Cet homme n’est pas crédible. Même les oiseaux le chantonnent dans tous les arbres. L’homme qu’il a chargé de vous contacter l’est encore moins. Par les temps qui courent, vous devriez avoir d’autres préoccupations que de dissoudre votre temps précieux dans des discussions longues, stériles et sans lendemain avec le politicien Wade. Il veut encore, comme il y a souvent réussi à certains tournants historiques de notre pays, jeter la suspicion, le doute, le discrédit sur certains d’entre vous. Il veut vous mettre encore en mal avec le peuple.
Cet homme ne peut avoir d’autres préoccupations que de rester au pouvoir jusqu’en 2012 et de le transmettre par tous les moyens à son fils. Vous avez, du moins vous devez avoir une autre préoccupation : vous préparer à l’élection cruciale de février 2012. Voilà le vrai enjeu pour vous tous. Vous devriez vous y investir à fond, jour et nuit. Vous devriez être prêts à tout y sacrifier.
Douze ans avec Me Wade, c’est déjà trop pour notre pays. Sept autres années avec son fils biologique ou son fils « d’emprunt », c’est la pire des catastrophes qui puisse nous arriver. Ce serait le chaos pour tout le pays, ce serait la fin de vos partis respectifs. Le peuple ne vous pardonnerait jamais un tel scénario.
N’accordez aucun crédit à cet autre appel de Wade ! Des tâches beaucoup plus importantes vous attendent, des tâches dont certains avancent déjà avec malice qu’elles seront difficiles à réaliser. En effet, nombre de nos adversaires se frottent déjà les mains et proclament sous tous les toits que vous n’arriverez jamais à vous entendre et que vous irez à la prochaine élection présidentielle en ordre dispersé. Au grand bonheur de ceux de l’autre côté de la barrière, qui sont en train de tout mettre en œuvre pour réunir tout leur camp sur un même front.
Les élections locales du 22 mars 2009 au Sénégal et les toutes récentes élections européennes en France, devraient vous convaincre que votre seule chance et, partant, celle du peuple sénégalais tout entier, se trouve dans votre unité, dans un « Front républicain » fort, qui ne laisserait aucune chance à l’homme qui a détruit notre pays. L’Ump, formant un seul camp, est sorti grand vainqueur de ces élections, tandis que la Gauche émiettée s’est retrouvée avec des scores médiocres, aussi bien pour le Parti socialiste que pour ses autres composantes. On pourrait me rétorquer, évidemment, qu’il ne s’agit pas d’une élection présidentielle. Certes ! Cependant, l’unité a montré ici ses avantages et la division ses limites.
Le « Front républicain » auquel je rêve pourrait bien porter un projet national bâti à partir des conclusions des Assises nationales. Il n’y a aucun doute que la majorité de nos compatriotes s’y reconnaîtraient.
Il convient de mettre en garde contre un autre danger, un autre serpent venimeux : Karim Wade, le fils de son père. Ne prenez pas l’habitude de vous afficher avec lui. Il est aussi compromettant que son père. Quel que soit le visage qu’il vous montrera, ne vous laissez pas abuser : sa seule préoccupation, c’est de remplacer son père et de lui couvrir ses arrières, en même temps que ses arrières à lui, et de faire d’une pierre deux coups.
Un dialogue ou un rapprochement avec Wade père et Wade fils n’est d’aucune utilité pour le pays. Ces deux compères ne sont ni crédibles ni sincères. Laissez-les poursuivre leur chemin tortueux !
Ne soyez pas de ceux disent trop facilement à propos Karim : il perd son temps, il ne sera jamais élu président de la République. Attention ! De la vigilance, encore de la vigilance, toujours de la vigilance ! Ce garçon forme avec son père une belle équipe qui a mille tours dans son sac. Ils sont riches comme Crésus et vont le devenir encore plus d’ici à 2012. A cet égard, le fils occupe une station idéale, taillée vraiment sur mesure : cinq départements ministériels en un seul et l’exclusivité de la Coopération avec les pays du Sud, moins regardants vis-à-vis de certaines procédures et surtout particulièrement généreux. L’expérience a certes montré que l’argent n’est pas toujours déterminant dans le vote des Sénégalais mais attention : de l’argent, ils en ont et en auront encore beaucoup plus d’ici à 2012. Sans compter qu’ils ne reculeront devant rien. Ils l’ont prouvé et le prouvent à suffisance chaque jour un peu plus.
Bu ma kenn dëkkël fu ma dëkkul ! En d’autres termes, de grâce, que personne ne me situe dans un camp ou dans un autre ! Mon seul camp est le Sénégal. En outre, je ne suis candidat à rien : ni à un portefeuille ministériel, ni à un poste de député, ni à un autre poste que ce soit. Dans notre pays, il y a suffisamment de candidats à ces stations. La seule préoccupation qui m’habite, la seule vraiment, aujourd’hui comme demain, c’est de contribuer, même modestement, à débarrasser notre pays des Wade, de leur immonde gouvernance et de la meute de prédateurs qui gravitent et grenouillent autour d’eux.
Avec mes sentiments profondément citoyens et patriotiques !
Nb : je ne connais pas l’adresse électronique de tous les membres de Benno Siggil Senegaal. Je serais donc reconnaissant à tous ceux qui m’aideraient à diffuser le plus largement ce texte.
Cet homme ne peut avoir d’autres préoccupations que de rester au pouvoir jusqu’en 2012 et de le transmettre par tous les moyens à son fils. Vous avez, du moins vous devez avoir une autre préoccupation : vous préparer à l’élection cruciale de février 2012. Voilà le vrai enjeu pour vous tous. Vous devriez vous y investir à fond, jour et nuit. Vous devriez être prêts à tout y sacrifier.
Douze ans avec Me Wade, c’est déjà trop pour notre pays. Sept autres années avec son fils biologique ou son fils « d’emprunt », c’est la pire des catastrophes qui puisse nous arriver. Ce serait le chaos pour tout le pays, ce serait la fin de vos partis respectifs. Le peuple ne vous pardonnerait jamais un tel scénario.
N’accordez aucun crédit à cet autre appel de Wade ! Des tâches beaucoup plus importantes vous attendent, des tâches dont certains avancent déjà avec malice qu’elles seront difficiles à réaliser. En effet, nombre de nos adversaires se frottent déjà les mains et proclament sous tous les toits que vous n’arriverez jamais à vous entendre et que vous irez à la prochaine élection présidentielle en ordre dispersé. Au grand bonheur de ceux de l’autre côté de la barrière, qui sont en train de tout mettre en œuvre pour réunir tout leur camp sur un même front.
Les élections locales du 22 mars 2009 au Sénégal et les toutes récentes élections européennes en France, devraient vous convaincre que votre seule chance et, partant, celle du peuple sénégalais tout entier, se trouve dans votre unité, dans un « Front républicain » fort, qui ne laisserait aucune chance à l’homme qui a détruit notre pays. L’Ump, formant un seul camp, est sorti grand vainqueur de ces élections, tandis que la Gauche émiettée s’est retrouvée avec des scores médiocres, aussi bien pour le Parti socialiste que pour ses autres composantes. On pourrait me rétorquer, évidemment, qu’il ne s’agit pas d’une élection présidentielle. Certes ! Cependant, l’unité a montré ici ses avantages et la division ses limites.
Le « Front républicain » auquel je rêve pourrait bien porter un projet national bâti à partir des conclusions des Assises nationales. Il n’y a aucun doute que la majorité de nos compatriotes s’y reconnaîtraient.
Il convient de mettre en garde contre un autre danger, un autre serpent venimeux : Karim Wade, le fils de son père. Ne prenez pas l’habitude de vous afficher avec lui. Il est aussi compromettant que son père. Quel que soit le visage qu’il vous montrera, ne vous laissez pas abuser : sa seule préoccupation, c’est de remplacer son père et de lui couvrir ses arrières, en même temps que ses arrières à lui, et de faire d’une pierre deux coups.
Un dialogue ou un rapprochement avec Wade père et Wade fils n’est d’aucune utilité pour le pays. Ces deux compères ne sont ni crédibles ni sincères. Laissez-les poursuivre leur chemin tortueux !
Ne soyez pas de ceux disent trop facilement à propos Karim : il perd son temps, il ne sera jamais élu président de la République. Attention ! De la vigilance, encore de la vigilance, toujours de la vigilance ! Ce garçon forme avec son père une belle équipe qui a mille tours dans son sac. Ils sont riches comme Crésus et vont le devenir encore plus d’ici à 2012. A cet égard, le fils occupe une station idéale, taillée vraiment sur mesure : cinq départements ministériels en un seul et l’exclusivité de la Coopération avec les pays du Sud, moins regardants vis-à-vis de certaines procédures et surtout particulièrement généreux. L’expérience a certes montré que l’argent n’est pas toujours déterminant dans le vote des Sénégalais mais attention : de l’argent, ils en ont et en auront encore beaucoup plus d’ici à 2012. Sans compter qu’ils ne reculeront devant rien. Ils l’ont prouvé et le prouvent à suffisance chaque jour un peu plus.
Bu ma kenn dëkkël fu ma dëkkul ! En d’autres termes, de grâce, que personne ne me situe dans un camp ou dans un autre ! Mon seul camp est le Sénégal. En outre, je ne suis candidat à rien : ni à un portefeuille ministériel, ni à un poste de député, ni à un autre poste que ce soit. Dans notre pays, il y a suffisamment de candidats à ces stations. La seule préoccupation qui m’habite, la seule vraiment, aujourd’hui comme demain, c’est de contribuer, même modestement, à débarrasser notre pays des Wade, de leur immonde gouvernance et de la meute de prédateurs qui gravitent et grenouillent autour d’eux.
Avec mes sentiments profondément citoyens et patriotiques !
Nb : je ne connais pas l’adresse électronique de tous les membres de Benno Siggil Senegaal. Je serais donc reconnaissant à tous ceux qui m’aideraient à diffuser le plus largement ce texte.