« Je suis solidaire avec tous mes frères qui sont convoqués et qui seront convoqués à la section de recherche de la gendarmerie et qui sont vilipendés et mis à la vindicte populaire », a déclaré l’ancien Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, sous les applaudissements des libéraux comme pour manifester son engagement au combat que le Pds compte livrer contre le pouvoir en place pour maintenir le Pds dans l’échiquier sénégalais.
Dans la même mouvance, Souleymane Ndéné Ndiaye déclare que « ce que Macky Sall, président de la République, a dit à propos de l’interdiction des bons impayés dans la campagne de commercialisation de l’arachide n’est pas nouveau ».
« La commercialisation de l’arachide est libéralisée au Sénégal. Le gouvernement n’achète pas la production arachidière. Ce sont les huiliers qui l’achètent en fonction de leur capacité. N’ayant pas de liquidité, ils (les huiliers), donc ne pouvant pas payer les intermédiaires sur place, ces derniers délivrent des bons en attendant que les huiliers aient de la liquidité après la vente de leurs produits finis. Un cycle jugé long qui pousse souvent le gouvernement à intervenir auprès des banques locales et éviter les banques offshores pour permettre aux paysans de rentrer dans leurs fonds », explique-t-il.
Me Souleymane Ndéné Ndiaye a, par ailleurs, estimé que la loi sur l’enrichissement illicite est « scélérate et anti constitutionnelle », car soutient-il, « aucune loi n’est au dessus d’une juridiction de recours ». « Nous attendons les premières décisions de la Cour de répression de l’enrichissement illicite pour avoir l’occasion d’introduire un recours à la Cour pénale de l’Union africaine ».
Ferloo.com
Dans la même mouvance, Souleymane Ndéné Ndiaye déclare que « ce que Macky Sall, président de la République, a dit à propos de l’interdiction des bons impayés dans la campagne de commercialisation de l’arachide n’est pas nouveau ».
« La commercialisation de l’arachide est libéralisée au Sénégal. Le gouvernement n’achète pas la production arachidière. Ce sont les huiliers qui l’achètent en fonction de leur capacité. N’ayant pas de liquidité, ils (les huiliers), donc ne pouvant pas payer les intermédiaires sur place, ces derniers délivrent des bons en attendant que les huiliers aient de la liquidité après la vente de leurs produits finis. Un cycle jugé long qui pousse souvent le gouvernement à intervenir auprès des banques locales et éviter les banques offshores pour permettre aux paysans de rentrer dans leurs fonds », explique-t-il.
Me Souleymane Ndéné Ndiaye a, par ailleurs, estimé que la loi sur l’enrichissement illicite est « scélérate et anti constitutionnelle », car soutient-il, « aucune loi n’est au dessus d’une juridiction de recours ». « Nous attendons les premières décisions de la Cour de répression de l’enrichissement illicite pour avoir l’occasion d’introduire un recours à la Cour pénale de l’Union africaine ».
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