Que penser du mari ?
Les époux doivent savoir que l'amour n'est pas un vent qui part et revient sans aucune cause ni orientation. C'est un sentiment vivant qui grandit ou meurt en fonction des pensées de chacun et de la volonté. Si la pensée de la personne vis-à-vis de son conjoint est adressée avec ironie et critique, très vite l'arbre de l'amour entre eux mourra et ses feuilles tomberont. L'amour se dissipera et sans retour, car la critique, la moquerie, la colère et la recherche des défauts de l'autre sont toutes des choses qui détruisent l'amour. Et si ces sentiments se transforment en paroles, les choses seront encore plus difficiles.
Rien ne fait fuir l'homme plus vite que la critique et la moquerie au sujet de sa virilité. Quelle que soit la colère de l'épouse, elle ne doit pas tomber dans une telle attitude, au dépit de corrompre une belle relation. Par contre, si la critique et la moquerie sont remplacées par le remerciement et l'admiration des bons côtés de la personne chère, cela contribuera à développer un amour tel le jour qui suit la nuit. L'amour est certes le résultat naturel d'une pensée vertueuse vis-à-vis de l'autre et bien sûr un bienfait de la part du Tout Miséricordieux.
La décontraction
La jeune mariée vierge est la plupart du temps nerveuse la première nuit, ce qui est une chose tout à fait naturelle. Chaque nouvelle expérience peut pousser les nerfs à bout, mais comme dans toute chose dans la vie, la répétition fait partir la peur. Cette peur résulte sans aucun doute de la timidité qui englobe la femme dès lors qu'elle se trouve en présence d'un homme qu'elle ne connaît pas. Bien que la honte ou la pudeur soit un caractère noble et beau chez la femme, il n'a aucune place dans sa couche et avec son mari.
C'est pourquoi il est important que la femme se décontracte dans sa relation sexuelle avec son époux, car elle pourra ainsi connaître plus d'harmonie et de jouissance. La décontraction aide aussi la femme à avoir des sécrétions vaginales qui permettront une pénétration beaucoup plus facile du pénis dans le vagin. Et contrairement, sa peur et sa timidité entraîneront une pénétration vaginale quelque peu douloureuse. Le problème peu devenir encore plus grand si la peur de cette douleur devient une habitude chez la femme, ce qui privera les époux de toute jouissance sexuelle. La décontraction est donc importante pour la femme. Plus la timidité est moindre, plus elle sera apte à jouir. Cela est tout aussi important pour le mari, car s'il ressent cette peur venant d'elle, il le comprendra comme une peur vis-à-vis de lui. Aussi dit le poète : Les rapports intimes doivent intervenir après une certaine forme, une certaine vivacité dans les membres et l'absence de tout souci pesant.
Le mari est séduit par le regard
La femme doit se rappeler que l'excitation de l'homme peut très vite être attisée par un regard. Ce qui est de plus beau pour l'homme, c'est la femme. Elle se doit donc, dès que son mari rentre à la maison, de se faire belle pour lui et de lui rendre ce moment agréable. L'époux qui revient de son travail pour trouver face à lui une épouse propre, belle et intéressée de son apparence pour lui offrir un accueil chaleureux, ressentira un bonheur intense et considérera son retour à la maison comme un moment de joie auquel il sera très attaché.
Quant à la femme qui n'accorde aucune importance à ce point, en sorte d'accueillir son mari avec ses vêtements de ménage et les cheveux ébouriffés, de même que toutes les odeurs de cuisine pour lui montrer l'ampleur de son travail dans le foyer et avec les enfants, c'est elle-même, en faisant cela, qui étouffe l'amour entre elle et son mari. La femme a beaucoup plus d'aptitudes et de capacités qu'elle ne le croit, aussi elle se doit de tirer des leçons de tout cela. Elle doit se faire belle et faire attention à son apparence autant qu'elle le peut. C'est un bon conseil pour toute femme qui aime son mari.
L'épouse est la partenaire harmonieuse
La femme a une grande capacité à répondre aux initiatives de son conjoint. C'est l'homme qui le plus souvent s'engage le premier. Plusieurs fois il s'approche de son épouse en cachant ses intentions sexuelles et sentimentales, au moment où le rapport intime est loin d'être la préoccupation de la femme. Si elle accepte les avances de son mari et y donne suite, son état d'humeur grandira et ses sentiments s'enflammeront. Ils passeront sans aucun doute un moment de plaisir. De nombreuses fois la femme laisse passer l'occasion de passer un bon moment par le simple fait de retenir la capacité qu'elle possède pour répondre à son mari.
Avancer en toute liberté
Nombreuses femmes croient que leur époux connaît tout de l'acte sexuel, alors que c'est une chose rare. Ainsi, la femme doit avancer avec son mari en toute liberté, elle doit ôter toute timidité vis-à-vis de lui et toute peur, car cela n'a aucune place dans le lit conjugal. C'est à elle de l'informer sur l'unique femme sur terre qu'il se doit de bien connaître. Elle doit donc apprendre comment s'exprimer d'elle-même. Elle doit aussi l'informer de ce qu'elle ressent quand elle est près de lui, comme elle doit guider sa main pour lui montrer les endroits les plus érectiles et qui lui donnent le plus d'excitation. Car si elle ne l'en informe pas, il est possible qu'il ne le sache jamais.
Les époux, étant un vêtement l'un pour l'autre, ont donc le droit de faire tout ce qui les poussera à préserver leur chasteté commune. C'est pourquoi aucun texte dans la religion ne limite la façon de pratiquer l'acte sexuel avec son épouse. Il n'y a pas de procédé spécifique ou de manière ou de façon propre dans la pratique sexuelle que les époux doivent suivre à la lettre. Cela n'existe pas dans notre religion.
Tout ce que l'Islam interdit est la relation intime via l'anus et au moment des menstrues. En dehors de ces deux choses, le mari et la femme ont pleine liberté dans la jouissance avec l'autre de diverses sortes, manières, façons et procédés. Qu'il agisse avec elle et qu'elle agisse avec lui pour autant que cela satisfasse l'un et l'autre. Et c'est ce que signifie la parole d'Allah : « Vos épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme vous le voulez...»
Assis, couché, plié ou accroupi... tant que la pénétration se fait uniquement dans le vagin. Tous les jeux, attouchements et caresses sont également permis dans leurs diverses formes et manières tant que cela ne blesse personne ou le lèse ni ne porte atteinte à sa dignité et son honneur. Ainsi, les Juifs disaient autrefois que celui qui prenait son épouse par derrière dans son vagin aurait un enfant qui louche. Allah leur répondit aussitôt en disant :«...allez à votre champ comme vous le voulez...»
Allez par devant ou derrière ou sur leur côté ou autre mais dans un seul endroit, celui de la procréation et de la fécondation, dans le champ de labour : le vagin. L'Islam a laissé une porte grande ouverte dans ce domaine quant à la jouissance collective et réciproque entre époux dans l'ensemble des façons et manières pour la plus grande satisfaction et jouissance de l'un vis-à-vis de l'autre, sans pour autant tomber dans les actes vils et pervers, en obligeant la femme à faire certaines choses ou en étant brutal avec elle, en sorte de porter atteinte à son honneur et sa dignité de croyante. La liberté ne signifie pas perversité mais bien diversification dans l'art, la pratique et la méthode, sans oublier que toute chose qui mène à l'illicite est elle-même illicite !
Lasenegalaise
Les époux doivent savoir que l'amour n'est pas un vent qui part et revient sans aucune cause ni orientation. C'est un sentiment vivant qui grandit ou meurt en fonction des pensées de chacun et de la volonté. Si la pensée de la personne vis-à-vis de son conjoint est adressée avec ironie et critique, très vite l'arbre de l'amour entre eux mourra et ses feuilles tomberont. L'amour se dissipera et sans retour, car la critique, la moquerie, la colère et la recherche des défauts de l'autre sont toutes des choses qui détruisent l'amour. Et si ces sentiments se transforment en paroles, les choses seront encore plus difficiles.
Rien ne fait fuir l'homme plus vite que la critique et la moquerie au sujet de sa virilité. Quelle que soit la colère de l'épouse, elle ne doit pas tomber dans une telle attitude, au dépit de corrompre une belle relation. Par contre, si la critique et la moquerie sont remplacées par le remerciement et l'admiration des bons côtés de la personne chère, cela contribuera à développer un amour tel le jour qui suit la nuit. L'amour est certes le résultat naturel d'une pensée vertueuse vis-à-vis de l'autre et bien sûr un bienfait de la part du Tout Miséricordieux.
La décontraction
La jeune mariée vierge est la plupart du temps nerveuse la première nuit, ce qui est une chose tout à fait naturelle. Chaque nouvelle expérience peut pousser les nerfs à bout, mais comme dans toute chose dans la vie, la répétition fait partir la peur. Cette peur résulte sans aucun doute de la timidité qui englobe la femme dès lors qu'elle se trouve en présence d'un homme qu'elle ne connaît pas. Bien que la honte ou la pudeur soit un caractère noble et beau chez la femme, il n'a aucune place dans sa couche et avec son mari.
C'est pourquoi il est important que la femme se décontracte dans sa relation sexuelle avec son époux, car elle pourra ainsi connaître plus d'harmonie et de jouissance. La décontraction aide aussi la femme à avoir des sécrétions vaginales qui permettront une pénétration beaucoup plus facile du pénis dans le vagin. Et contrairement, sa peur et sa timidité entraîneront une pénétration vaginale quelque peu douloureuse. Le problème peu devenir encore plus grand si la peur de cette douleur devient une habitude chez la femme, ce qui privera les époux de toute jouissance sexuelle. La décontraction est donc importante pour la femme. Plus la timidité est moindre, plus elle sera apte à jouir. Cela est tout aussi important pour le mari, car s'il ressent cette peur venant d'elle, il le comprendra comme une peur vis-à-vis de lui. Aussi dit le poète : Les rapports intimes doivent intervenir après une certaine forme, une certaine vivacité dans les membres et l'absence de tout souci pesant.
Le mari est séduit par le regard
La femme doit se rappeler que l'excitation de l'homme peut très vite être attisée par un regard. Ce qui est de plus beau pour l'homme, c'est la femme. Elle se doit donc, dès que son mari rentre à la maison, de se faire belle pour lui et de lui rendre ce moment agréable. L'époux qui revient de son travail pour trouver face à lui une épouse propre, belle et intéressée de son apparence pour lui offrir un accueil chaleureux, ressentira un bonheur intense et considérera son retour à la maison comme un moment de joie auquel il sera très attaché.
Quant à la femme qui n'accorde aucune importance à ce point, en sorte d'accueillir son mari avec ses vêtements de ménage et les cheveux ébouriffés, de même que toutes les odeurs de cuisine pour lui montrer l'ampleur de son travail dans le foyer et avec les enfants, c'est elle-même, en faisant cela, qui étouffe l'amour entre elle et son mari. La femme a beaucoup plus d'aptitudes et de capacités qu'elle ne le croit, aussi elle se doit de tirer des leçons de tout cela. Elle doit se faire belle et faire attention à son apparence autant qu'elle le peut. C'est un bon conseil pour toute femme qui aime son mari.
L'épouse est la partenaire harmonieuse
La femme a une grande capacité à répondre aux initiatives de son conjoint. C'est l'homme qui le plus souvent s'engage le premier. Plusieurs fois il s'approche de son épouse en cachant ses intentions sexuelles et sentimentales, au moment où le rapport intime est loin d'être la préoccupation de la femme. Si elle accepte les avances de son mari et y donne suite, son état d'humeur grandira et ses sentiments s'enflammeront. Ils passeront sans aucun doute un moment de plaisir. De nombreuses fois la femme laisse passer l'occasion de passer un bon moment par le simple fait de retenir la capacité qu'elle possède pour répondre à son mari.
Avancer en toute liberté
Nombreuses femmes croient que leur époux connaît tout de l'acte sexuel, alors que c'est une chose rare. Ainsi, la femme doit avancer avec son mari en toute liberté, elle doit ôter toute timidité vis-à-vis de lui et toute peur, car cela n'a aucune place dans le lit conjugal. C'est à elle de l'informer sur l'unique femme sur terre qu'il se doit de bien connaître. Elle doit donc apprendre comment s'exprimer d'elle-même. Elle doit aussi l'informer de ce qu'elle ressent quand elle est près de lui, comme elle doit guider sa main pour lui montrer les endroits les plus érectiles et qui lui donnent le plus d'excitation. Car si elle ne l'en informe pas, il est possible qu'il ne le sache jamais.
Les époux, étant un vêtement l'un pour l'autre, ont donc le droit de faire tout ce qui les poussera à préserver leur chasteté commune. C'est pourquoi aucun texte dans la religion ne limite la façon de pratiquer l'acte sexuel avec son épouse. Il n'y a pas de procédé spécifique ou de manière ou de façon propre dans la pratique sexuelle que les époux doivent suivre à la lettre. Cela n'existe pas dans notre religion.
Tout ce que l'Islam interdit est la relation intime via l'anus et au moment des menstrues. En dehors de ces deux choses, le mari et la femme ont pleine liberté dans la jouissance avec l'autre de diverses sortes, manières, façons et procédés. Qu'il agisse avec elle et qu'elle agisse avec lui pour autant que cela satisfasse l'un et l'autre. Et c'est ce que signifie la parole d'Allah : « Vos épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme vous le voulez...»
Assis, couché, plié ou accroupi... tant que la pénétration se fait uniquement dans le vagin. Tous les jeux, attouchements et caresses sont également permis dans leurs diverses formes et manières tant que cela ne blesse personne ou le lèse ni ne porte atteinte à sa dignité et son honneur. Ainsi, les Juifs disaient autrefois que celui qui prenait son épouse par derrière dans son vagin aurait un enfant qui louche. Allah leur répondit aussitôt en disant :«...allez à votre champ comme vous le voulez...»
Allez par devant ou derrière ou sur leur côté ou autre mais dans un seul endroit, celui de la procréation et de la fécondation, dans le champ de labour : le vagin. L'Islam a laissé une porte grande ouverte dans ce domaine quant à la jouissance collective et réciproque entre époux dans l'ensemble des façons et manières pour la plus grande satisfaction et jouissance de l'un vis-à-vis de l'autre, sans pour autant tomber dans les actes vils et pervers, en obligeant la femme à faire certaines choses ou en étant brutal avec elle, en sorte de porter atteinte à son honneur et sa dignité de croyante. La liberté ne signifie pas perversité mais bien diversification dans l'art, la pratique et la méthode, sans oublier que toute chose qui mène à l'illicite est elle-même illicite !
Lasenegalaise