Les deux décrets annulés concernent les prolongations des concessions pour l’exploitation d’argile et de latérite à Thicky, ainsi que pour l’exploitation de calcaire à Kirène, toutes deux accordées pour une durée de 25 ans par Macky Sall, seulement deux jours après l’élection présidentielle du 24 mars 2024.
Les annulations ont été formulées par le décret n°2025-275 et le décret n°2025-276, qui retirent respectivement les prolongations des concessions de Thicky et de Kirène. Ces décisions ont été prises dans un contexte politique particulièrement sensible, soulevant des interrogations sur la légitimité et les motivations des choix de l’ex-président, qui agissait en pleine transition postélectorale.
La raison principale de l’annulation réside dans des violations des normes légales en vigueur. En effet, les prolongations accordées s’opposent au Règlement n°02/2023/CM/UEMOA du 16 juin 2023, qui limite la durée des renouvellements à 20 ans. De plus, les décrets de renouvellement se fondaient sur l’article 29 du Code minier de 1988, abrogé par les lois plus récentes de 2003 et 2016.
Ces prolongations ont donc été jugées juridiquement erronées et contraires aux lois actuelles, d’où la décision du président Faye de les annuler. Cet acte, bien que critiqué par certains, est perçu par beaucoup comme un geste fort pour rétablir la légalité et garantir une gestion transparente et responsable des ressources minières du pays.
Il s’inscrit également dans une initiative plus large, intitulée « JubJubal- Jubanti », portée par le président Diomaye Faye. Cette initiative vise à corriger les erreurs de gestion passées et à mettre en place un cadre juridique plus strict pour l’exploitation des ressources naturelles du Sénégal, dans le but de protéger l’avenir du pays.
En annulant ces décrets, le président Bassirou Diomaye Faye réaffirme son engagement à respecter les normes et à garantir une gestion transparente des concessions minières.
Cet acte semble être une réponse claire aux préoccupations des citoyens et des observateurs sur la gestion des ressources naturelles, notamment dans le contexte d’un pays où les enjeux économiques et environnementaux sont de plus en plus déterminants pour l’avenir.
Ainsi, l’annulation des prolongations de ces concessions marie à la fois la volonté de respecter la légalité et celle de réguler de manière plus rigoureuse l’exploitation des ressources naturelles, en préservant les intérêts du peuple sénégalais et en évitant toute dérive susceptible de nuire au développement durable du pays
Les annulations ont été formulées par le décret n°2025-275 et le décret n°2025-276, qui retirent respectivement les prolongations des concessions de Thicky et de Kirène. Ces décisions ont été prises dans un contexte politique particulièrement sensible, soulevant des interrogations sur la légitimité et les motivations des choix de l’ex-président, qui agissait en pleine transition postélectorale.
La raison principale de l’annulation réside dans des violations des normes légales en vigueur. En effet, les prolongations accordées s’opposent au Règlement n°02/2023/CM/UEMOA du 16 juin 2023, qui limite la durée des renouvellements à 20 ans. De plus, les décrets de renouvellement se fondaient sur l’article 29 du Code minier de 1988, abrogé par les lois plus récentes de 2003 et 2016.
Ces prolongations ont donc été jugées juridiquement erronées et contraires aux lois actuelles, d’où la décision du président Faye de les annuler. Cet acte, bien que critiqué par certains, est perçu par beaucoup comme un geste fort pour rétablir la légalité et garantir une gestion transparente et responsable des ressources minières du pays.
Il s’inscrit également dans une initiative plus large, intitulée « JubJubal- Jubanti », portée par le président Diomaye Faye. Cette initiative vise à corriger les erreurs de gestion passées et à mettre en place un cadre juridique plus strict pour l’exploitation des ressources naturelles du Sénégal, dans le but de protéger l’avenir du pays.
En annulant ces décrets, le président Bassirou Diomaye Faye réaffirme son engagement à respecter les normes et à garantir une gestion transparente des concessions minières.
Cet acte semble être une réponse claire aux préoccupations des citoyens et des observateurs sur la gestion des ressources naturelles, notamment dans le contexte d’un pays où les enjeux économiques et environnementaux sont de plus en plus déterminants pour l’avenir.
Ainsi, l’annulation des prolongations de ces concessions marie à la fois la volonté de respecter la légalité et celle de réguler de manière plus rigoureuse l’exploitation des ressources naturelles, en préservant les intérêts du peuple sénégalais et en évitant toute dérive susceptible de nuire au développement durable du pays