C'est à plus de 90 kilomètres de Nouakchott que le groupe de touristes italiens a été intercepté. Le matin même, ils séjournaient encore dans un hôtel de la capitale, où ils devaient attendre pour être placés en confinement.
Depuis février, les autorités sanitaires ont mis en place des procédures de précaution. Les voyageurs en provenance de pays à risques doivent être placés à l'isolement, une quinzaine de jours. Or, l'Italie a enregistré plus de 3 000 cas et plus d'une centaine de décès.
Arrivés à l'aéroport de Nouakchott, les touristes italiens affirment ne pas être au courant de ces mesures sanitaires. Ils acceptent d'abord le confinement, puis prennent la tangente le lendemain matin, avec leur guide, en direction de l'Atar, dans le nord du pays, pour continuer leur périple touristique.
« Ils ont tenté le coup, explique bon joueur, Abdelkader ould Ahmed, porte-parole du ministère de la Santé. Mais la Mauritanie applique le même protocole que la plupart des pays du monde. Il n'y a pas de raison de s'y soustraire ». Raccompagnés à leur hôtel, les touristes italiens ont préféré être renvoyés chez eux, plutôt que d'attendre la fin du confinement.
RFI
Depuis février, les autorités sanitaires ont mis en place des procédures de précaution. Les voyageurs en provenance de pays à risques doivent être placés à l'isolement, une quinzaine de jours. Or, l'Italie a enregistré plus de 3 000 cas et plus d'une centaine de décès.
Arrivés à l'aéroport de Nouakchott, les touristes italiens affirment ne pas être au courant de ces mesures sanitaires. Ils acceptent d'abord le confinement, puis prennent la tangente le lendemain matin, avec leur guide, en direction de l'Atar, dans le nord du pays, pour continuer leur périple touristique.
« Ils ont tenté le coup, explique bon joueur, Abdelkader ould Ahmed, porte-parole du ministère de la Santé. Mais la Mauritanie applique le même protocole que la plupart des pays du monde. Il n'y a pas de raison de s'y soustraire ». Raccompagnés à leur hôtel, les touristes italiens ont préféré être renvoyés chez eux, plutôt que d'attendre la fin du confinement.
RFI