L’accusée, comme lors de l’enquête préliminaire, a réfuté les allégations de la partie civile. Fatou Laobé affirme que son accusatrice cherche à nuire à sa réputation. Son avocat a plaidé pour sa cause. Cependant, revenant sur les faits, Fatima Binetou Sow déclare : « après nous avoir séquestré dans son salon, elle m’a engueulée et traité de tous les noms. Elle m’a injuriée de mère devant ses frères. Elle m’a cognée contre le mur et bousculée.
Ensuite elle m’a dit n’avoir que faire de la justice », argue l’accusatrice qui soutient avoir aussi était agressée puis dépossédée de sa perruque à sa sortie de la maison par une parente de la chanteuse. Elle affirme toutefois ne rien réclamer comme dommage et intérêts. « Je voudrais simplement que mon honneur soit lavé, et que Fatou Laobé sache qu’on est dans un Etat de droit. Elle devrait maintenant se référer à sa célèbre chanson : doolé moo man degue wayé degue moy mujé » conclu la partie civile.
Ensuite elle m’a dit n’avoir que faire de la justice », argue l’accusatrice qui soutient avoir aussi était agressée puis dépossédée de sa perruque à sa sortie de la maison par une parente de la chanteuse. Elle affirme toutefois ne rien réclamer comme dommage et intérêts. « Je voudrais simplement que mon honneur soit lavé, et que Fatou Laobé sache qu’on est dans un Etat de droit. Elle devrait maintenant se référer à sa célèbre chanson : doolé moo man degue wayé degue moy mujé » conclu la partie civile.