"C’est impossible que ce virus vienne de chez nous", a déclaré dans une interview à la chaîne étatique CGTN, Yuan Zhiming, directeur de l’Institut de virologie de Wuhan, ville épicentre de la pandémie.
Selon la plupart des scientifiques, le nouveau coronavirus a probablement été transmis à l’homme par un animal. Un marché de la ville de Wuhan a été incriminé, car il aurait vendu des animaux sauvages vivants.
Mais la présence à quelques kilomètres de là, de cet Institut de virologie, alimente depuis des mois les hypothèses d’une fuite depuis ces installations sensibles.
"Les gens ne peuvent pas s’empêcher de faire des associations"
"Nous savons clairement quels types de recherches sont menées à l’institut et comment sont gérés virus et échantillons", a ajouté le directeur de cet institut possédant un laboratoire P4, installation de très haute sécurité qui héberge les souches les plus dangereuses des virus connus comme Ebola.
Par la simple localisation de l’institut à Wuhan, "les gens ne peuvent pas s’empêcher de faire des associations", a-t-il déploré, accusant des médias qui "essayent délibérément de tromper les gens" avec des informations "entièrement basées sur des spéculations", sans "preuves".
Selon le "Washington Post", l’ambassade des Etats-Unis à Pékin, après plusieurs visites à l’institut, a alerté en 2018, les autorités américaines sur des mesures de sécurité apparemment insuffisantes dans un laboratoire qui étudiait les coronavirus issus de chauves-souris.
rtbf.be
Selon la plupart des scientifiques, le nouveau coronavirus a probablement été transmis à l’homme par un animal. Un marché de la ville de Wuhan a été incriminé, car il aurait vendu des animaux sauvages vivants.
Mais la présence à quelques kilomètres de là, de cet Institut de virologie, alimente depuis des mois les hypothèses d’une fuite depuis ces installations sensibles.
"Les gens ne peuvent pas s’empêcher de faire des associations"
"Nous savons clairement quels types de recherches sont menées à l’institut et comment sont gérés virus et échantillons", a ajouté le directeur de cet institut possédant un laboratoire P4, installation de très haute sécurité qui héberge les souches les plus dangereuses des virus connus comme Ebola.
Par la simple localisation de l’institut à Wuhan, "les gens ne peuvent pas s’empêcher de faire des associations", a-t-il déploré, accusant des médias qui "essayent délibérément de tromper les gens" avec des informations "entièrement basées sur des spéculations", sans "preuves".
Selon le "Washington Post", l’ambassade des Etats-Unis à Pékin, après plusieurs visites à l’institut, a alerté en 2018, les autorités américaines sur des mesures de sécurité apparemment insuffisantes dans un laboratoire qui étudiait les coronavirus issus de chauves-souris.
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