« La Côte d’Ivoire nous invite à prendre un chemin différent. Je vous invite à prendre ce chemin avec moi. J’ai décidé de me porter candidat à la prochaine présidentielle. Je veux être le trait d’union entre tous les Ivoiriens. » C’est par ces quelques mots que Marcel-Amon-Tanoh a annoncé officiellement sa candidature à la présidentielle d’octobre prochain, lors d’une conférence de presse qui s’est tenue à Abidjan ce mercredi. « J’ai une vision pour mon pays. J’ai un programme pour mon pays », a-t-il par ailleurs affirmé.
Rupture avec Ouattara
Ancien ministre des Affaires étrangères, il avait choisi de rompre avec Alassane Ouattara en mars dernier, après la désignation, le 12 mars, d’Amadou Gon Coulibaly comme candidat du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) lors d’une cérémonie qu’il avait boycottée.
Lundi, Marcel Amon-Tanoh avait interpellé directement le président Alassane Ouattara dans un message sur les réseaux sociaux, au lendemain de l’hommage national dédié à Amadou Gon Coulibaly, décédé le 8 juillet. « Sur le plan politique, le contexte actuel est marqué par un vide constitutionnel qui ne doit pas perdurer », y écrivait notamment Amon-Tanoh, jugeant par ailleurs que « le débat républicain a fait place à des calculs préélectoraux et les questions d’intérêt général ont été reléguées au second plan ».
Jeune Afrique
Rupture avec Ouattara
Ancien ministre des Affaires étrangères, il avait choisi de rompre avec Alassane Ouattara en mars dernier, après la désignation, le 12 mars, d’Amadou Gon Coulibaly comme candidat du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) lors d’une cérémonie qu’il avait boycottée.
Lundi, Marcel Amon-Tanoh avait interpellé directement le président Alassane Ouattara dans un message sur les réseaux sociaux, au lendemain de l’hommage national dédié à Amadou Gon Coulibaly, décédé le 8 juillet. « Sur le plan politique, le contexte actuel est marqué par un vide constitutionnel qui ne doit pas perdurer », y écrivait notamment Amon-Tanoh, jugeant par ailleurs que « le débat républicain a fait place à des calculs préélectoraux et les questions d’intérêt général ont été reléguées au second plan ».
Jeune Afrique