« On n’a pas des opposants. Ils sont tous des poltrons ». Tels sont les propos tenu, hier à la place de l’Obélisque, par les manifestants qui assistaient au rassemblement du M23 contre la candidature du président Abdoulaye Wade. D’ailleurs, ils étaient tous venus en masse pour prendre part à la manifestation.
En fait, les jeunes manifestants en ont voulu aux leaders de l’opposition qui ont refusé de donner le mot de marcher vers le palais de la République. Pis, certains chefs de parti ont disparu dès que les choses ont commencé à dégénérer. Ce que les manifestants ont vivement déploré.
Certains ont regretté d’être venus à la place de l’obélisque « pour rien ». « Ces gens sont tous des incapables. J’habite à Thiès et je suis venu ici en tant que citoyen pour participer à la marche. Mais malheureusement, ça ne valait pas la peine », soutient un jeune manifestant. Avant d’ajouter « ces leaders sont tous des poltrons. »
Même son de cloche chez Abdourakhmane Sow qui déclare : « On ne peut pas rester ici à écouter ces hommes politiques qui, jusque-là, n’ont pas réagi face à ce coup d’Etat constitutionnel. Soit on retire Abdoulaye Wade du palais, soit on le laisse gérer le pays. »
Walf Grand-Place
En fait, les jeunes manifestants en ont voulu aux leaders de l’opposition qui ont refusé de donner le mot de marcher vers le palais de la République. Pis, certains chefs de parti ont disparu dès que les choses ont commencé à dégénérer. Ce que les manifestants ont vivement déploré.
Certains ont regretté d’être venus à la place de l’obélisque « pour rien ». « Ces gens sont tous des incapables. J’habite à Thiès et je suis venu ici en tant que citoyen pour participer à la marche. Mais malheureusement, ça ne valait pas la peine », soutient un jeune manifestant. Avant d’ajouter « ces leaders sont tous des poltrons. »
Même son de cloche chez Abdourakhmane Sow qui déclare : « On ne peut pas rester ici à écouter ces hommes politiques qui, jusque-là, n’ont pas réagi face à ce coup d’Etat constitutionnel. Soit on retire Abdoulaye Wade du palais, soit on le laisse gérer le pays. »
Walf Grand-Place