Quelques cas ont été détectés hors de Chine, notamment en France ou aux États-Unis, mais aucun cas n'a été signalé en Afrique où des mesures de surveillance et de prévention ont été mises en place.
Ainsi, tous les aéroports internationaux d'Afrique où atterrissent des vols en provenance de Chine ont été placés sous surveillance cette semaine. Au Kenya, en Éthiopie, en Afrique du Sud, au Ghana, au Sénégal et ailleurs, comme partout dans le monde, les débarquements sont encadrés, conformément aux recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Des salles de quarantaine sont prévues pour les cas suspects et des hôpitaux sont préparés pour recevoir d'éventuels patients.
À l'aéroport de Lagos, au Nigeria, comme à l'aéroport de Nairobi, au Kenya, les passagers en provenance d'Asie sont questionnés sur leurs déplacements, leurs rencontres avec des personnes qui auraient pu être exposées à la maladie ou encore sur leurs symptômes éventuels.
A l'aéroport Bole, d'Addis-Abeba, en Éthiopie, tout le monde est « screené », c'est-à-dire que l’on prend la température des gens qui débarquent.
RFI
Ainsi, tous les aéroports internationaux d'Afrique où atterrissent des vols en provenance de Chine ont été placés sous surveillance cette semaine. Au Kenya, en Éthiopie, en Afrique du Sud, au Ghana, au Sénégal et ailleurs, comme partout dans le monde, les débarquements sont encadrés, conformément aux recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Des salles de quarantaine sont prévues pour les cas suspects et des hôpitaux sont préparés pour recevoir d'éventuels patients.
À l'aéroport de Lagos, au Nigeria, comme à l'aéroport de Nairobi, au Kenya, les passagers en provenance d'Asie sont questionnés sur leurs déplacements, leurs rencontres avec des personnes qui auraient pu être exposées à la maladie ou encore sur leurs symptômes éventuels.
A l'aéroport Bole, d'Addis-Abeba, en Éthiopie, tout le monde est « screené », c'est-à-dire que l’on prend la température des gens qui débarquent.
RFI