
Selon lui, après autant de mois de détention, les organisations des droits de l’Homme, les Sénégalais épris de justice et une bonne partie de la Société civile doivent réclamer leur libération, car, pense-t-il, « leurs accusations n’ont jusque-là aucune preuve ». Demandant à ce que la Crei soit auditée, il a également descendu en flammes les faucons du Palais qui s’attaquent au Premier ministre, Aminata Touré, car « les urgences sont ailleurs ».