L’enquête porte notamment sur la distribution de plus de 500 transferts d'Orange money, offerts par l’État, pour soulager les acteurs du secteur culturel durement touchés par la crise sanitaire.
Durant cette période, l’Omart était présidé par Abdoulaye Mamadou Guissé, figure connue du monde artistique sénégalais. L’organisation, qui regroupe toutes les disciplines artistiques et littéraires, avait pour mission de veiller à une distribution équitable et efficace des aides reçues.
C’est dans ce contexte que Tange Tandian s’est présenté aujourd’hui, documents à l’appui, afin de fournir toutes les preuves de traçabilité et de transparence dans la gestion des ressources qui ont transité par l’Omart. Selon son entourage, il entend coopérer pleinement avec les autorités, pour dissiper tout malentendu.
Pour rappel, l’Omart Sénégal se positionne comme une structure d’alerte, de veille, de suivi et d’évaluation, œuvrant pour un secteur culturel fort, structuré et respectueux des droits des créateurs. Elle se veut également un rempart contre l’exploitation abusive des artistes et un acteur clé dans la sauvegarde du patrimoine culturel africain.
L’enquête suit son cours afin de faire toute la lumière sur l’utilisation des fonds et établir les responsabilités éventuelles.
Durant cette période, l’Omart était présidé par Abdoulaye Mamadou Guissé, figure connue du monde artistique sénégalais. L’organisation, qui regroupe toutes les disciplines artistiques et littéraires, avait pour mission de veiller à une distribution équitable et efficace des aides reçues.
C’est dans ce contexte que Tange Tandian s’est présenté aujourd’hui, documents à l’appui, afin de fournir toutes les preuves de traçabilité et de transparence dans la gestion des ressources qui ont transité par l’Omart. Selon son entourage, il entend coopérer pleinement avec les autorités, pour dissiper tout malentendu.
Pour rappel, l’Omart Sénégal se positionne comme une structure d’alerte, de veille, de suivi et d’évaluation, œuvrant pour un secteur culturel fort, structuré et respectueux des droits des créateurs. Elle se veut également un rempart contre l’exploitation abusive des artistes et un acteur clé dans la sauvegarde du patrimoine culturel africain.
L’enquête suit son cours afin de faire toute la lumière sur l’utilisation des fonds et établir les responsabilités éventuelles.