielle, l'UE, les Etats-Unis suivis par les présidents laquais de la CEDEAO ont condamné et exigé le retour au pouvoir de leur homologue malien avant d'annoncer l'embargo contre le Mali.
Surpris par la détermination du peuple malien, les chefs d'états de la dite "communauté internationale" autoproclamée et leurs valets de la CEDEAO ont été mis en échec par la Russie et la Chine au Conseil de Sécurité de l'ONU. Chine et Russie exige le respect de la souveraineté nationale et populaire du peuple du Mali.
Le Mali est un pays enclavé dont les approvisionnements se font des ports de Dakar au Sénégal, pays avec lequel il partage la ligne de chemin de fer Dakar – Bamako, d'Abidjan et de Conakry par la route.
L'embargo est une punition liberticide du peuple malien pour avoir osé chasser du pouvoir un président à la solde de la françafrique, l'eurafrique et l'usafrique et membre du "syndicat" des présidents néocoloniaux.
Déjà en 2012, lors du renversement du président ATT, l'embargo sur les armes achetées par l'Etat malien mais bloquées dans les ports de Dakar, Abidjan et Conakry pour combattre les séparatistes djihado-terroristes avaient contraint à capituler le capitaine Sanogo et la mise en place conformément au diktat du club des présidents de la CEDEAO du gouvernement de transition dirigé par Dioncounda Traoré.
Rien n’a été réglé, la situation a même empiré avec une classe politique spécialisée dans le festin des brigands du vol des deniers publics et la soumission apatride aux intérêts de l'étranger impérialiste.
En fait l'embargo a pour objectif d'empêcher l'armée malienne d'avoir les moyens militaires de libérer et préserver l'intégrité territoriale du Mali. C'est le plan français soutenu par la CEDEAO non des peuples mais des chefs d'états néocoloniaux.
Le Collectif Afrique appelle tous les peuples africains, les diasporas africaines, les patriotes panafricanistes, les démocrates et internationalistes à exiger :
- la suppression de l'embargo sur tout ce qu'achètent le Mali et les Maliens, notamment sur les armes indispensables à la libération du pays de l'occupation séparatiste djihado-terroriste;
- le respect de la souveraineté nationale et populaire du Mali; aucune ingérence de l'armée d'occupation française dans les affaires internes du Mali;
- le respect des constitutions nationales, notamment la limitation des mandats par les présidents du pré-carré néocolonial français en Afrique.
Fait le 21/08/2020
Aussitôt la France officielle, l'UE, les Etats-Unis suivis par les présidents laquais de la CEDEAO ont condamné et exigé le retour au pouvoir de leur homologue malien avant d'annoncer l'embargo contre le Mali.
Surpris par la détermination du peuple malien, les chefs d'états de la dite "communauté internationale" autoproclamée et leurs valets de la CEDEAO ont été mis en échec par la Russie et la Chine au Conseil de Sécurité de l'ONU. Chine et Russie exige le respect de la souveraineté nationale et populaire du peuple du Mali.
Le Mali est un pays enclavé dont les approvisionnements se font des ports de Dakar au Sénégal, pays avec lequel il partage la ligne de chemin de fer Dakar – Bamako, d'Abidjan et de Conakry par la route.
L'embargo est une punition liberticide du peuple malien pour avoir osé chasser du pouvoir un président à la solde de la françafrique, l'eurafrique et l'usafrique et membre du "syndicat" des présidents néocoloniaux.
Déjà en 2012, lors du renversement du président ATT, l'embargo sur les armes achetées par l'Etat malien mais bloquées dans les ports de Dakar, Abidjan et Conakry pour combattre les séparatistes djihado-terroristes avaient contraint à capituler le capitaine Sanogo et la mise en place conformément au diktat du club des présidents de la CEDEAO du gouvernement de transition dirigé par Dioncounda Traoré.
Rien n’a été réglé, la situation a même empiré avec une classe politique spécialisée dans le festin des brigands du vol des deniers publics et la soumission apatride aux intérêts de l'étranger impérialiste.
En fait l'embargo a pour objectif d'empêcher l'armée malienne d'avoir les moyens militaires de libérer et préserver l'intégrité territoriale du Mali. C'est le plan français soutenu par la CEDEAO non des peuples mais des chefs d'états néocoloniaux.
Le Collectif Afrique appelle tous les peuples africains, les diasporas africaines, les patriotes panafricanistes, les démocrates et internationalistes à exiger :
- la suppression de l'embargo sur tout ce qu'achètent le Mali et les Maliens, notamment sur les armes indispensables à la libération du pays de l'occupation séparatiste djihado-terroriste;
- le respect de la souveraineté nationale et populaire du Mali; aucune ingérence de l'armée d'occupation française dans les affaires internes du Mali;
- le respect des constitutions nationales, notamment la limitation des mandats par les présidents du pré-carré néocolonial français en Afrique.
Fait le 21/08/2020
Source : https://www.impact.sn/Collectif-Afrique-France-Non...