Au four et au moulin, les secrétaires et assistantes de direction, font le courrier, répondent au téléphone, font la saisie, élaborent les budgets, surveille les audiences, etc. Un rôle pas du tout repos qui nécessité patience, dynamisme et silence…Mais un métier la plupart du temps relégué au second plan malgré son importance au sein de l’entreprise. Pour revenir à cela, essayer de corriger les manquements, s’orienter vers de nouvelles horizons, les secrétaires et assistantes de directions au pris d’assaut la capitale sénégalaise ; pour au cours d’une conférence internationale (du 10 au 14 mai) disserter sur leur avenir. Ainsi, des secrétaires sont venus de l’Angola, du Mali, du Tchad, du Togo, de la Guinée, de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso, du Congo, du Cameroun, de la Centre Afrique…
« On ne peut pas imaginer un ministre sans directeur de cabinet, donc un manager sans secrétaire. Nous avons un métier transversal, noble et importante à la fois », dira, Mme Nicolas Mafoula du Congo. C’est pourquoi à l’image de Joséphine Zingué du Cameroun, les secrétaires exigent une attention particulière à leur égard. Tour à tour, Mme Diéla Songho du Burkina Faso, Mme Kadié Faranami, Aminata Kaya du Tchad, Salimata Bokoum du Mali, passeront devant le micro qui pour faire le bilan, qui pour demander de l’appui et de la considération de la part des gouvernants de l’Afrique.
Plus question pour Mme Nicoles Mafoula du Congo que les hommes décident à leur place « nous voulons aller vers la création d’un réseau Panafricain foret, regroupant tous et toutes les secrétaires d’Afrique pour être fort. » Dans la foulée, Mme Salimata Bokhoum, présidente de l’association malienne, par ailleurs vice-présidente de Fédération africaine des secrétaires, assistantes et attachées de direction (FASAAD), dénonce l’absence de plan de carrière pour les secrétaires et propose plus de formation et de performance pour des entreprises dignes du nom. « Nous appelons à nos gouvernants respectifs de consacré des fonds à la formation, car c’est un paradoxe de voir les patrons sur des TGV et les secrétaires leurs complices ailleurs ; d’où une conséquence négative sur la productivité des entreprise » Mieux, ces femmes croient fermement à la mise en place de l’Union africaine des secrétaires et assistantes de directions pour relever tous ces défis.
Le Premier ministre Souleyemane Ndéné Ndiaye convaincu que rien ne peut se faire sans les secrétaires « service essentiel de tout dispositif, qui traitent des informations sensibles » plaident en leur valeur pour plus de moyens, d’appui et de formation. Il soutient « leur carence, constituerait la contre performance des entreprises et organismes. C’est pourquoi, il est de devoir d’appuyer ces personnes dévouées, efficaces pour plus de performance. » Une voie à suivre pour « revaloriser cette noble profession et améliorer l’image de marque de l’assistante, élever également les niveaux de conscience professionnelle et connaissances techniques », ajoute, Mme Fatou Diop Sock, la présidente nationale de l’association des assistantes et secrétaires du Sénégal.
Sans taire cette fois ci « les secrets », Mme Sock ne pouvait ne pas informer de l’appui considérable que leur a fait monstre, Me Abdoulaye Wade, président de la république : « M Le Premier ministre soyez notre interprète auprès du Chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, pour lui exprimer notre profonde gratitude et lui montrer que nous avons conscience d’avoir contracté auprès de lui une énorme dette (…) Un intérêt qu’il n’a pas cessé de nous manifester durant la préparation ainsi que l’important appui financier dont il nous a gratifié. »
Ousmane LY
« On ne peut pas imaginer un ministre sans directeur de cabinet, donc un manager sans secrétaire. Nous avons un métier transversal, noble et importante à la fois », dira, Mme Nicolas Mafoula du Congo. C’est pourquoi à l’image de Joséphine Zingué du Cameroun, les secrétaires exigent une attention particulière à leur égard. Tour à tour, Mme Diéla Songho du Burkina Faso, Mme Kadié Faranami, Aminata Kaya du Tchad, Salimata Bokoum du Mali, passeront devant le micro qui pour faire le bilan, qui pour demander de l’appui et de la considération de la part des gouvernants de l’Afrique.
Plus question pour Mme Nicoles Mafoula du Congo que les hommes décident à leur place « nous voulons aller vers la création d’un réseau Panafricain foret, regroupant tous et toutes les secrétaires d’Afrique pour être fort. » Dans la foulée, Mme Salimata Bokhoum, présidente de l’association malienne, par ailleurs vice-présidente de Fédération africaine des secrétaires, assistantes et attachées de direction (FASAAD), dénonce l’absence de plan de carrière pour les secrétaires et propose plus de formation et de performance pour des entreprises dignes du nom. « Nous appelons à nos gouvernants respectifs de consacré des fonds à la formation, car c’est un paradoxe de voir les patrons sur des TGV et les secrétaires leurs complices ailleurs ; d’où une conséquence négative sur la productivité des entreprise » Mieux, ces femmes croient fermement à la mise en place de l’Union africaine des secrétaires et assistantes de directions pour relever tous ces défis.
Le Premier ministre Souleyemane Ndéné Ndiaye convaincu que rien ne peut se faire sans les secrétaires « service essentiel de tout dispositif, qui traitent des informations sensibles » plaident en leur valeur pour plus de moyens, d’appui et de formation. Il soutient « leur carence, constituerait la contre performance des entreprises et organismes. C’est pourquoi, il est de devoir d’appuyer ces personnes dévouées, efficaces pour plus de performance. » Une voie à suivre pour « revaloriser cette noble profession et améliorer l’image de marque de l’assistante, élever également les niveaux de conscience professionnelle et connaissances techniques », ajoute, Mme Fatou Diop Sock, la présidente nationale de l’association des assistantes et secrétaires du Sénégal.
Sans taire cette fois ci « les secrets », Mme Sock ne pouvait ne pas informer de l’appui considérable que leur a fait monstre, Me Abdoulaye Wade, président de la république : « M Le Premier ministre soyez notre interprète auprès du Chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, pour lui exprimer notre profonde gratitude et lui montrer que nous avons conscience d’avoir contracté auprès de lui une énorme dette (…) Un intérêt qu’il n’a pas cessé de nous manifester durant la préparation ainsi que l’important appui financier dont il nous a gratifié. »
Ousmane LY