En effet, le Sénégal a affiché un taux de croissance supérieure à 6 % depuis 2015, et pour accompagner ce taux de croissance encourageant et lutter contre les inégalités sociales, M. le président de la République a lancé à côté des programmes de filets sociaux, un ensemble d’initiatives nationales notamment l’initiative « PSE-Economie sociale et solidaire » comme un modèle de développement entrepreneurial et d’inclusion sociale par l’économique, des populations vulnérables à la base.
Il convient cependant de noter que le taux de pénétration du secteur de la microfinance en milieu rural reste très faible et que l’accès au crédit demeure encore à l’avantage des hommes. Cela s’explique par un ensemble de contraintes liées entre autres à la faiblesse des capacités techniques, managériales et entrepreneuriales des populations en milieu rural, à l’absence de revenus suffisant et de garanties, etc.
A ce titre, le renforcement des capacités financières des acteurs économiques particulièrement des femmes à la base, est déterminant pour l’amélioration de leur participation à la production, facteur important pour l’autonomisation économique, en mettant la microfinance au cœur de la stratégie de promotion de l’ESS en tant qu’outil permettant d’apporter des services financiers et non financiers adaptés aux besoins de financement.
Mais aussi, d’accompagner la transition de l’économie informelle vers le monde de la petite et moyenne entreprise, de garantir une répartition équitable de la croissance.
Donc, il est nécessaire de mettre en place une stratégie nationale autour de l’économie sociale et solidaire, dans un contexte caractérisé par une prise de conscience générale des acteurs nationaux et internationaux de l’importance de ce secteur, dans sa capacité à se positionner au plan intersectoriel et d’accompagner les groupements locaux à la base pour une croissance inclusive.
C’est pourquoi notre département travaille à asseoir « un secteur de l’Economie sociale et solidaire, et de la Microfinance articulé, inclusif et performant pour un Sénégal émergent dans une société solidaire. ».Pour ce faire, le Ministère dispose d’un ensemble de services et d’instruments dont le Fonds d’impulsion de la Microfinance (FIMF), qui fera l’objet d’une présentation au Haut conseil des collectivités territoriales.
Il convient cependant de noter que le taux de pénétration du secteur de la microfinance en milieu rural reste très faible et que l’accès au crédit demeure encore à l’avantage des hommes. Cela s’explique par un ensemble de contraintes liées entre autres à la faiblesse des capacités techniques, managériales et entrepreneuriales des populations en milieu rural, à l’absence de revenus suffisant et de garanties, etc.
A ce titre, le renforcement des capacités financières des acteurs économiques particulièrement des femmes à la base, est déterminant pour l’amélioration de leur participation à la production, facteur important pour l’autonomisation économique, en mettant la microfinance au cœur de la stratégie de promotion de l’ESS en tant qu’outil permettant d’apporter des services financiers et non financiers adaptés aux besoins de financement.
Mais aussi, d’accompagner la transition de l’économie informelle vers le monde de la petite et moyenne entreprise, de garantir une répartition équitable de la croissance.
Donc, il est nécessaire de mettre en place une stratégie nationale autour de l’économie sociale et solidaire, dans un contexte caractérisé par une prise de conscience générale des acteurs nationaux et internationaux de l’importance de ce secteur, dans sa capacité à se positionner au plan intersectoriel et d’accompagner les groupements locaux à la base pour une croissance inclusive.
C’est pourquoi notre département travaille à asseoir « un secteur de l’Economie sociale et solidaire, et de la Microfinance articulé, inclusif et performant pour un Sénégal émergent dans une société solidaire. ».Pour ce faire, le Ministère dispose d’un ensemble de services et d’instruments dont le Fonds d’impulsion de la Microfinance (FIMF), qui fera l’objet d’une présentation au Haut conseil des collectivités territoriales.