Photo: FRCI en mars 2011
Le camp d`Akouédo, dans le quartier de Cocody (nord), a été l`objet de tirs nourris d`armes automatiques et de kalachnikov entre 04H00 et 06H00 du matin (locales et GMT) par des assaillants non identifiés, selon des résidents interrogés par l`AFP.
Selon des sources concordantes, des éléments des Forces républicaines (FRCI, armée) sont arrivés ensuite en renfort et ont pris position autour du camp.
"Les FRCI procèdent à des contrôles et fouillent les véhicules qui passent devant le camp", a raconté un habitant.
"Le calme est revenu, les gens commencent à sortir dans la rue", a indiqué une résidente du secteur.
Cette attaque survient au lendemain de la mort de cinq militaires des Forces républicaines (FRCI) tués dans l`attaque d`un commissariat et d`un poste de contrôle de l`armée par des hommes lourdement armés à Yopougon, quartier ouest de la capitale économique ivoirienne.
L`insécurité a reculé dans le pays depuis la fin de la crise postélectorale de décembre 2010-avril 2011 ayant fait 3.000 morts, mais la circulation d`armes en tous genres, des ex-combattants mécontents de leur sort et des tensions ethniques toujours vives, en particulier dans l`Ouest, nourrissent des incidents parfois meurtriers.
Le camp d`Akouédo, dans le quartier de Cocody (nord), a été l`objet de tirs nourris d`armes automatiques et de kalachnikov entre 04H00 et 06H00 du matin (locales et GMT) par des assaillants non identifiés, selon des résidents interrogés par l`AFP.
Selon des sources concordantes, des éléments des Forces républicaines (FRCI, armée) sont arrivés ensuite en renfort et ont pris position autour du camp.
"Les FRCI procèdent à des contrôles et fouillent les véhicules qui passent devant le camp", a raconté un habitant.
"Le calme est revenu, les gens commencent à sortir dans la rue", a indiqué une résidente du secteur.
Cette attaque survient au lendemain de la mort de cinq militaires des Forces républicaines (FRCI) tués dans l`attaque d`un commissariat et d`un poste de contrôle de l`armée par des hommes lourdement armés à Yopougon, quartier ouest de la capitale économique ivoirienne.
L`insécurité a reculé dans le pays depuis la fin de la crise postélectorale de décembre 2010-avril 2011 ayant fait 3.000 morts, mais la circulation d`armes en tous genres, des ex-combattants mécontents de leur sort et des tensions ethniques toujours vives, en particulier dans l`Ouest, nourrissent des incidents parfois meurtriers.