« Avec le système « Gaïndé 2000 », qui est le bras technologique de la Douane, le Sénégal ne sera pas en marge de la révolution numérique. Et nous sommes en train de tirer le reste du continent. Sur le plan du commerce électronique, sur le plan des guichets uniques, le Sénégal est un pays leader qui est reconnu par l’organisation mondiale des douanes et l’organisation mondiale du commerce. Malgré un environnement économique difficile, malgré la petitesse de notre économie, il y a une révolution qui se déroule tranquillement au niveau numérique », a expliqué Mouhamadou Makhtar Cissé.
M. Cissé a également relevé un élément essentiel au niveau du commerce extérieur qui est le gain de temps et notre continent a un rôle majeur à jouer dans cette évolution mondiale. D’après lui, « en matière de commerce extérieur, le facteur de compétitivité numéro 1, c’est le facteur temps. Quand les opérations se déroulent en quelques minutes, c’est des gains énormes pour les opérateurs économiques. L’intérêt de l’alliance, c’est que l’Afrique ne peut pas être en marge du reste du monde ». Pour relever ce défi, le Directeur de la Douane sénégalaise estime qu’il faut que tous les 12 pays membres de l’Aace soient au même niveau. « On ne peut pas faire autrement si nous voulons tirer le Sénégal vers la science et la technologie », a-t-il conclu.
M. Cissé a également relevé un élément essentiel au niveau du commerce extérieur qui est le gain de temps et notre continent a un rôle majeur à jouer dans cette évolution mondiale. D’après lui, « en matière de commerce extérieur, le facteur de compétitivité numéro 1, c’est le facteur temps. Quand les opérations se déroulent en quelques minutes, c’est des gains énormes pour les opérateurs économiques. L’intérêt de l’alliance, c’est que l’Afrique ne peut pas être en marge du reste du monde ». Pour relever ce défi, le Directeur de la Douane sénégalaise estime qu’il faut que tous les 12 pays membres de l’Aace soient au même niveau. « On ne peut pas faire autrement si nous voulons tirer le Sénégal vers la science et la technologie », a-t-il conclu.