Après 11 mois de cotisations, M. Z. Diagne, qui avait fait adhérer 3 autres membres de sa famille, et versant la somme mensuelle de 270 000 F CFA, devait récupérer sa mise. Mais, la dame établie au Maroc, n’a jamais vu la couleur de l’argent.
Lasse de réclamer son dû, la plaignante a porté plainte contre Y. A. Ngom, mariée et mère de 2 enfants.
L’enquête a révélé que la mise en cause, dont l’activité favorite est de créer des tontines fictives, a grugé plusieurs victimes, rapporte "Source A", repris par "Seneweb".
Jugée hier mardi, la prévenue, âgée de 28 ans, a admis avoir reçu les cotisations de la partie civile depuis le démarrage de la tontine, en janvier 2023. Sauf que, souligne-t-elle, repris par le journal, « l’un des participants s’est retiré dès le premier mois. Sur ce, j’ai demandé aux autres membres d’augmenter leur cotisation pour couvrir les 17 mois. Par la suite, d’autres membres, qui ont déjà récupéré leur mise,’se sont retirés».
La partie adverse dément : « Quand j’ai déposé la plainte, les réquisitions de la Sonatel ont démontré qu’elle nous a donné des numéros fictifs quand je lui ai demandé les coordonnées des autres participants».
La plaignante martèle que «certains numéros appartiennent à ses proches», avant d’enfoncer le clou : « Aussi, elle m’avait dit que c’est l’Adjudant Niane du commissariat des Parcelles Assainies qui supervisait la tontine. Ce qui est faux. Ce dernier m’a fait savoir qu’elle est une habituée des faits. La tontine n’a jamais existé ». Elle exige réparation, d’après la source.
Celle-ci indique que l’affaire évoquée hier à la barre du Tribunal des flagrants délits de Dakar, a abouti à la condamnation de la prévenue à 6 mois, dont 3 d’emprisonnement ferme.
Condamnée pour escroquerie, la dame devra également payer 3,5 millions de francs Cfa à la plaignante. Y. A. Ngom s’est évanouie dès qu’elle a entendu la sentence.
Lasse de réclamer son dû, la plaignante a porté plainte contre Y. A. Ngom, mariée et mère de 2 enfants.
L’enquête a révélé que la mise en cause, dont l’activité favorite est de créer des tontines fictives, a grugé plusieurs victimes, rapporte "Source A", repris par "Seneweb".
Jugée hier mardi, la prévenue, âgée de 28 ans, a admis avoir reçu les cotisations de la partie civile depuis le démarrage de la tontine, en janvier 2023. Sauf que, souligne-t-elle, repris par le journal, « l’un des participants s’est retiré dès le premier mois. Sur ce, j’ai demandé aux autres membres d’augmenter leur cotisation pour couvrir les 17 mois. Par la suite, d’autres membres, qui ont déjà récupéré leur mise,’se sont retirés».
La partie adverse dément : « Quand j’ai déposé la plainte, les réquisitions de la Sonatel ont démontré qu’elle nous a donné des numéros fictifs quand je lui ai demandé les coordonnées des autres participants».
La plaignante martèle que «certains numéros appartiennent à ses proches», avant d’enfoncer le clou : « Aussi, elle m’avait dit que c’est l’Adjudant Niane du commissariat des Parcelles Assainies qui supervisait la tontine. Ce qui est faux. Ce dernier m’a fait savoir qu’elle est une habituée des faits. La tontine n’a jamais existé ». Elle exige réparation, d’après la source.
Celle-ci indique que l’affaire évoquée hier à la barre du Tribunal des flagrants délits de Dakar, a abouti à la condamnation de la prévenue à 6 mois, dont 3 d’emprisonnement ferme.
Condamnée pour escroquerie, la dame devra également payer 3,5 millions de francs Cfa à la plaignante. Y. A. Ngom s’est évanouie dès qu’elle a entendu la sentence.