
Dans un communiqué presse repris par nos confrères du journal EnQuête, l’organisation affirme que cette inquiétude se justifie par le retard noté dans la mise en œuvre de la loi portant création de l’Office nationale anti-corruption (OFNAC) et du Code de transparence dans les finances publiques adoptée depuis décembre 2012. Mouhamadou Mbodji, coordonnateur général, et ses camarades déplorent également "l’absence de confirmation du choix de la bonne gouvernance dans la Déclaration de politique générale (DPG) du Premier ministre et l’exclusion de leur organisation lors du renouvellement du Conseil de régulation de l’Armp".