
Au Costa-Rica, une ministre a été contrainte de démissionner après la diffusion d’une vidéo sexy la mettant en scène.
Son nom ne vous dira certainement rien, mais Karina Bolanos est, depuis 2006, la ministre de la Culture et de la jeunesse, et vice-Premier ministre du Costa-Rica.
Ou du moins était, avant le scandale qui vient de lui faire perdre ses hautes responsabilités. En effet, une vidéo très compromettante mettant en scène la politicienne sur son lit, dans une tenue des plus légères, est sortie sur le web.
Dans ce clip de quelques secondes, tourné en 2007, la quadragénaire est donc à moitié nue, et semble déclarer sa flamme à un homme, en prenant le soin de mettre son avantageuse poitrine en évidence.
Aujourd’hui, elle estime avoir été piratée par un technicien qu’elle avait engagé pour placer des caméras de surveillance chez elle, mais ne disposant d’aucune preuve, a du accepter de remettre sa démission au gouvernement, en s’excusant « auprès du peuple du Costa Rica et en particulier auprès des jeunes », ajoutant tout de même qu’elle ne se sentait « pas gênée », estimant n’avoir "commis aucun crime".
Son nom ne vous dira certainement rien, mais Karina Bolanos est, depuis 2006, la ministre de la Culture et de la jeunesse, et vice-Premier ministre du Costa-Rica.
Ou du moins était, avant le scandale qui vient de lui faire perdre ses hautes responsabilités. En effet, une vidéo très compromettante mettant en scène la politicienne sur son lit, dans une tenue des plus légères, est sortie sur le web.
Dans ce clip de quelques secondes, tourné en 2007, la quadragénaire est donc à moitié nue, et semble déclarer sa flamme à un homme, en prenant le soin de mettre son avantageuse poitrine en évidence.
Aujourd’hui, elle estime avoir été piratée par un technicien qu’elle avait engagé pour placer des caméras de surveillance chez elle, mais ne disposant d’aucune preuve, a du accepter de remettre sa démission au gouvernement, en s’excusant « auprès du peuple du Costa Rica et en particulier auprès des jeunes », ajoutant tout de même qu’elle ne se sentait « pas gênée », estimant n’avoir "commis aucun crime".