Dès sa prise de fonction, Austin et Akim, deux Nigérians réputés être proche du milieu de la drogue l’ont câblé pour reconduire le système instauré par son prédécesseur. Abasourdi par l’audace de ces bandits, Cheikhna Cheikh Keïta a réalisé des investigations poussées pour avoir le cœur net sur les soupçons pesant sur les responsables de l’Ocrtis. Et c’est après une série de rendez-vous avec ces bandits qu’il a fini de découvrir le système mis en place par le Commissaire Abdoulaye Niang. En effet, lors des cérémonies solennelles d’incinération des drogues, les boulettes brûlées ne contenaient pas de la cocaïne. "Les boulettes qui étaient saisies sur les trafiquants ont toujours été remplacées par d'autres que je fabriquais", aurait confié l'un des dealers, Austin.
Comment la mafia nigériane contrôle l’Ocrtis...En arrivant à la tête de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis), le commissaire Cheikhna Cheikh Keïta a hérité d’un service infesté par les dealers. D'après Le Quotidien, son rapport, adressé à son ministre de tutelle, démontre qu’une filière nigériane de cocaïne a tissé des relations au plus haut sommet de la hiérarchie policière.Rédigé par leral.net le Mardi 16 Juillet 2013 à 10:50 | | 11 commentaire(s)|
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