Un potentiel financier immense, mais mal structuré
La Zakât, pilier fondamental de l’Islam, repose sur un principe simple : chaque musulman remplissant les conditions, doit verser 2,5 % de ses économies et actifs, à des fins sociales et humanitaires. Pourtant, au Sénégal, ce potentiel économique est faiblement exploité.
Selon les analyses du Conseil scientifique de la Zakât du CIFOD, une meilleure structuration pourrait permettre de collecter jusqu’à 160 milliards FCfa par an. Une somme qui, bien gérée, pourrait financer des projets dans les domaines suivants :
Lutte contre la pauvreté : Aide directe aux familles démunies
Éducation : Construction d’écoles, bourses d’études
Santé : Financement d’hôpitaux et de soins médicaux
Développement économique : Soutien aux PME, infrastructures locales
Pourquoi la Zakât reste-t-elle sous-exploitée au Sénégal ?
Manque de structuration et d’encadrement officiel
Méconnaissance des règles de la Zakât par une grande partie de la population
Absence de mécanismes de collecte modernes et transparents
Faible implication des entreprises et des actifs commerciaux
Les solutions proposées lors de la conférence
Création d’une Institution Nationale de la Zakât (INZ) pour centraliser la collecte et la redistribution.
Mise en place de partenariats avec les banques islamiques, pour faciliter les paiements via des comptes dédiés.
Développement d’applications mobiles et de plateformes numériques pour moderniser la collecte.
Sensibilisation massive via les médias et les leaders religieux pour informer la population.
Inclusion des entreprises et des secteurs informels dans le paiement de la Zakât.
Un rendez-vous à ne pas manquer !
Date : 16 février 2025
Lieu : CIFOD
Diffusion en direct sur Leral TV & Leral FM
L’événement réunira des experts en économie islamique, des leaders religieux et des économistes, pour échanger sur les meilleures pratiques et tirer des enseignements des pays ayant réussi à structurer la Zakât, comme la Malaisie, l’Arabie Saoudite et le Soudan.
Imam Seydina Oumar Touré, membre du panel d’experts CIFOD/ZAKAT, insiste : « La Zakât ne doit pas être perçue uniquement comme une aumône, mais comme un véritable moteur économique et social. »
Soyez au rendez-vous en direct, sur Leral TV & Leral FM !
La Zakât, pilier fondamental de l’Islam, repose sur un principe simple : chaque musulman remplissant les conditions, doit verser 2,5 % de ses économies et actifs, à des fins sociales et humanitaires. Pourtant, au Sénégal, ce potentiel économique est faiblement exploité.
Selon les analyses du Conseil scientifique de la Zakât du CIFOD, une meilleure structuration pourrait permettre de collecter jusqu’à 160 milliards FCfa par an. Une somme qui, bien gérée, pourrait financer des projets dans les domaines suivants :
Lutte contre la pauvreté : Aide directe aux familles démunies
Éducation : Construction d’écoles, bourses d’études
Santé : Financement d’hôpitaux et de soins médicaux
Développement économique : Soutien aux PME, infrastructures locales
Pourquoi la Zakât reste-t-elle sous-exploitée au Sénégal ?
Manque de structuration et d’encadrement officiel
Méconnaissance des règles de la Zakât par une grande partie de la population
Absence de mécanismes de collecte modernes et transparents
Faible implication des entreprises et des actifs commerciaux
Les solutions proposées lors de la conférence
Création d’une Institution Nationale de la Zakât (INZ) pour centraliser la collecte et la redistribution.
Mise en place de partenariats avec les banques islamiques, pour faciliter les paiements via des comptes dédiés.
Développement d’applications mobiles et de plateformes numériques pour moderniser la collecte.
Sensibilisation massive via les médias et les leaders religieux pour informer la population.
Inclusion des entreprises et des secteurs informels dans le paiement de la Zakât.
Un rendez-vous à ne pas manquer !
Date : 16 février 2025
Lieu : CIFOD
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L’événement réunira des experts en économie islamique, des leaders religieux et des économistes, pour échanger sur les meilleures pratiques et tirer des enseignements des pays ayant réussi à structurer la Zakât, comme la Malaisie, l’Arabie Saoudite et le Soudan.
Imam Seydina Oumar Touré, membre du panel d’experts CIFOD/ZAKAT, insiste : « La Zakât ne doit pas être perçue uniquement comme une aumône, mais comme un véritable moteur économique et social. »
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