Bien avant que Macky SALL accède à la magistrature suprême, nous avions entendu ou lu, évidemment abasourdis, des Sénégalais rivalisant (intellectuels, journalistes ou modestes citoyens) d’ardeur dans la dissémination dans le pays de messages ambigus, qui ne redorent guère leurs blasons, ni ne contribuent non plus à réinstaurer la démocratie soumise à une rude épreuve, encore moins à recomposer la cohésion durement malmenée, bien que nécessaire, entre toutes les couches socioculturelles. Ces mêmes Sénégalais devraient plutôt focaliser leurs réflexions sur l’essentielle, à savoir le développement économique et social du Sénégal dans son ensemble, et en faveur de tous les Sénégalais.
La campagne électorale, ainsi que l’élection démocratique de Macky SALL à la présidence de la République, ont permis à tous les Sénégalais de bonne foi, mais aussi à tous les étrangers attentifs, de noter l’ampleur des déchirures infligées à la société sénégalaise par le régime démocratiquement défait.
Durant cette campagne électorale, Me Wade, président sortant, selon toute vraisemblance conscient de la caducité de ses ressources, sans doute à court d’arguments crédibles et pertinents, aptes à freiner les déferlements massifs et compacts des populations sénégalaises favorables à Macky SALL, avait jugé utile de changer de fusil d’épaule, en chatouillant les fibres ethniques, espérant ainsi culbuter le cours des choses en sa faveur.
Le Sénégal n’a jamais connu une telle démarche de la part d’un président de la République, élu au suffrage universel, par tous les Sénégalais, de toutes les régions, toutes les couches socioculturelles confondues. Peut-être que cette démarche de Me Wade, était motivée par le désir ardent de conserver le pouvoir afin de passer, sans coup férir, le relais à son fils bien-aimé. Peut-être l’âge avancé (d’aucuns parlaient de 92 ans, y ajoutant la TVA, alors déduite) y était pour quelque chose.
Me Wade n’avait nullement hésité de recouvrir le soutien des Foutanké à Macky SALL d’une couche ethnique, feignant oublier, par la même occasion, que c’est son propre cas, dans son fief de Kébémer, comme c’est le cas de bien d’autres hommes politiques du pays. Etrange que Me Wade ait eu délibérément ignoré une telle réalité. Me Wade, président de la République, ne s’était pas limité à ethniciser sa campagne électorale. Mais, il avait poussé ses boutons plus loin en sermonnant les expatriés-es Foutanké, riches souteneurs déterminés, parce que convaincus, de Macky SALL, qu’ils feraient mieux de réserver leur argent pour le développement de leur région.
Il est évident que cette dernière affirmation de Me Wade constitue un cinglant aveu du non-respect de ses promesses faites alors aux populations de cette région périphérique, d’ailleurs toujours délaissée par les divers pouvoirs qui se sont succédé dans le pays, depuis 1963.
Nous aurions compris Me Wade, voire même encaissé sans ciller ses sermons, s’il les distillait aussi aux riches des autres régions du pays, en particulier à ceux de la sienne. Alors que le développement du Sénégal incombe exclusivement aux pouvoirs publics, bien que ce ne soit nullement exclu, d’ailleurs c’est vivement souhaité, que les populations y apportent leurs contributions. Celui qui connait bien le Sénégal, donc aussi la région de Matam, qui n’est pas animé par de mauvaises intentions, ou freiné par des analyses biaisées, ou par des regards obstrués par des images viciées, sait bien que celle-ci ne vit, ne survit que grâce aux apports de ses fils restés sur place ou expatriés.
Les sorties malheureuses, incompréhensibles, de la part de Me Wade, alors chef de l’Etat, bien que sortant, mais souhaitant rempiler, ont fait tâche d’huile, devenant un puits intarissable où viennent se désaltérer quotidiennement des journalistes, des intellectuels ou des politiques, avec, peut-être, une volonté, non exempte d’arrière pensée, de perpétuer un climat délétère qui ne participe pas à rendre de beaux services à notre pays.
Les apports des Foutanké dans le développement de leur région, embrassent tous les secteurs: sanitaire, scolaire, agricole, hydraulique, pistes rurales, religieux (construction de mosquées). Cela est bien connu des pouvoirs publics, du régime de Wade. Car ce sont ses représentants (gouverneurs, préfets, etc.) dans cette région, qui se bousculent pour inaugurer des œuvres réalisées par les ressortissants de la région. Une participation pareille, au développement local, dans ces dimensions, dans la durée, ne se rencontre qu’au Sénégal oriental, une autre des régions qui n’ont jamais été mises en bonne place sur les tablettes des priorités des pouvoirs publics d’hier.
Il est hors de question pour nous, ressortissants de la région de Matam, d’attendre les promesses faites par Me Wade, partout dans le pays, et qui ne se sont jamais traduites dans les faits concrets.
Ainsi, pour la région de Matam, aucune des promesses de Me Wade n’ont vu le jour. Celles relatives à la construction des ponts reliant la capitale régionale (Matam) à la capitale économique (Ourossogui), la route Linguère-Matam (alors initiée par Macky SALL dans sa veste de Premier Ministre de la République, travaux que Me Wade avait stoppés pour des raisons que nous ignorons), le désenclavement du «Dandé Mayo», l’agriculture, avec la proximité du fleuve Sénégal, l’électrification rurale (des villages entiers sont encore dans l’obscurité), sont restées lettres mortes.
Pourtant, il était plus logique d’aider ceux-là même qui ne se sont jamais limités à revendiquer ou à exiger ou à rappeler l’Etat ses obligations. Eu égard à cette situation inacceptable, entachée même d’un désir ardent de nuire, pour quelle raison les peuples du Fouta ne devraient pas soutenir massivement Macky SALL, qui leur avait quand même donné quelques lueurs d’espérance avec le déclenchement des travaux de la Route Linguère – Matam, et d’autres initiatives prometteuses, que Me Wade a étouffées après le clash que nous connaissons.
C’est ainsi que toute personne de bonne foi, soucieuse d’informer judicieusement ses lecteurs, devrait lire le soutien libre, massif, franc des peuples du Fouta à Macky SALL. Evitant par là d’y déceler des traces à connotations ethniques comme l’affirmait Me Wade, président sortant, et candidat à sa propre succession.
Harouna DIA, un Foutanké sincère, ami de Macky SALL, ne l’a connu qu’en 2007, lors de la campagne électorale qui l’avait mené jusqu’au Burkina Faso; rencontre alors diligentée par Me Wade, qui connaissait Harouna depuis, et bénéficiait également de ses soutiens financiers. Curieux que Me Wade ne disait pas alors à Harouna de réserver ses milliards au développement de sa région, Matam.
Nous n’avions pas donc tort, à l’image d’ailleurs d’autres régions du pays, de soutenir Macky SALL: les travaux de la route Linguère-Matam, la remise en état de la route qui traverse le département de Podor, passant par Matam pour Bakel, sont en cours. Sans parler d’initiatives qui vont toutes, dans le sens du développement économique, social de la région. Aux actions de l’Etat, somme toute logiques, nous y ajoutons, ajouterons, comme toujours, nos contributions. Nous ne regrettons pas donc d’avoir soutenu Macky SALL, et sommes plus que jamais déterminés à lui réitérer nos soutiens, libres et francs.
Harouna DIA, un haut cadre sénégalais, bien éduqué, et formé dans les meilleures écoles, avait servi le Sénégal, avant d’aller chercher fortune ailleurs. Il a bien trouvé cette fortune. Il a amplifié aussi ses compétences, renforcé son expérience, consolidé ses capacités. Il n’a jamais fait mystère là-dessus. Fortune gagnée à la sueur de son front. Fortune qu’il partage avec ses compatriotes longtemps empêtrés dans des besoins les plus élémentaires.
En effet Harouna, comme tant d’autres, n’a pas attendu l’accession de Macky SALL à la magistrature suprême pour apporter ses contributions au développement de sa région. Il a créé des dizaines d’emplois pour des familles désemparées, pour des jeunes, désormais débarrassés de l’idée de défier les océans pour aller à la recherche d’une existence plus digne.
Le soutien des Foutanké à Macky SALL est massif et de toute nature. Des échanges-conseils, des suggestions, mais aussi de l’argent, beaucoup d’argent, librement, gratuitement mis à sa disposition. Ce n’est pas une nouveauté au Sénégal qu’un candidat à la magistrature suprême bénéficie de soutiens. Ce n’est pas également une exclusivité sénégalaise. Des pays, exemples de démocratie, de liberté, en font de même. De la France aux USA. Dans ces pays, les donateurs sont dans l’obligation de décliner leur identité et les montants consentis. Il n’y a rien à cacher, car il n’y a aucun mal de soutenir un candidat qui incarne les mêmes idées, programmes, projets, orientations.
Harouna DIA, comme tant d’autres Sénégalais, ne s’est pas retranché dans l’anonymat, pour apporter à Macky SALL son soutien, qui n’était pas exclusivement financiers. Pourquoi donc devrait-il mettre fin à son soutien à Macky SALL au moment où celui-ci est arrivé au pouvoir, et a certainement besoin d’idées fécondes, d’actions patriotiques pour conduire le Sénégal sur «LE CHEMIN DU VERITABLE DEVELOPPEMENT, que tous les Sénégalais appellent de leurs vœux? Harouna DIA continue donc de conseiller, de suggérer, de proposer, d’agir concrètement comme il faisait avant, à la demande de Macky SALL, devenu entretemps, le Président de tous les Sénégalais.
Pourquoi y voir autre chose qu’une continuité dans le changement pour un Sénégal meilleur? Ce qui devrait aiguiser les curiosités, ou déclencher des clameurs, ce sont bien ces souteneurs de candidats, tapis dans l’ombre, et s’activant en permanence pour ne jamais apparaitre au grand public.
Beaucoup de bruit pour rien.
Dans la situation actuelle, priver le Sénégal des apports de ses fils qui ont démontré ailleurs leurs valeurs, nous semble être une faute que des patriotes sincères devraient absolument éviter de commettre.
C’est bien d’être ambitieux. Mais c’est encore mieux d’avoir les moyens licites de ses propres ambitions.
«Péripéties que tout cela, mais qui n’ont que trop duré. La réforme, oui, la chienlit, non! Il faut que cela se sache». (De Gaulle).
Demba Dieng (Suisse)
Email :demba.dieng@ti.ch
La campagne électorale, ainsi que l’élection démocratique de Macky SALL à la présidence de la République, ont permis à tous les Sénégalais de bonne foi, mais aussi à tous les étrangers attentifs, de noter l’ampleur des déchirures infligées à la société sénégalaise par le régime démocratiquement défait.
Durant cette campagne électorale, Me Wade, président sortant, selon toute vraisemblance conscient de la caducité de ses ressources, sans doute à court d’arguments crédibles et pertinents, aptes à freiner les déferlements massifs et compacts des populations sénégalaises favorables à Macky SALL, avait jugé utile de changer de fusil d’épaule, en chatouillant les fibres ethniques, espérant ainsi culbuter le cours des choses en sa faveur.
Le Sénégal n’a jamais connu une telle démarche de la part d’un président de la République, élu au suffrage universel, par tous les Sénégalais, de toutes les régions, toutes les couches socioculturelles confondues. Peut-être que cette démarche de Me Wade, était motivée par le désir ardent de conserver le pouvoir afin de passer, sans coup férir, le relais à son fils bien-aimé. Peut-être l’âge avancé (d’aucuns parlaient de 92 ans, y ajoutant la TVA, alors déduite) y était pour quelque chose.
Me Wade n’avait nullement hésité de recouvrir le soutien des Foutanké à Macky SALL d’une couche ethnique, feignant oublier, par la même occasion, que c’est son propre cas, dans son fief de Kébémer, comme c’est le cas de bien d’autres hommes politiques du pays. Etrange que Me Wade ait eu délibérément ignoré une telle réalité. Me Wade, président de la République, ne s’était pas limité à ethniciser sa campagne électorale. Mais, il avait poussé ses boutons plus loin en sermonnant les expatriés-es Foutanké, riches souteneurs déterminés, parce que convaincus, de Macky SALL, qu’ils feraient mieux de réserver leur argent pour le développement de leur région.
Il est évident que cette dernière affirmation de Me Wade constitue un cinglant aveu du non-respect de ses promesses faites alors aux populations de cette région périphérique, d’ailleurs toujours délaissée par les divers pouvoirs qui se sont succédé dans le pays, depuis 1963.
Nous aurions compris Me Wade, voire même encaissé sans ciller ses sermons, s’il les distillait aussi aux riches des autres régions du pays, en particulier à ceux de la sienne. Alors que le développement du Sénégal incombe exclusivement aux pouvoirs publics, bien que ce ne soit nullement exclu, d’ailleurs c’est vivement souhaité, que les populations y apportent leurs contributions. Celui qui connait bien le Sénégal, donc aussi la région de Matam, qui n’est pas animé par de mauvaises intentions, ou freiné par des analyses biaisées, ou par des regards obstrués par des images viciées, sait bien que celle-ci ne vit, ne survit que grâce aux apports de ses fils restés sur place ou expatriés.
Les sorties malheureuses, incompréhensibles, de la part de Me Wade, alors chef de l’Etat, bien que sortant, mais souhaitant rempiler, ont fait tâche d’huile, devenant un puits intarissable où viennent se désaltérer quotidiennement des journalistes, des intellectuels ou des politiques, avec, peut-être, une volonté, non exempte d’arrière pensée, de perpétuer un climat délétère qui ne participe pas à rendre de beaux services à notre pays.
Les apports des Foutanké dans le développement de leur région, embrassent tous les secteurs: sanitaire, scolaire, agricole, hydraulique, pistes rurales, religieux (construction de mosquées). Cela est bien connu des pouvoirs publics, du régime de Wade. Car ce sont ses représentants (gouverneurs, préfets, etc.) dans cette région, qui se bousculent pour inaugurer des œuvres réalisées par les ressortissants de la région. Une participation pareille, au développement local, dans ces dimensions, dans la durée, ne se rencontre qu’au Sénégal oriental, une autre des régions qui n’ont jamais été mises en bonne place sur les tablettes des priorités des pouvoirs publics d’hier.
Il est hors de question pour nous, ressortissants de la région de Matam, d’attendre les promesses faites par Me Wade, partout dans le pays, et qui ne se sont jamais traduites dans les faits concrets.
Ainsi, pour la région de Matam, aucune des promesses de Me Wade n’ont vu le jour. Celles relatives à la construction des ponts reliant la capitale régionale (Matam) à la capitale économique (Ourossogui), la route Linguère-Matam (alors initiée par Macky SALL dans sa veste de Premier Ministre de la République, travaux que Me Wade avait stoppés pour des raisons que nous ignorons), le désenclavement du «Dandé Mayo», l’agriculture, avec la proximité du fleuve Sénégal, l’électrification rurale (des villages entiers sont encore dans l’obscurité), sont restées lettres mortes.
Pourtant, il était plus logique d’aider ceux-là même qui ne se sont jamais limités à revendiquer ou à exiger ou à rappeler l’Etat ses obligations. Eu égard à cette situation inacceptable, entachée même d’un désir ardent de nuire, pour quelle raison les peuples du Fouta ne devraient pas soutenir massivement Macky SALL, qui leur avait quand même donné quelques lueurs d’espérance avec le déclenchement des travaux de la Route Linguère – Matam, et d’autres initiatives prometteuses, que Me Wade a étouffées après le clash que nous connaissons.
C’est ainsi que toute personne de bonne foi, soucieuse d’informer judicieusement ses lecteurs, devrait lire le soutien libre, massif, franc des peuples du Fouta à Macky SALL. Evitant par là d’y déceler des traces à connotations ethniques comme l’affirmait Me Wade, président sortant, et candidat à sa propre succession.
Harouna DIA, un Foutanké sincère, ami de Macky SALL, ne l’a connu qu’en 2007, lors de la campagne électorale qui l’avait mené jusqu’au Burkina Faso; rencontre alors diligentée par Me Wade, qui connaissait Harouna depuis, et bénéficiait également de ses soutiens financiers. Curieux que Me Wade ne disait pas alors à Harouna de réserver ses milliards au développement de sa région, Matam.
Nous n’avions pas donc tort, à l’image d’ailleurs d’autres régions du pays, de soutenir Macky SALL: les travaux de la route Linguère-Matam, la remise en état de la route qui traverse le département de Podor, passant par Matam pour Bakel, sont en cours. Sans parler d’initiatives qui vont toutes, dans le sens du développement économique, social de la région. Aux actions de l’Etat, somme toute logiques, nous y ajoutons, ajouterons, comme toujours, nos contributions. Nous ne regrettons pas donc d’avoir soutenu Macky SALL, et sommes plus que jamais déterminés à lui réitérer nos soutiens, libres et francs.
Harouna DIA, un haut cadre sénégalais, bien éduqué, et formé dans les meilleures écoles, avait servi le Sénégal, avant d’aller chercher fortune ailleurs. Il a bien trouvé cette fortune. Il a amplifié aussi ses compétences, renforcé son expérience, consolidé ses capacités. Il n’a jamais fait mystère là-dessus. Fortune gagnée à la sueur de son front. Fortune qu’il partage avec ses compatriotes longtemps empêtrés dans des besoins les plus élémentaires.
En effet Harouna, comme tant d’autres, n’a pas attendu l’accession de Macky SALL à la magistrature suprême pour apporter ses contributions au développement de sa région. Il a créé des dizaines d’emplois pour des familles désemparées, pour des jeunes, désormais débarrassés de l’idée de défier les océans pour aller à la recherche d’une existence plus digne.
Le soutien des Foutanké à Macky SALL est massif et de toute nature. Des échanges-conseils, des suggestions, mais aussi de l’argent, beaucoup d’argent, librement, gratuitement mis à sa disposition. Ce n’est pas une nouveauté au Sénégal qu’un candidat à la magistrature suprême bénéficie de soutiens. Ce n’est pas également une exclusivité sénégalaise. Des pays, exemples de démocratie, de liberté, en font de même. De la France aux USA. Dans ces pays, les donateurs sont dans l’obligation de décliner leur identité et les montants consentis. Il n’y a rien à cacher, car il n’y a aucun mal de soutenir un candidat qui incarne les mêmes idées, programmes, projets, orientations.
Harouna DIA, comme tant d’autres Sénégalais, ne s’est pas retranché dans l’anonymat, pour apporter à Macky SALL son soutien, qui n’était pas exclusivement financiers. Pourquoi donc devrait-il mettre fin à son soutien à Macky SALL au moment où celui-ci est arrivé au pouvoir, et a certainement besoin d’idées fécondes, d’actions patriotiques pour conduire le Sénégal sur «LE CHEMIN DU VERITABLE DEVELOPPEMENT, que tous les Sénégalais appellent de leurs vœux? Harouna DIA continue donc de conseiller, de suggérer, de proposer, d’agir concrètement comme il faisait avant, à la demande de Macky SALL, devenu entretemps, le Président de tous les Sénégalais.
Pourquoi y voir autre chose qu’une continuité dans le changement pour un Sénégal meilleur? Ce qui devrait aiguiser les curiosités, ou déclencher des clameurs, ce sont bien ces souteneurs de candidats, tapis dans l’ombre, et s’activant en permanence pour ne jamais apparaitre au grand public.
Beaucoup de bruit pour rien.
Dans la situation actuelle, priver le Sénégal des apports de ses fils qui ont démontré ailleurs leurs valeurs, nous semble être une faute que des patriotes sincères devraient absolument éviter de commettre.
C’est bien d’être ambitieux. Mais c’est encore mieux d’avoir les moyens licites de ses propres ambitions.
«Péripéties que tout cela, mais qui n’ont que trop duré. La réforme, oui, la chienlit, non! Il faut que cela se sache». (De Gaulle).
Demba Dieng (Suisse)
Email :demba.dieng@ti.ch