Ce n’est plus un casse-tête pour les chauds lapins de s’envoyer en l’air. Il suffit de disposer de disposer de l’argent liquide et vous avez de la bonne chair. De 3000 à 10.OOO francs, toutes les bourses trouvent preneur. Et puisque les goûts ne se discutent pas, on en trouve celles qui remplissent les critères de l’idéal africaine et celle prisées par l’occidental. Entendez par là, des filles aux formes généreuses et d’autres à la taille fine.
Les filles rivalisent de tour de taille. Nous sommes dans un bar du coin. Ordinaire il est, comme les autres temples de Bacchus de la ville de Bignona. Les professionnelles du plus vieux métier au monde ne chôment pas. « Donnez-moi une cigarette, vous avez du feu », voilà des mots qui reviennent souvent dans la bouche de ces dernières. Un petit marchandage et le tour est joué. Même avec des préservatifs, ces filles de joie vous promettent de vous envoyer au firmament. D’après l’une d’entre elle que nous avons abordée, elles ont plusieurs gammes à offrir à leurs clients. «Du biberon au plafond », tout dépend de la manière ou de la position qui met à l’aise le partenaire.
Il suffit de payer une boisson sucrée ou alcoolisée pour appâter une cliente. En cette période de campagne électorale, le plaisir charnel fait courir beaucoup de gens à Bignona. Et comme au marché de tout produit, le prix augmente quand la demande est supérieure à l’offre. Place donc à la spéculation. « 5000 francs pour la nuit, si vous voulez », nous lance une prostituée dépigmentée.
Les filles rivalisent de tour de taille. Nous sommes dans un bar du coin. Ordinaire il est, comme les autres temples de Bacchus de la ville de Bignona. Les professionnelles du plus vieux métier au monde ne chôment pas. « Donnez-moi une cigarette, vous avez du feu », voilà des mots qui reviennent souvent dans la bouche de ces dernières. Un petit marchandage et le tour est joué. Même avec des préservatifs, ces filles de joie vous promettent de vous envoyer au firmament. D’après l’une d’entre elle que nous avons abordée, elles ont plusieurs gammes à offrir à leurs clients. «Du biberon au plafond », tout dépend de la manière ou de la position qui met à l’aise le partenaire.
Il suffit de payer une boisson sucrée ou alcoolisée pour appâter une cliente. En cette période de campagne électorale, le plaisir charnel fait courir beaucoup de gens à Bignona. Et comme au marché de tout produit, le prix augmente quand la demande est supérieure à l’offre. Place donc à la spéculation. « 5000 francs pour la nuit, si vous voulez », nous lance une prostituée dépigmentée.