L’homme de 39 ans est décédé d’un arrêt cardiaque, ce mardi matin. C’était le « cas numéro 13 » à Hong Kong, qui compte pour le moment 15 patients confirmés. Il s’était rendu à Wuhan le 21 janvier et était revenu à Hong Kong deux jours plus tard en empruntant le train rapide, mode de transport par lequel la plupart des gens contaminés sont arrivés à Hong Kong.
Dès son hospitalisation, le 31 janvier, lorsque la fièvre est apparue, les autorités sanitaires avaient indiqué que le patient était déjà fragilisé par d’autres problèmes de santé. Sa mère, qui n’avait pas voyagé en Chine, est également tombée malade.
Il pourrait être l’une des premières victimes d’une transmission d’homme à homme, dans la région administrative spéciale de Hong Kong.
Ce premier mort du nouveau coronavirus intervient alors que les personnels hospitaliers entament une deuxième journée de grève ce mardi 4 février pour réclamer une fermeture totale des frontières. Lundi, 2 700 employés des hôpitaux publics, parmi lesquels 300 médecins et infirmiers, ont participé au mouvement.
Ils pourraient être 9 000 aujourd’hui. Leur syndicat affirme que les 70 000 personnes qui continuent tous les jours de passer la frontière avec la Chine augmentent le risque de contamination des Hongkongais.
Dès son hospitalisation, le 31 janvier, lorsque la fièvre est apparue, les autorités sanitaires avaient indiqué que le patient était déjà fragilisé par d’autres problèmes de santé. Sa mère, qui n’avait pas voyagé en Chine, est également tombée malade.
Il pourrait être l’une des premières victimes d’une transmission d’homme à homme, dans la région administrative spéciale de Hong Kong.
Ce premier mort du nouveau coronavirus intervient alors que les personnels hospitaliers entament une deuxième journée de grève ce mardi 4 février pour réclamer une fermeture totale des frontières. Lundi, 2 700 employés des hôpitaux publics, parmi lesquels 300 médecins et infirmiers, ont participé au mouvement.
Ils pourraient être 9 000 aujourd’hui. Leur syndicat affirme que les 70 000 personnes qui continuent tous les jours de passer la frontière avec la Chine augmentent le risque de contamination des Hongkongais.