Avec nos confrères de seneweb, l’avocat Me Assane Dioma Ndiaye a voulu apporter des précisions suite à la publication d’un article sur Seneweb, au sujet d’un différend relatif au foncier qui l’oppose au sieur Falilou Diop, un émigré établi en France.
Nos confrères rapportent que Ama Faye, coordonnateur du cabinet de Me Assane Dioma Ndiaye, leur a précisé que « l'avocat a acquis le terrain à la date du 23 avril 2004 et un bail a été constaté par l’Etat le 28 octobre 2016. Et c’est en 2017 que Falilou Diop est venu avec des camions pour construire une villa sur le terrain de Me Assane, on l’a sommé de ne pas construire. On a saisi la Dscos qui l’a sommé d’arrêter les travaux, mais il en a fait fi, explique-t-il.
Ensuite, « On a porté plainte devant le procureur de la république près le Tribunal de grande instance de Mbour. Le procureur a ordonné à la gendarmerie de faire une enquête et a arrêté les travaux La procédure a été annulée pour la violation de l’article 5 de l’Uemoa », insiste-t-il ».
Réaction de El Hadji Falilou Diop
Non seulement l’émigré El Hadji Falilou Diop non seulement dégage en touche ces réponses préfabriquées et envoyées par procuration (comme le Yobaneté galgal en wolof), , une version qu'on veut faire avaler à l'opinion, mais se désole que depuis ce conflit Me Assane Dioma Ndiaye ne s’est jamais présenté en personne durant toutes les procédures (judiciaires comme administratives)
Versant donc dans la réponse par procuration ( le Yobaneté galgal) c’est comme s’il fuyait l’opinion publique car des témoignages peuvent venir des propriétaires réels du terrain qui l’ont vendu à El Hadji Falilou.
Rappel des faits
Pour un rappel de ce litige foncier, Leral avait écrit avec ses quarante-cinq millions de francs CFA durement acquis loin de sa terre natale, investis en toute transparence, avec toute une procédure respectée, risquent d’être floués par ce qui ressemble à la politique de deux poids, deux mesures.
Des Impôts et Domaines au Cadastre, en passant par le ministère de l’Urbanisme, la Mairie de Mbour, cet homme rassuré sur sa régularité, a acquis il y a un peu plus de deux ans, un terrain à 10 millions de francs payés au comptant, en plus des papiers d’actes de vente, 525 000 francs payés aux Impôts et Domaines, une demande bail introduite, 66 600 francs pour la quittance, sans oublier les démarches au niveau de l’Urbanisme pour les taxes et permis de construire s'y ajoutent…
Mieux encore, pour ce terrain clôturé et disposant d’une porte d’entrée, un garage et un potager, il a même mené une enquête au niveau du voisinage, mais la réponse est la même: « ce terrain n’est connu que d’un propriétaire : celui qui le vend ».
Un an après pour la sortie du permis de construire, travaux entamés, arrivé au niveau du chaînage, il demande aux impôts son bail. La réponse est qu’à leur niveau, il dispose d’un avis favorable du Ministère de l’Urbanisme, il ne reste que celui du Cadastre…
Cadastre surgit un léger différend, sur sa demande est mentionnée un superficie de 500 mètres carrés, alors que sur leurs données le terrain est de 400 mètres.
Mais avec l'aide d'un agent, leur erreur est vite repérée : le garage fait partie du terrain. Ainsi, une promesse de rectifier le tir est faite avec celle d'un avis favorable en vue. Pourtant peu après, grande fut sa surprise de les entendre dire à nouveau qu’un certain Me Assane Dioma Ndiaye avait fait une pareille demande, sur le même terrain.
Après ce fut une rencontre avec le chef de service, puis un retour aux Impôts et Domaines, où travaille un des beaux-parents de ce célèbre avocat et ….c’est celui même qui démarche même les papiers de la régularisation pour Me Assane D. Ndiaye, son proche.
En le rencontrant, Falilou Diop était face à une ancienne connaissance. A l’homme qui lui confirme être parent par alliance (Goro) à Me Assane Dioma Ndiaye, il lui apporte des éclaircissements sur son acquisition, lui signifiant même que l’ancien propriétaire est toujours en vie, pour vérification
Puis les travaux furent arrêtés pendant un an six mois, parce que le commandant leur avait signifié que ce terrain appartient à ...Me Assane D. Ndiaye qui dispose d’un bail, donc, il y a conflit.
Aprés l’échec d’une médiation faite par des personnes de bonne volonté, au tribunal, le 2 décembre 2019, l’ensemble de la procédure annulé, lui donnant raison.
Avec ce Jugement et un certificat de non opposition en main, Fafilou reprend ses procédures et des travaux. L’eau et électricité acquises, arrivé au niveau R plus 2, alors qu’il ne lui restait que les finitions, Me Dioma Ndiaye reprend l’assaut, l’assigne au tribunal civil, mais s’absente, l’affaire est renvoyée, puis suspendue pour cause de…COVID-19.
Mais plus grande sera sa surprise de voir encore le célèbre avocat enclencher une autre procédure, faisant descendre les gendarmes avec toujours la de la DSCOS, lui disant qu’ils ont reçu une instruction du procureur, demandant l’arrêt des travaux ! Et en plus souligne Falilou, bizarrement, de A à Z dans tout ce calvaire, même dans les médiations, il ne voit l’ombre de Me Assane Dioma qu’à la télé dans d’autres activités.
Selon El Hadji Falilou Diop, l’affaire, malgré cette sortie jugée déséquilibrée du célèbre avocat, qui selon lui n’éclaire pas la lanterne de l’Opinion publique, est encore pendante devant Dame Justice….
Nos confrères rapportent que Ama Faye, coordonnateur du cabinet de Me Assane Dioma Ndiaye, leur a précisé que « l'avocat a acquis le terrain à la date du 23 avril 2004 et un bail a été constaté par l’Etat le 28 octobre 2016. Et c’est en 2017 que Falilou Diop est venu avec des camions pour construire une villa sur le terrain de Me Assane, on l’a sommé de ne pas construire. On a saisi la Dscos qui l’a sommé d’arrêter les travaux, mais il en a fait fi, explique-t-il.
Ensuite, « On a porté plainte devant le procureur de la république près le Tribunal de grande instance de Mbour. Le procureur a ordonné à la gendarmerie de faire une enquête et a arrêté les travaux La procédure a été annulée pour la violation de l’article 5 de l’Uemoa », insiste-t-il ».
Réaction de El Hadji Falilou Diop
Non seulement l’émigré El Hadji Falilou Diop non seulement dégage en touche ces réponses préfabriquées et envoyées par procuration (comme le Yobaneté galgal en wolof), , une version qu'on veut faire avaler à l'opinion, mais se désole que depuis ce conflit Me Assane Dioma Ndiaye ne s’est jamais présenté en personne durant toutes les procédures (judiciaires comme administratives)
Versant donc dans la réponse par procuration ( le Yobaneté galgal) c’est comme s’il fuyait l’opinion publique car des témoignages peuvent venir des propriétaires réels du terrain qui l’ont vendu à El Hadji Falilou.
Rappel des faits
Pour un rappel de ce litige foncier, Leral avait écrit avec ses quarante-cinq millions de francs CFA durement acquis loin de sa terre natale, investis en toute transparence, avec toute une procédure respectée, risquent d’être floués par ce qui ressemble à la politique de deux poids, deux mesures.
Des Impôts et Domaines au Cadastre, en passant par le ministère de l’Urbanisme, la Mairie de Mbour, cet homme rassuré sur sa régularité, a acquis il y a un peu plus de deux ans, un terrain à 10 millions de francs payés au comptant, en plus des papiers d’actes de vente, 525 000 francs payés aux Impôts et Domaines, une demande bail introduite, 66 600 francs pour la quittance, sans oublier les démarches au niveau de l’Urbanisme pour les taxes et permis de construire s'y ajoutent…
Mieux encore, pour ce terrain clôturé et disposant d’une porte d’entrée, un garage et un potager, il a même mené une enquête au niveau du voisinage, mais la réponse est la même: « ce terrain n’est connu que d’un propriétaire : celui qui le vend ».
Un an après pour la sortie du permis de construire, travaux entamés, arrivé au niveau du chaînage, il demande aux impôts son bail. La réponse est qu’à leur niveau, il dispose d’un avis favorable du Ministère de l’Urbanisme, il ne reste que celui du Cadastre…
Cadastre surgit un léger différend, sur sa demande est mentionnée un superficie de 500 mètres carrés, alors que sur leurs données le terrain est de 400 mètres.
Mais avec l'aide d'un agent, leur erreur est vite repérée : le garage fait partie du terrain. Ainsi, une promesse de rectifier le tir est faite avec celle d'un avis favorable en vue. Pourtant peu après, grande fut sa surprise de les entendre dire à nouveau qu’un certain Me Assane Dioma Ndiaye avait fait une pareille demande, sur le même terrain.
Après ce fut une rencontre avec le chef de service, puis un retour aux Impôts et Domaines, où travaille un des beaux-parents de ce célèbre avocat et ….c’est celui même qui démarche même les papiers de la régularisation pour Me Assane D. Ndiaye, son proche.
En le rencontrant, Falilou Diop était face à une ancienne connaissance. A l’homme qui lui confirme être parent par alliance (Goro) à Me Assane Dioma Ndiaye, il lui apporte des éclaircissements sur son acquisition, lui signifiant même que l’ancien propriétaire est toujours en vie, pour vérification
Puis les travaux furent arrêtés pendant un an six mois, parce que le commandant leur avait signifié que ce terrain appartient à ...Me Assane D. Ndiaye qui dispose d’un bail, donc, il y a conflit.
Aprés l’échec d’une médiation faite par des personnes de bonne volonté, au tribunal, le 2 décembre 2019, l’ensemble de la procédure annulé, lui donnant raison.
Avec ce Jugement et un certificat de non opposition en main, Fafilou reprend ses procédures et des travaux. L’eau et électricité acquises, arrivé au niveau R plus 2, alors qu’il ne lui restait que les finitions, Me Dioma Ndiaye reprend l’assaut, l’assigne au tribunal civil, mais s’absente, l’affaire est renvoyée, puis suspendue pour cause de…COVID-19.
Mais plus grande sera sa surprise de voir encore le célèbre avocat enclencher une autre procédure, faisant descendre les gendarmes avec toujours la de la DSCOS, lui disant qu’ils ont reçu une instruction du procureur, demandant l’arrêt des travaux ! Et en plus souligne Falilou, bizarrement, de A à Z dans tout ce calvaire, même dans les médiations, il ne voit l’ombre de Me Assane Dioma qu’à la télé dans d’autres activités.
Selon El Hadji Falilou Diop, l’affaire, malgré cette sortie jugée déséquilibrée du célèbre avocat, qui selon lui n’éclaire pas la lanterne de l’Opinion publique, est encore pendante devant Dame Justice….